Nous sommes d’ailleurs avertis — par une préface où il est question de Dieu — que cette œuvre sadique est, « en quelque sorte, l’Enfer d’un Œuvre chrétien ». […] En se pinçant ainsi, les joueurs se font des questions baroques. […] » J’ai vu un de mes amis français sursautera cette question brusquement posée dans un salon de la vertueuse New-England. […] Si Dieu (ils font souvent intervenir la divinité dans la question des tramways ou dans les discussions d’économie politique), si Dieu a donné au Yankee certains appétits, c’est apparemment qu’il l’a voulu. […] Rosières ont donné tour à tour leur avis sur la question du vers polymorphe.
Autre face de la question. […] Sur le fond de la question, il a tort. […] Car pour le public, ce n’est pas la question. […] … Une seule question. […] » Mais cette question fait attendre quelque temps sa réponse.
J’aime ces questions, cette vue inquiète, Audace du critique et presque du poëte.
En laissant de côté ce qu’il a publié depuis vingt ans sur des questions religieuses familières à son pays bien plus qu’au nôtre, on aura encore dans M.
Mais déjà la nation élevait la voix, les questions les plus sérieuses de l’ordre social étaient soulevées, et les réformes réclamées hautement.
Il n’était plus guère question en effet dans les grandes familles d’imposer le petit collet aux cadets les plus jeunes ; la raillerie philosophique Pavait décrédité, et plus d’un gentilhomme, comme Boufflers, se métamorphosait d’abbé en chevalier.
Mais, à son retour, il ne trouva plus Bonaparte à Milan, et c’est à Paris que ce vieillard, devenu presque aveugle dans le voyage, parvint, non sans beaucoup de peines et de démarches, à remettre au général divers mémoires qui répondaient à ses questions.
Bœrne a tranché d’un mot la question d’une troisième Restauration, que de bonnes gens se posent encore tout bas, et qu’ils travaillent sous main à résoudre de leur mieux.
Perier qu’il était question, tant les hommes nécessaires s’oublient vite de nos jours.
De la pensée, il n’en est pas question, et autant le peintre, le sculpteur, le musicien se piquent d’être des penseurs, autant l’artiste en fait de mots, le styliste s’offenserait qu’on lui prêtât le vulgaire dessein de faire servir les mots à traduire des pensées.
C’est la question qui va nous occuper.
Mais dans tous les cas, quel que soit l’avenir de l’architecture, de quelque façon que nos jeunes architectes résolvent un jour la question de leur art, en attendant les monuments nouveaux, conservons les monuments anciens.
Je n’ai fait toute ma vie que des raisonnements, je suis habitué aux abstractions ; il faut que je sorte de moi-même, que je change toutes les allures de ma pensée, que j’apprenne le style descriptif23. » La question est donc tranchée, Taine lui-même nous le dit : son évolution a été réfléchie ; il a changé volontairement sa manière : cet effort lui a coûté ; il a peiné, travaillé, persisté, et le labeur a fini par développer ses dispositions naturelles, et c’est ainsi qu’il s’est assimilé le style descriptif, où il a, d’ailleurs, excellé.
Ainsi un livre dans lequel la forme de l’Écrivain (quelle qu’elle soit ; ce n’est pas la question) est maîtresse chez elle, quand elle ne l’est pas dans les journaux, où, comme partout, la forme emporte le fond (ou l’empâte), tel est ce premier volume des Œuvres et des Hommes.
Vingt fois il touche à ces brûlantes questions ; vingt fois il est sur le point de réformer nos idées sur le juste et l’injuste, sur le tien et le mien, mais il s’arrête, ce vrai philosophe !
En troisième lieu, ces fables tant célébrées pour leur sagesse et entourées d’un respect religieux ouvraient mille routes aux recherches des philosophes, et appelaient leurs méditations sur les plus hautes questions de la philosophie.