Non, non, il n’y pas de séparation entre l’âme et le corps. » 27 juillet Je vais voir Rouland pour savoir si je puis publier La Lorette sans retourner en police correctionnelle. […] * * * — Je ne sais pourquoi le directeur de la Porte-Saint-Martin avait exposé au foyer les portraits que Gavarni a publiés dans Le Paris, et parmi lesquels figuraient les nôtres. […] J’ai donné l’article en son entier dans Pages retrouvées, volume publié, l’année dernière, chez Charpentier.
V Petit résultat pour de si grands travaux Les œuvres de Chasles publiées depuis sa mort, n’ajouteront rien à ce résultat. On a publié des Mémoires sur lesquels la langue des commères en littérature s’en était donné à cœur-joie, et lui-même avait été une de ces commères-là. […] Au lieu de les continuer, on a publié un livre posthume de Chasles qui n’ajoutera pas beaucoup à sa gloire.
Tous, ou presque tous, une fois au moins, ont cherché, dans cette source pure le secret du langage qu’ils allaient parler, depuis Aristote, qui a écrit deux poésies qui le classent parmi les grands poètes, jusqu’à Schelling, qui a publié un recueil de vers fort curieux sous le nom de Bonaventure. […] Éloa, cette sublimité dans le délicat et le pur, avait eu le succès qui convenait, — un succès chaste, comme elle, plus profond que sonore ; mais trois ans après, jour pour jour, Vigny, qui voulait mettre une fleur de prose à côté de cette fleur de poésie qui était sortie de sa pensée, calice de parfum et de blancheur, comme le nénuphar sort d’une eau limpide, Vigny publia Cinq-Mars, un roman historique bien plus inspiré, selon moi, par Walter Scott, alors régnant, qu’il n’est produit par une fantaisie vraiment libre ou une combinaison irréfléchie. […] VI Louis Ratisbonne, l’ami de cet Alfred de Vigny qui a laissé dans la mémoire des hommes l’impression d’un parfum et d’une harmonie, a publié en volume les pensées et les fragments de mémoires que lui a légués l’auteur d’Éloa ; Alfred de Vigny avait eu, un moment, l’idée d’écrire ses mémoires.
En 1900 j’exposai ma théorie à Gaston Paris ; il en vit aussitôt les conséquences, et, sans me donner tort ni raison, il m’encouragea vivement à la publier. […] Je dois une reconnaissance particulière à Joseph Bédier : l’ouvrage qu’il publie sur l’épopée française me débarrasse d’une grosse difficulté, ainsi qu’on le verra plus loin ; d’autre part, si ma thèse est juste, elle apporte à celle de M. […] Il ne faut pas que les œuvres de ces ouvriers, de valeur relative, nous soient un prétexte pour publier de l’« inédit », faire de l’érudition, encombrer de fatras les manuels et les mémoires ; non, il faut les mettre à leur rang, dire leur vraie valeur, qui n’est pas esthétique mais historique et génétique ; ces œuvres doivent se résumer en lignes d’évolution ascendante ou descendante, et contribuer à une synthèse d’idées.
En commençant par un morceau sur Mme de Sévigné, on n’a pas prétendu donner un portrait étudié de cette personne incomparable : ce ne sont que quelques pages légères, autrefois improvisées au courant de la plume après une lecture des Lettres, et antérieures aux recherches récemment publiées ; mais on les a replacées ici bien plutôt à titre d’hommage, et parce qu’il est impossible d’essayer de parler des femmes sans se mettre d’abord en goût et comme en humeur par Mme de Sévigné.
La même année, il publia les Poèmes sincères, dont un poète a écrit : « Pas un mot que nous n’entendions, pas une idée qui nous passe.
Édouard Fournier Quelques pages de Victor Hugo, publiées dans l’Europe littéraire de décembre 1833, puis, avec moins de développement, dans un de ses deux volumes : Littérature et philosophie mêlées, ont rendu Imbert Galloix célèbre.
GIRAC, [Paul-Thomas de] né à Angoulême, mort à Paris en 1663, n’est connu que par les Ecrits qu’il publia contre Costar, qui mettoit Voiture au dessus de Balzac.
Durantin a publié : Histoire d’Héloïse Paranquet et manuscrit primitif ayant servi à M. […] Jules Bois a publié chez L. […] Ernest Legouvé vient de publier chez Garnier sous ce titre : Le Béranger des Écoles. […] Bardoux vient de publier une très consciencieuse étude. […] Hugues Le Roux a tiré la matière d’un volume qu’il publie sous ce titre : Notes sur la Norvège.
-J Non sans talent, Léo Trezenick, qui appartient à cette école mi-chatnoiresque et mi-décadente qui ne sut pas très bien se fixer entre le mont des Martyrs et celui de Sainte-Geneviève, a publié plusieurs livres d’une fantaisie curieuse.
Ruben Dans un temps où la mode d’aujourd’hui fait si bien justice de la mode d’hier, on a pu parfaitement se hasarder à publier les poésies de Charles Valette, non seulement celles qui ont paru à une époque déjà reculée, mais encore celles qui étaient restées manuscrites.
On croit communément qu’il est l’Auteur des Mélanges d’Histoire & de Littérature, publiés sous le nom de Vigneul de Marville.
De quantité d’Ouvrages qu’il a publiés, un seul lui survit encore, sans répandre toutefois un grand éclat sur sa réputation.
Les Fables qu’il a publiées offrent du naturel & de la facilité, qualités précieuses, mais qui ne sont pas capables de racheter le défaut d’élégance & de verve dans la versification.
Il a suivi la même méthode dans sa Traduction du Traité des vertus & des récompenses, publié par M. le Marquis Dragonetti, pour servir de suite au fameux Traité des délits & des peines de M. le Marquis de Beccaria.
Ce n’est pas pour avoir travaillé à quelques Journaux, pour avoir publié quelques Ouvrages polémiques, & un Abrégé de l’Histoire de M.