Ce n’est point une guerre de principe que les cabinets lui ont déclarée : c’est une guerre d’intérêts, d’ambition, de conquête. […] On sait tout ce que les philosophes avaient dit contre la guerre. […] En outre, la guerre, quoiqu’elle soit un grand mal, peut produire de grands biens : le sacrifice, le dévouement, l’expiation, la régénération. […] Peu d’éclat, peu de bruit ; l’empire, cette grande prise d’armes militaire, semble produire une espèce de suspension d’armes dans la guerre des idées. […] À toute occasion, la guerre qui était dans les sentiments et dans les idées, éclatait.
La guerre pouvait être évitée, ou, si la guerre était inévitable, elle eût été plus unanime et plus triomphante. […] Ils pouvaient vouloir une république dictatoriale, que je ne voulais pas, moi ; mais ils ne pouvaient vouloir un accès de guerre populaire qui servirait de prétexte au renversement de la république légale, représentative et conservatrice de l’ordre social en France et de la paix en Europe. […] On crut, en France et en Europe, qu’elle s’était entredéchirée elle-même, et que cette fermentation de la lie d’une capitale était une grande guerre intestine. […] Son sang était une déclaration de guerre plus certaine que sa déposition. […] La tête du roi jetée, comme on l’a tant dit, en défi à l’Europe, ne fut qu’un gage de guerre à mort entre les peuples et les partis.
La littérature française apparaît comme une succession d’empires dont chacun est renversé par une guerre littéraire ou une révolution, et auquel un autre empire succède. […] À peine cette génération est-elle entrée dans la vie que les guerres meurtrières commencent. […] Ce n’est probable que dans une mesure très inférieure à celle que comporte la guerre de 1914. […] Une génération de guerre saisit de son énergie une génération de paix. […] Il y représenta deux idées : l’amnistie, qu’il réclama inlassablement pour les condamnés de la Commune, et l’anticléricalisme, qui lui donna une figure d’ancêtre dans les guerres religieuses de la République.
En pleurant ce prince, on lui reprocha sa mort même ; ce furent en effet son malheureux amour pour la femme de son neveu, la persécution du jeune époux, et les préparatifs d’une guerre sans autre objet que celui de tirer la belle Charlotte de la cour de Bruxelles où le prince de Condé l’avait conduite, qui rallumèrent cet esprit de la Ligue que Henri alors dans sa sagesse et dans sa vertu avait pris tant de soin à calmer et à éteindre, cet esprit qui arma un bras fanatique contre lui4. […] Le rapprochement encore nouveau des esprits divisés pendant quarante années par les guerres civiles, semblait solliciter l’épanchement d’affections longtemps contenues ; le progrès des richesses que les discordes intestines n’avaient point empêché10, le progrès des lumières, les changements des esprits, des imaginations, des âmes tout entières, changements inséparables de toute révolution, donnaient une vive curiosité de se considérer sous de nouveaux aspects, inspiraient le pressentiment d’un nouveau genre de communications, de nouveaux points de contact, d’un développement inconnu de cet instinct social qui semble appartenir au Français plus qu’à toute autre nation. […] Le roi entra en fureur ; il voulait faire la guerre à l’archiduc qui avait reçu le prince et la princesse. […] Essai sur les guerres civiles.
Les conquêtes seront pacifiques et la guerre elle-même se transformera. […] La guerre actuelle est une preuve certaine à l’appui de mon opinion. […] Jusqu’à présent cette guerre est une guerre de police. […] Entre ses mains incessamment paternelles, les canons de cette guerre seront peut-être des forceps ! […] Qu’est-il arrivé de cette guerre impie, de cet antagonisme insensé ?
Édouard Fournier Il échapperait à notre temps, s’il était resté ce que son âge, — il naquit en 1785, — voulait qu’il fût d’abord : un arrière-classique, un poète de l’Empire, rimant des Odes sur la Guerre de Prusse, sur la Campagne de 1807 et des tragédies telles qu’Ulysse et Pallas, fils d’Évandre ; mais il lui appartient, par la part qu’il prit au mouvement rénovateur, avec sa pièce de Marie Stuart assez fièrement imitée de celle de Schiller et surtout avec son brillant Voyage en Grèce, l’œuvre la plus sincère, la plus vraie de couleur et la plus éclatante qui ait été inspirée chez nous par la guerre des Hellènes.
Les Tomaranké (Khassonkè172 et Malinké du Tomara dans la région de Médine) virent d’un mauvais œil la prospérité rapide de ces nouveaux venus et, poussés par la jalousie et la cupidité, leur déclarèrent la guerre. […] Hava Demba aussi en descend, lui qui fut l’allié de l’émir Abdoul Rhady dans la guerre du Diolof du temps de Napoléon Ier.
Dans la paix comme dans la guerre, il justifia ce mot de Napoléon sur lui : « C’est un lion pour le travail. […] Après les Cent-Jours, durant lesquels il avait repris le ministère de l’administration de la guerre, il reçut l’ordre de se retirer à Bourges, et, dans les premiers moments de la réaction, le séquestre fut mis sur ses biens. […] Il n’y avait, entre le vice-roi et le gouvernement vénitien, qu’une brouillerie simulée, une guerre simulée, une conjuration faite à la main et filée à plaisir, le tout afin de masquer le jeu et de mieux se donner la main au moment décisif. […] Il n’en était plus à ce moment où, son ami le noble général Drouot quittant l’armée de la Loire et prenant congé de lui pour venir se constituer prisonnier à Paris, il lui offrait de l’accompagner et de le défendre devant le conseil de guerre : ce que Drouot refusait délicatement, mais dont il garda toujours le souvenir. […] Dans cette ligne politique qu’il suivait avec réserve et dignité, on me dit qu’il eût pu, en de certains moments et à de certaines conditions, rentrer au ministère de la Guerre : peut-être lui-même, dans quelque combinaison qui lui eût paru utile et favorable, y eût-il consenti.
Le soir même le roi dit à Racine, directeur de l’Académie, qu’il approuvait l’élection. » L’Académie française tient ainsi sa place et a son coin dans le journal de Dangeau à côté des chasses, des promenades royales, des loteries et des jeux de Marly, des nouvelles de guerre et d’église ; elle a son importance sociale. […] Bergeret, secrétaire du cabinet, à célébrer Louis XIV, ses guerres, ses conquêtes, le triomphe de sa diplomatie impérieuse : Heureux, disait en terminant Racine (et cette péroraison n’est pas la plus délicate partie de son discours), heureux ceux qui, comme vous, Monsieur, ont l’honneur d’approcher de près ce grand prince, et qui, après l’avoir contemplé, avec le reste du monde, dans ces importantes occasions où il fait le destin de toute la terre, peuvent encore le contempler dans son particulier, et l’étudier dans les moindres actions de sa vie, non moins grand, non moins héros, non moins admirable, que plein d’équité, plein d’humanité, toujours tranquille, toujours maître de lui, sans inégalité, sans faiblesse, et enfin le plus sage et le plus parfait de tous les hommes ! […] Les conversions, données comme si faciles chez Dangeau en 1685, ont leur contrecoup quelques années après, lorsqu’à la reprise de la guerre et quand toute l’Europe liguée est en armes contre Louis XIV, les protestants français y jouent leur rôle et sur les frontières et au-dedans du royaume : Lundi, 28 février 1689, à Versailles. — Hier, M. de Barbezieux vint dire au roi, comme il sortait du sermon, qu’il s’était fait quelques assemblées de mauvais convertis séditieux en Languedoc. […] Les quatre années de loisir et de paix, depuis la trêve de Ratisbonne jusqu’à la guerre qui sort de la ligue d’Augsbourg (1684-1688), sont vite écoulées. […] La guerre s’ouvre avec vigueur ; le fils du roi, Monseigneur, est mis à la tête de l’armée du Rhin : « Le roi et Monseigneur se sont fort attendris en se séparant (25 septembre 1688). » Louis XIV dit à son fils une belle parole : « En vous envoyant commander mon armée, je vous donne des occasions de faire connaître votre mérite ; allez le montrer à toute l’Europe, afin que quand je viendrai à mourir, on ne s’aperçoive pas que le roi soit mort. » Monseigneur se conduit bien et vaillamment ; il a un éclair d’ardeur : cela même lui donne une étincelle d’esprit ; il écrit à son père devant Philisbourg : « Nous sommes fort bien, Vauban et moi, parce que je fais tout ce qu’il veut. » — « Mais Vauban pourtant, ajoute Dangeau qui s’anime et s’aiguillonne à son tour, n’est pas si content de Monseigneur, qui va trop à la tranchée et y demeure trop longtemps. » On prend Philisbourg, on prend Manheim et Frankendal : après quoi Monseigneur revient.
Son père qui, dans sa jeunesse, était très-beau, qu’on surnommait Orondate parce qu’il ressemblait à un héros de roman, qui avait eu des duels brillants au temps de la mode des duels, et avait mérité, par là la faveur du prince de Conti, ce qui fut le point de départ de sa fortune, s’était depuis distingué à la guerre et y serait probablement arrivé jusqu’aux emplois les plus considérables, s’il n’avait rencontré en chemin l’inimitié de Louvois, qui lui barra tout avancement. […] Don Juan, bâtard reconnu du dernier roi, soutenu des vœux de la noblesse, lutta contre l’un et l’autre de ces favoris et contre la reine mère, au mauvais gouvernement desquels on imputait tous les maux de l’État et les désastres de la monarchie dans les guerres avec la France. […] Il avait déjà été ambassadeur à Madrid avant la dernière guerre ; il s’y était acquis de l’estime et de la considération par sa mesure et sa probité. […] Son corps fut porté à l’Escurial, dans la sépulture des Princes à côté du Panthéon. » On le traitait jusqu’au bout en fils de roi, bien qu’il y eût fort à dire sur l’authenticité et la légitimité de cette bâtardise ; mais Philippe IV l’avait reconnu — Le marquis de Villars a tracé de lui le portrait suivant, qui, dans un ton simple, est d’une belle langue : « Sa naissance lui avait donné un grand rang et de grands emplois, mais on ne vit point la suite de sa vie répondre à cette éducation : on le vit malheureux dans la plupart de ses entreprises, souvent battu à la guerre, toujours éloigné de la Cour ; son dernier malheur fut d’être devenu enfin la première personne de l’État. […] On avait en France depuis plus de soixante ans des reines espagnoles et, avec cela, presque toujours la guerre avec l’Espagne.
Il y a loin de là à ce siège en règle, monumental, classique, à ce siège modèle qu’a imaginé l’auteur de Salammbô, afin de se donner l’occasion d’énumérer toutes les machines de guerre, tous les instruments de balistique de l’ancien corps du génie, et de nous peindre l’effroi des Carthaginois « quand ils aperçurent, venant droit vers eux, comme des monstres et comme des édifices, avec leurs mâts, leurs bras, leurs cordages, leurs articulations, leurs chapiteaux et leurs carapaces, les machines de siège qu’envoyaient les villes tyriennes : soixante carrobalistes, quatre-vingts onagres, trente scorpions, cinquante tollénones, douze béliers, etc. » Évidemment l’auteur s’amuse. […] Mais, en attendant, et à part toute discussion, pourquoi, dans ce ramas d’hommes de guerre et d’assiégeants, l’auteur n’a-t-il pas eu l’idée de nous faire rencontrer un Grec, un seul, animé de l’esprit de Gélon, un disciple, par la pensée, des Xénophon, des Aristote, des anciens sages de son pays, un jeune Achéen contemporain d’Aratus, ayant déjà en soi le germe des sentiments humains de Térence, ayant lu Ménandre, et qui, fourvoyé dans cette affreuse guerre, la jugeant, sentant comme nous et comme beaucoup d’honnêtes gens d’alors en présence de ces horreurs, nous aiderait peut-être à les supporter ? […] Je fais grâce de l’horrible et acharnée description, à laquelle il ne manque ni les songes et les hallucinations des affamés moribonds, ni aucun des symptômes pathologiques rigoureusement observés en pareil cas, ni, au moral, les hideuses révélations de tendresse qui se déclarent à l’heure suprême entre les Hercule et les Hylas de ces bandes dépravées : de fait, après une pareille extermination, complétée par l’irruption et le choc des éléphants numides, la guerre est finie ; on a le bouquet. […] Comment voulez-vous que j’aille m’intéresser à cette guerre perdue, enterrée dans les défilés ou les sables de l’Afrique, à la révolte de ces peuplades lybiennes et plus ou moins autochtones contre leurs maîtres les Carthaginois, à ces mauvaises petites haines locales de barbare à barbare ?
Louvois surtout, par son activité et ses instincts de guerre, poussait son maître dans cette voie, si tant est qu’il eût besoin de l’y pousser. […] Il avait imaginé une sorte de paix rongeante et envahissante qui devait exclure les risques et les inconvénients de la guerre, pour ne laisser subsister que les avantages qu’elle aurait procurés, — beaucoup de profit sans effusion de sang et sans grosse dépense. » C’est cette paix ambiguë et d’une espèce toute particulière dont l’historien nous fait suivre pas à pas la procédure et les progrès. […] On se moqua de l’Espagnol dont la bonne foi recevait un pied de nez, et Coulanges en faisait une chanson : L’Espagnol est tout étonne Quand on parle de guerre ; Louis est un enfant gaté, On lui laisse tout faire. […] La Diète de Ratisbonne, prise à tout instant pour juge et harcelée de réclamations, ne savait qu’opposer un veto impuissant, réserver les droits, se plaindre et demander, que la France voulût bien produire une bonne fois toutes ses prétentions : c’était, disait-elle, le seul moyen pour elle de couper court d’un seul coup à « ce chancre de prétentions que la France proposait sans cesse, et qui ne pourrait être qu’irrémédiablement contagieux pour l’Empire. » On en vint même, dans cette guerre de chicane, jusqu’à soupçonner que, parmi les titres qu’on produisait à l’appui du droit de la France, tous les parchemins n’étaient pas aussi vieux qu’on le disait. […] Écoutons la sagesse de Montesquieu : « Comme ils (les Romains) ne faisaient jamais la paix de bonne foi et que, dans le dessein d’envahir tout, leurs traités n’étaient proprement que des suspensions de guerre, ils y mettaient des conditions qui commençaient toujours la ruine de l’État qui les acceptait… Quelquefois ils abusaient de la subtilité des termes de leur langue.
Pline l’Ancien n’était pas tout à fait un naturaliste, comme on se le figurerait au premier abord d’après le titre et la renommée de son principal ouvrage : c’était un homme de guerre, un administrateur. […] Il avait de plus écrit en vingt livres l’histoire des Guerres de Germanie, ce qui ne l’empêcha point de composer ensuite des livres de rhétorique et même de grammaire sur les difficultés du langage. […] Au chapitre sur les météores et les principaux souffles des vents, il faut l’entendre parler des anciens observateurs grecs et de leur supériorité relative : Mon étonnement est extrême, dit-il, quand je vois que dans le monde, autrefois si plein de discordes et divisé en royaumes comme en autant de membres, un aussi grand nombre d’hommes s’est livré à la recherche de choses si difficiles à trouver, et cela sans en être empêchés par les guerres, par les hospitalités infidèles, par les pirates ennemis de tous, et interceptant presque les passages ; et cela avec un tel succès, que, pour des lieux où ils ne sont jamais allés, on en apprend plus sur certains points, à faire de leurs livres, que par toutes les connaissances des habitants. […] Sans parler des victoires remportées dans les guerres civiles, 1 192 000 hommes ont péri dans les combats livrés par lui. Ce n’est pas que je lui compte à titre de gloire un tel méfait, fût-il commis par nécessité, contre le genre humain : et il en est convenu lui-même, en ne donnant pas le chiffre du carnage des guerres civiles.
Tout enfant et quand les premières guerres de Religion commencent, elle est envoyée à Amboise avec son jeune frère d’Alençon. […] Parlant de l’expédition projetée par son frère le duc d’Alençon en Flandre, elle le montre, en termes d’une énergique beauté, représentant au roi : Que c’était l’honneur et l’accroissement de la France ; que ce serait une invention pour empêcher la guerre civile, tous les esprits remuants et désireux de nouveauté ayant moyen d’aller en Flandre passer leur fumée et se saouler de la guerre ; que cette entreprise servirait aussi, comme le Piémont, d’école à la noblesse de France pour s’exercer aux armes, et y faire revivre des Montluc et Brissac, des Terme et des Bellegarde, tels que ces grands maréchaux, qui, s’étant façonnés aux guerres du Piémont, avaient depuis si glorieusement et heureusement servi leur roi et leur patrie. […] Ayant obtenu, après des persécutions et des difficultés, de rejoindre son mari en Gascogne (1578), elle y resta trois ans et demi, y jouissant de sa liberté et la lui laissant ; elle comptait ces journées de Nérac, entremêlées, même à travers les guerres recommençantes, de bals, de promenades et « de toutes sortes de plaisirs honnêtes », pour une époque de bonheur. […] Elle avait passé trente ans : les guerres civiles s’allumèrent pour ne plus s’éteindre qu’après des luttes acharnées et par l’entière défaite de la Ligue.
À ce moment, ils poussèrent tous le cri de guerre et prirent tous leur course. […] dit Phalinos. — La trêve si nous restons, la guerre si nous avançons ou reculons. » Phalinos demanda de nouveau : « Annoncerai-je la paix ou guerre ? […] Il partit alors pour recommencer la guerre avec lui. C’est là, ce me semble, avoir le goût de la guerre, que choisir la guerre lorsqu’on peut jouir de la paix sans honte ni dommage ; préférer les travaux de la guerre, lorsqu’on peut vivre dans l’oisiveté et le bien-être ; diminuer ses richesses par la guerre, lorsqu’on peut les posséder entières sans danger. […] La vie d’un plébéien est une guerre.
Son opposition de vingt ans n’était pas moins courageuse que celle de trente : les actes venaient dès lors au secours des paroles, et il n’a pas tenu aux gens du roi et aux Conseils de guerre de l’époque d’épargner aux parquets et aux Commissions militaires de la nouvelle monarchie la besogne qu’il leur a donnée. […] Il savait bien que le jour de la lutte renaîtrait entre nous et la faction incorrigible, et pensant qu’il serait temps alors de lui faire bonne guerre, il attendait patiemment le juste milieu à cette épreuve.
De part et d’autre, on se sauva ; véritable guerre de lièvres, où tout le monde eut peur de tout le monde ! […] Seulement n’est-ce pas trop de patriotisme de la part de Vaultier que de réclamer pour le compte de sa ville l’éclat de ces splendeurs de politique et de guerre, et de contester sérieusement aux Girondins arrivés à Caen l’influence d’événements pareils ? […] Pendant tout le temps que dura la Révolution, toutes les villes, Lyon excepté, qui eut du moins le mérite de l’horreur (et nous ne parlons pas de la Vendée, cette guerre de géants, comme disait l’Empereur), toutes les villes se conduisirent à peu près de la même manière.