Edgar Quinet qui, le dernier de tous, dans un article écrit avec un certain feu, mais sans aucune logique (il serait trop aisé de le démontrer en détail), s’en vient plaider contre ce qu’il appelle la légende napoléonienne ; et qui prétend nous refaire un 1815 tout nouveau !
Non pas certes que nous prétendions, dans cet état de la salle que nous appelons le vrai prologue du drame, avoir découvert rien qui ressemblât nulle part à de la malveillance prononcée contre l’auteur.
On a prétendu qu’il n’y avait point d’idées religieuses dans Ossian.
Il ne vous a pas suffi de contester, comme vous le pouviez, dans quelque journal ou dans quelque brochure, la justesse de mes critiques ; vous avez prétendu me confondre dans cette Revue même, et vous avez voulu m’y discréditer par des insinuations désobligeantes sur des faits entièrement étrangers à notre différend : j’entends mes relations personnelles avec la Comédie-Française.
Deschanel avait peut-être beaucoup plus raison que je ne prétendais en faisant de Voltaire un préparateur du drame romantique.
Santeul se refusa absolument à le reconnaître et prétendit que ce visiteur solennel n’avait rien de commun avec Arlequin.
C’est la grande opposition du corps et de l’âme, reconnue par toutes les religions et toutes les philosophies élevées, opposition très superficielle si on prétend y voir une dualité de substance dans la personne humaine, mais qui demeure d’une parfaite vérité, si, élargissant convenablement le sens de ces deux mots et les appliquant à deux ordres de phénomènes, on les entend des deux vies ouvertes devant l’homme.
Qui osera prétendre que Geoffroy Saint-Hilaire, Cuvier, les Humboldt, Gœthe, Herder n’avaient pas droit au titre de philosophes au moins autant que Dugald-Stewart ou Condillac ?
Bret, pour redresser la citation, prétend qu’il faut substituer le nom de madame de Montausier, Julie de Rambouillet, à celui de sa mère ; et il se trouve que madame de Montausier, à l’époque où parurent Les Femmes savantes, 1672, était morte aussi depuis deux ans ou environ ; M.
Nous le déclarons d’avance, notre intention est d’exposer notre sentiment, & nous n’avons prétendu qu’éviter des répétitions, en retranchant ces manieres de parler, il nous paroît, il nous semble, à notre avis.
Disons-le en passant, nous ne prétendons rien établir ici de rigoureux, et nous prions le lecteur d’introduire de lui-même dans notre pensée les restrictions qu’elle peut contenir.
On prétend que, depuis, il s’expliqua quelquefois librement sur des matières toujours délicates & respectables.
La plupart étaient sur les Médecins vengés qu’on prétendait l’avoir laissé mourir sans secours, par ressentiment de ce qu’il les avait trop bien joués dans ses Comédies.
Rousseau prétend que le Théologal de Condom (c’étoit un des titres de Charron) pensoit comme son Vicaire Savoyard ; cela pourroit être ; mais du moins le Théologal s’exprimoit d’une maniere moins choquante que l’imprudent Vicaire allobroge.
Je ne prétends pas donner ici mon avis pour règle, d’autres peuvent être affectés différemment., mais c’est ainsi que je le suis.
Des esprits inattentifs ont souvent, comme on sait, accusé le peuple hébreu de n’avoir pas connu autrefois le dogme de l’immortalité de l’âme, parce que, prétendaient-ils, ce dogme n’est nulle part textuellement énoncé dans la loi judaïque ; mais il était bien plus formellement énoncé que par des mots ou des propositions, puisqu’il jaillissait du génie même de la langue, si fortement empreint du sentiment de la continuité d’existence.
S’ils osent prétendre qu’il a une bosse, cet esprit droit, il l’a roulée, du moins, dans tous les chemins du Seigneur, devenus pour lui des chemins maudits… Il sait la vie moderne comme pas un ; la vie qu’il méprise !