La science nouvelle sera donc sous l’un de ses principaux aspects une théologie civile de la Providence divine, laquelle semble avoir manqué jusqu’ici. […] Ainsi considérée sous le second de ses principaux aspects, la Science nouvelle est une histoire des idées humaines, d’après laquelle semble devoir procéder la métaphysique de l’esprit humain.
Son père vit avec plaisir se développer chez son fils une disposition qui semblait devoir le diriger vers l’étude de l’architecture. […] La nature semblait avoir épuisé ses dons sur lui. […] Enveloppé de haillons, il semble attendre la mort avec fermeté, tandis que le saint invoque la Vierge. […] Les progrès extraordinaires des sciences semblaient ouvrir une carrière nouvelle à l’homme. […] Les lettres semblaient devoir prendre aussi une direction toute nouvelle.
Ces questions dont on ne semble pas avoir soupçonné l’existence, puisqu’on ne les a jamais posées, sont cependant de la plus haute importance. […] C’est ce que semble démontrer l’expérience suivante. […] Il y a même là quelque chose qui semblerait en désaccord avec les lois physiologiques ordinaires. […] Deux jours après, le chien parut malade et sembla être sous l’influence d’une péritonite violente. […] Pendant l’intervalle des repas et pendant la nuit, la fistule semblait tarie.
Il me semble qu’on n’en parle plus.
Émile Trolliet Tel récit (de cette œuvre : Le Coin vert) touchant et symbolique, qui a la même inspiration que certains poèmes de François Coppée ou d’Eugène Manuel, semble avoir la même valeur.
André Gérard semble vouloir suivre la trace du bon poète Gabriel Vicaire.
Charles Fuster Rimes franches, voilà un des meilleurs recueils récents, un de ceux où nous trouvons, largement répandue, cette qualité essentielle du poète, cette qualité qui semble en train de se perdre : le lyrisme.
Pierre Courtois me semble avoir réuni ce que toute sa jeunesse lui inspira de pensées, de sentiments et de rêves.
Elle semble touchante.
Au fil de l’eau, dont j’aime à détacher trois vers en l’honneur du crépuscule : Doucement l’heure s’envole, mélancolique, Le jour descend et la brume devient mystique ; Il semblerait qu’un grand lis noir vient de fleurir.
Auteur original de plusieurs Ouvrages originaux, & qui, en prenant la plume, semble ne s’être proposé que son amusement & celui des Lecteurs qui aiment un style singulier.
Alphonse Lemerre Le dernier volume publié par Félix Frank, La Chanson d’amour (1885), qui annonce plus de maturité et une plus grande sûreté de main comme exécution, est une œuvre chaude et colorée, qui semble remonter au paganisme dans sa modernité.
Il semble que ce poète n’aurait qu’à gagner à s’abandonner davantage, à devenir plus spontané, forme et fond, et que, dégagé de quelque afféterie, il apparaîtrait plus nettement ce qu’il est, un spirituel artiste.
Callon, bien des intentions nous échappent ; ce poète a certainement ce que les parnassiens ont appelé le don du vers ; la liste de ses rimes complète celle de la Légende des siècles ; son vocabulaire est prodigieux, sa science historique et mythologique semble vaste, sinon toujours de bon aloi, et il admire comme il sied M. de Heredia, à qui son livre est dédié.
Olivaint nous semble, au demeurant, un éclectique, et nous ne saurions dire, après avoir lu ce volume, si, dans d’autres œuvres, il sera fidèle à l’Extrême-Orient.
L’exactitude & l’élégance semblent avoir présidé à sa Traduction du Traité de l’Orateur de Cicéron.
Ce Voyageur ne semble avoir couru le monde que pour instruire les Commerçans, & plus particuliérement encore les Joailliers.