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519. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 20-21

Lazare, de l’Académie Françoise, de l’Académie des Sciences, de celles de Londres, de Berlin, de Pétersbourg, de Bologne, de Nancy, de Lyon, de Toulouse, de Montpellier, &c. né à Paris en 1701, mort dans la même ville en 1774.

520. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — J. — article » p. 535

JODELLE, [Etienne] né à Paris en 1532, mort dans la même ville en 1573.

521. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 373-374

M. de Voltaire a eu raison de dire, en parlant du Dictionnaire historique de ce célebre Compilateur, que c’étoit une Ville nouvelle, bâtie sur l’ancien plan.

522. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » p. 73

Remond de Saint-Mard, [Toussaint] né à Paris en 1682, mort dans la même ville en 1757.

523. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 109

Abadie ou Abbadie,[Jacques] Théologien Protestant, né à Ney en Béarn en 1654, mort à Marybonne, ville voisine de Londres, en 1727.

524. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 145-146

La compilation mal digérée de son Histoire civile & politique de la ville de Reims, avoit peu contribué à le faire connoître ; il avoit besoin d’un Ouvrage plus intéressant par lui-même, & mieux écrit, pour se faire une réputation.

525. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 461-462

Caylus, [Philippe-Claude-Anne de Tubieres, Comte de] de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, né à Paris en 1692, mort dans la même ville en 1765.

526. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 504

Choisi, [François-Timoléon de] Doyen de la Cathédrale de Bayeux, de l’Académie Françoise, né à Paris en 1644, mort dans la même ville en 1724.

527. (1894) La bataille littéraire. Sixième série (1891-1892) pp. 1-368

De là à réédifier les villes détruites ou à faire revivre par un réseau de chemins de fer des villes mortes, il n’y a qu’un pas ; il est franchi et les projets succèdent aux projets, les épures aux épures ; les gens pieux, épris de l’idée, ne demandent qu’à souscrire ; ceux qui ne se soucient que de toucher de gros dividendes font comme eux, et la Banque Universelle est fondée. […] Elle avait eu le bonheur de tomber sur un artiste hors ligne et très comme il faut, qui ne disait jamais rien d’inconvenant, ce qui lui faisait avoir des matinées en ville, dans le grand monde. […] Typhonia, c’est Paris, la ville perverse, mais qui doit désorienter la férocité de la bourgeoisie française, la province n’existant pas pour la civilisation. […] Il y a un ravin démesuré qui entoure la ville. […] Les processions catholiques sont interdites dans plusieurs villes françaises ; en Angleterre, on ne les tolère nulle part.

528. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 280-281

On ne doit donc pas s’étonner de la réputation qu’il s’est acquise à la Cour & à la Ville.

529. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 18-19

COMMIRE, [Jean] Jésuite, né à Amboise, petite ville de Touraine, en 1625, mort à Paris en 1702 ; Poëte latin qu’on peut placer parmi les Modernes, entre Santeuil & la Rue.

530. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » pp. 479-480

HALDE, [Jean-Baptiste du] Jésuite, né à Paris en 1674, mort dans la même ville en 1743.

531. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 221-222

MARIVAUX, [Pierre Carlet de] de l’Académie Françoise, né à Paris en 1688, mort dans la même ville en 1763.

532. (1894) Études littéraires : seizième siècle

Il a disposé les choses de telle sorte que chaque puissance fût contrebalancée par une autre puissance voisine, d’égale force et d’égal poids, et chacun « a l’œil que son compagnon ne s’accroisse. » Aux Français s’opposent les Anglais, aux Anglais les Écossais, à l’Espagne le Portugal, aux princes d’Italie les villes de communauté, comme Venise, Florence ; et, entre villes même, à Venise Florence, aux barons d’Allemagne les villes libres, à l’Autriche la Bavière, et ainsi par toute l’Europe. […] Les batailles où il a assisté, les pays qu’il a traversés, les villes qu’il a vues, les hommes avec qui il a causé, voilà son livre. […] Dès que le pauvre homme se vit délivré, il se leva tirant Vers la ville. […] Dans chaque ville savante le lettré qui arrive est chez lui ; il a des pairs, des alliés, des défenseurs et demain des disciples. […] Ils faisaient corps, moins comme religion que comme armée, moins comme église que comme ville bloquée.

533. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « M. Daru. Histoire de la république de Venise. — II. (Suite.) » pp. 434-453

On se rappelle une page de Fontenelle récemment citée98, où, faisant l’éloge de M. d’Argenson, l’habile académicien a si parfaitement défini la multitude et la variété des soins que devait prendre à cette époque un bon lieutenant de police dans une ville telle que Paris : Cuvier, en esquissant aussi à grands traits en quoi consiste l’administration d’une armée en campagne, la multitude des soins, leur précision impérieuse, les difficultés qui se rencontrent dans les choses et dans les hommes, et en nommant à la fin M.  […] Tandis que vous faites capituler les villes, moi je médite une comédie que j’appelle jusqu’ici Les Capitulations de conscience : ce titre est un peu long ; mais, comme il exprime bien ce que je veux peindre, je vous le livre. […] L’un d’eux, homme de lettres peu connu aujourd’hui et même de son temps, mais d’un certain mérite et d’assez de goût, qui avait fourni à Picard plus d’un trait pour sa Petite Ville, M. de Larnac, du Languedoc, vieil ami de M. 

534. (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Marie-Antoinette (suite et fin.) »

Bailly avait présenté au roi les clefs de la ville, en lui faisant un petit discours très respectueux, fort bon, auquel le roi répondit qu’il se verrait toujours avec plaisir et confiance dans sa bonne ville de Paris. […] Bailly le répéta à la ville ; mais il oublia la confiance.

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