Mais ces trois parties de son poëme correspondaient à une foule de perspectives qu’un grand artiste aurait entr’ouvertes, mais que le plus grand artiste aurait été obligé de tenir fermées, s’il n’avait pas eu à sa portée la science même du christianisme. […] VII Je l’ai déjà signalé à propos de ces Colifichets, cette poésie de langue et d’expression, — la seconde certainement dans la Hiérarchie poétique, car les Poésies ont leur hiérarchie, évidemment comme les Arts et les Sciences, — cette poésie, que M.
La science du médecin est dans ce cas complètement inutile, car la guérison dépend de la seule volonté du malade, de son retour à la conscience. […] Les « sciences », l’histoire, la morale, la métaphysique, que professent ses maîtres ne sont qu’amusette et tromperie, car cet enseignement ne doit, à aucun prix, révéler la vérité sur quoi que ce soit.
Dans l’Introduction de la 3e édition de son Histoire de la science politique. […] Pollock, Introduction à l’étude de la Science politique, p. 321.
La quantité des unités sociales : nombre, densité, mobilité Si l’on veut méthodiquement construire une science, il faut, suivant la règle souvent rappelée par Comte, la fonder sur l’étude des propriétés les plus simples et les plus générales de son objet. […] Lacombe, De L’Histoire considérée comme science, p. 343.
Elle devait encore réparer ces pertes dans notre siècle, par un grand nombre de termes que la connaissance générale de la philosophie, des sciences et des arts, a répandus parmi nous, et qu’elle a rendus, depuis trente ans, familiers à la nation. […] Ce n’est pas assez pour elle de sentir et de peindre, il faut qu’elle compare et combine une grande multitude d’idées ; il faut qu’elle leur assigne à toutes l’ordre et le mouvement ; il faut qu’elle en fasse un tout raisonné et sensible ; il faut qu’elle ait parcouru les arts, les lois, les sciences et les mœurs ; qu’enrichie de connaissances, elle les domine et semble planer au-dessus d’elles ; qu’en les jetant, elle n’en paraisse ni prodigue, ni avare ; que tantôt elle les indique et tantôt elle les déploie ; que souvent elle fasse succéder des vérités en foule, que souvent elle s’arrête et se repose sur une vérité.
Mais certes, ils ne sauraient nous reprocher d’avoir longuement fixé leur attention sur un de ces hommes si rares de nos jours, purs d’ambition et d’intrigues, voués pour la vie à la science et à l’enseignement, participant de cœur et d’âme aux progrès, aux vœux d’une jeunesse qu’ils ont formée et qui les révère, et s’étonnant ensuite avec une véritable candeur quand la réputation qu’ils méritent vient couronner leurs solides et précieux travaux.
Le chaleureux Avant-propos que M. de Montalembert y ajoint, fort remarquable par les faits rassemblés, par l’invective de cœur et la science de style, ne nous a paru avoir d’autre défaut que d’être trop écrit au point de vue du poète.
Mais quelle supériorité les philosophes de nos jours n’ont-ils pas dans les sciences, dans la méthode et l’analyse, la généralisation des idées et l’enchaînement des résultats !
Toutes les véritables vertus dérivent de la bonté, et si l’on voulait faire un jour l’arbre de la morale, comme il en existe un des sciences, c’est à ce devoir, à ce sentiment, dans son acception la plus étendue, que remonterait tout ce qui inspire de l’admiration ou de l’estime.
Le grec fournit toute sorte de termes d’art, de science, de philosophie, de politique, comme ce mot de police au sens étymologique de gouvernement, comme économie, pour ménage, ou bien encore squelette, etc.
De Cuvier jusqu’à Pasteur, on peut dire que la science a marché à pas de géants.
Trois hommes au moins l’ont connu depuis que les prétendus intellectuels ont perverti l’intelligence humaine, depuis que les sophistes, vendeurs de fausse science, ont triomphé des Socrate, donneurs de vraie sagesse.
Ils se sont vu placer devant les yeux des modèles parfaits, mettre en main des méthodes — merveilleux instruments de mentalité ; — ils se sont vu montrer des raccourcis, ouvrir des portes dérobées et soudain ils se trouvèrent de plain-pied avec un territoire où fleurissaient l’art, la science et le goût, où s’épanouissaient déjà la connaissance et la beauté.
Reconnaissant donc qu’il ne saurait trouver dans son talent ni dans sa science, par ses ailes ou par son bec, comme dit l’ingénieuse poésie des arabes, une préface intéressante pour les lecteurs, l’auteur de ceci s’est déterminé à ne leur offrir qu’un récit grave et naïf3 des améliorations apportées à cette seconde édition.
Cet auteur, un des meilleurs dialecticiens qui ait jamais existé, semble vouloir introduire le pyrrhonisme dans toutes les sciences.
N’aurait-on pas fait de la science des conditions, des caractères, des passions, des organisations diverses, une petite affaire de règle et de compas ?
Les fortunes divisées restreignent les sciences et les arts à l’utile.