Chapitre VIII. […] Un bas-bleu conjugal, ainsi que je l’écrivais au commencement de ce chapitre ; le bas-bleu conjugal comme on dit : la tulipe orageuse !
Chapitre XIII Mme Swetchine14 I Voici une nouvelle édition de Mme Swetchine. […] [Chapitre écrit pour compléter le volume, 1878.]
Et encore, puisqu’il prend le renseignement pour l’histoire, je lui signalerai un chapitre qu’il a intitulé Mystères. C’est le chapitre, très scabreux, du reste, du mariage de Gustave III et du nuage d’infamie qui pèse toujours sur ce mariage, et dans lequel j’aurais désiré plus de certitude et plus de clarté.
Le chapitre que l’abbé Falcimagne a introduit dans les Mémoires sur la découverte de l’or et les chercheurs d’or, et que nous regrettons de ne pouvoir citer ici, nous a paru, par parenthèse, un chef-d’œuvre de réalité, aussi dramatique et aussi maîtrisant que le chapitre le plus fantastique d’Edgar Poe.
Chapitre xi Cette unanimité profonde, nous continuerons à la vivre Sans doute on ne restera pas à cette hauteur. […] Pour équilibrer ces divers chapitres, il me fallut chercher des « textes » que mes correspondants spontanés ne me donnaient pas, et ces documents qui me vinrent de « familles » avec lesquelles je suis moins parent, je dus me préoccuper de les comprendre exactement dans l’esprit ou ils avaient été écrits.
Chapitre XXXI. […] , chap. 44.
J’imagine qu’involontairement (car les idées, chez lui, se faisaient concrètes avec une singulière rapidité), il se représentait le prêtre « libéral » sous les espèces de celui qu’il apostrophe dans les Libres Penseurs, au chapitre des Tartufes : « Pour Dieu ! […] Il faut lire, dans Çà et là (II, 217-267), le chapitre De la noblesse. […] Le chapitre de critique, ensemble chrétienne et impressionniste, qui termine Çà et là, est excellent et original. […] Vers la fin du joli chapitre de critique de Çà et là, Veuillot, après quelques jugements sévères sur la littérature de ce temps, rentre en soi : Je ne crains pas que l’on m’ahonte en m’opposant à moi-même le peu que je vaux. […] Lisez, dans Çà et là, les chapitres intitulés Dans la montagne, la Plage, et la Campagne, la Musique et la Mer.
Ces lignes précèdent, dans le IVe vol. des Œuvres et des Hommes (1re série : Les Romanciers, 1865), trois chapitres : Edgar Poe, G.
Cette œuvre, très haute, dont je n’ai cité qu’un fragment (car on trouvera dans le livre bien d’autres chapitres semblables), ne peut se comparer, comme quelques critiques l’ont maladroitement fait, aux chansons de Richepin ou de Bruant ; elle est, en sa langue pittoresque, un réquisitoire heureux contre l’iniquité des Forts et des Puissants, une leçon à l’usage d’une société soi-disant chrétienne, dont la conscience semble dormir en toute sécurité au milieu d’un bourbier… [La Province nouvelle (juillet 1897).]
Cette démonstration fait l’objet de la troisième partie de notre travail : les deux premiers chapitres, où l’on étudie les notions d’intensité et de durée, ont été écrits pour servir d’introduction au troisième.
Chapitre II. […] Chapitre III. […] Chapitre IV. […] Chapitre V. […] Chapitre VI.
Les historiens spéciaux de l’administration de la guerre (Audouin, par exemple), en lui accordant d’avoir été le plus grand administrateur militaire, en le proclamant « créateur d’un système d’approvisionnements, auteur des règlements de discipline et d’avancement, fondateur d’une école de cadets et de l’hôtel des Invalides », n’expliquaient pas avec détail en quoi consistaient toutes ces créations et n’insistaient guère que sur le chapitre des vivres et subsistances : le reste ne figure qu’en abrégé, et le peu qu’on en dit n’est pas d’une entière exactitude. […] Malgré ces taches odieuses et les pénibles impressions qu’elles laissent, quiconque aura lu le chapitre que M. […] On l’accusait de malversation, et Colbert sur ce chapitre était inexorable.
Il écrivit même pour lui des Réflexions sur l’Angleterre, et j’ai lu tout un chapitre où sont racontées d’une manière simple et encadrées dans un paysage bien anglais les funérailles modestes du roi Louis-Phi-lippe. […] » Une des plus jolies séries par l’idée, ce sont les Toquades ; c’est comme un pendant au chapitre De la Mode, chez La Bruyère, chapitre qui s’intitulerait aussi bien Des Manies.
Par exemple, a-t-il accordé, dans la vie de Galilée, assez d’importance à ce chapitre tant controversé de la persécution et de l’abjuration ? […] Sans doute ils avaient près d’eux Bossuet, Fénelon, Du Guet, La Bruyère lui-même (chapitre Des Esprits forts), pour leur dispenser quelques-unes de ces vérités physiques à l’état et sous forme de preuves de l’existence de Dieu ; mais c’était là de la science morale toujours, plus encore que de la physique. […] L’homme est le citoyen du ciel… » Le dernier chapitre est tout en hymnes et en apostrophes : « Oh !
Dans un chapitre intitulé « Des gens de lettres en 89 », on trouve sur Ginguené et sur Chamfort des portraits piquants et qui sont tracés avec tant de saillie, que, si on ne les contredit à temps, ils ont chance de vivre et d’emporter ainsi leurs victimes à la postérité. […] l’auteur des Mémoires d’outre-tombe a si bien oublié cela, que, dans ce chapitre où il reproche à Byron de ne l’avoir jamais nommé, il ajoute : Point d’intelligence, si favorisée qu’elle soit, qui n’ait ses susceptibilités, ses défiances : on veut garder le sceptre, on craint de le partager, on s’irrite des comparaisons. […] Les remarques que je fais là sur le chapitre purement littéraire, on les appliquerait également à toutes les parties du livre.
Ce que je dis en passant prouve assez qu’il y aurait, si on le voulait, un petit chapitre à écrire sur la fable et les fabulistes en 1852. […] Dans un tableau complet de la poésie en 1852, il y aurait, comme au temps de Guillaume Colletet, un chapitre essentiel à écrire : « Du sonnet ». […] Dans son récit, qu’il divise en chapitres, avec des titres distincts et plus longs que la chose, on ne trouve pas cette richesse, cette fertilité et cette suite de détails qu’il faudrait pour remplir le canevas, pour en couvrir la nudité.
Chapitre deuxième La force d’association des idées I. […] Et nous avons montré, dans un chapitre précédent, que ce ne sont pas là seulement des métaphores, mais les résultats d’une loi qui explique l’expression même des sentiments : la bouche, dans la déception ou le mépris, fait les mêmes mouvements et prend les mêmes formes que sous l’action d’une saveur amère ou dégoûtante. […] Voir chapitre suivant.