Stendhal, qu’il a imité et qu’il n’égala jamais d’aucune manière, Stendhal, qui s’était mêlé aux polémiques du temps et qui venait de publier son étrange chef-d’œuvre de Rouge et Noir, avait eu pour lui les bontés que le génie a pour le talent, mais l’homme qui travailla le plus, dans ce temps-là et depuis, à le faire célèbre, fut, nous l’avons dit plus haut, Gustave Planche, presque oublié maintenant, mais qui tenait alors, à la Revue des Deux-Mondes, le bâton haut d’une critique redoutée. […] B., cette photographie qui n’a osé que les initiales d’Henry Beyle, publiée lâchement sans nom d’auteur et d’éditeur, qu’est-ce que ce nom de sainte peut bien, sous cette plume infâme, signifier ?
Jean Richepin publia son volume des Blasphèmes, on put voir clairement pourquoi il avait oublié le Christianisme et ses influences sur ces pauvres dont il écrivait l’histoire. […] Richepin n’aurait pensé ni publié son livre ; mais il est de son siècle, il le connaît… et il a chanté.
En 1571, c’est-à-dire, quelques mois avant la Saint-Barthélemi, fut prononcé et publié un panégyrique en l’honneur de Charles IX. […] Le même jour, on publia un grand nombre d’éloges funèbres en l’honneur du mort.
Joubert furent publiées pour la première fois en 1842, elles eurent du succès auprès des esprits d’élite, mais elles ne firent pas fureur.
Des réveils bien cruels, pourtant, des déchirements et des scènes s’ensuivirent, dont les ombrages de Coppet auraient couvert et enseveli le souvenir, si l’un des hôtes de ce temps-là, M. de Sismondi, dans des lettres posthumes, publiées depuis peu, n’était venu se faire indiscrètement l’écho du mystère et rendre témoignage fidèle devant la postérité.
Mais depuis trois ans environ, l’audace leur est venue comme à beaucoup de gens en soutane ; ils ont fait un établissement plus considérable et publient ce journal qui a des journaux correspondants dans d’autres pays (par exemple un à Naples, probablement aussi en Allemagne).
— La Revue de Paris de dimanche dernier a publié un chapitre de l’ouvrage de M.
Robespierre, ou plutôt le Comité de saint publie dont il était devenu membre, ne croyait pas encore la France sauvée, et, par politique autant que par habitude, voulait la continuation pure et simple du régime révolutionnaire.
Réfutation de l’histoire de France de l’abbé de Montgaillard, publiée par M.
Après quelques imitations de ballades allemandes, et une traduction de Goëtz de Berlichingen, Scott publia, depuis 1802 jusqu’en 1814, une série de poëmes pleins de grâce et de fraîcheur, Sir Tristram, Marmion, la Dame du Lac, le Lord des îles, Rokeby, qui le placèrent à un rang éminent parmi les poëtes de la nouvelle école, et lui valurent le surnom d’Arioste du Nord.
Publié dans le Revue des Deux Mondes. — On lit dans les Lettres à la Princesse (8 septembre 1865) : « Je suis bien peu en mesure, Princesse, auprès de M.
Article publié par le Constitutionnel.
Il fit à l’abbé la douce violence qu’il attendait, le décida à publier ses Pensées, et nous présenta l’auteur.
Il a publié lentement des sonnets sonores, enfin recueillis dans les Trophées, qui, par la fermeté du dessin, l’éclat des tons et la puissance du modèle, suggèrent un plaisir esthétique rival de celui qui est propre aux arts plastiques, et qui donnent souvent par l’accord de l’idée et de la forme le sentiment même de la perfection.
Je sais seulement qu’aucun homme n’est plus inconnu que lui, et je sais aussi qu’il a fait un chef-d’œuvre, non pas un chef-d’œuvre étiqueté chef-d’œuvre à l’avance, comme en publient tous les jours nos jeunes maîtres, chantés sur tous les tons de la glapissante lyre — ou plutôt de la glapissante flûte contemporaine ; mais un admirable et pur et éternel chef-d’œuvre, un chef-d’œuvre qui suffit à immortaliser un nom et à faire bénir ce nom par tous les affamés du beau et du grand ; un chef-d’œuvre comme les artistes honnêtes et tourmentés, parfois, aux heures d’enthousiasme, ont rêvé d’en écrire un et comme ils n’en ont écrit aucun jusqu’ici.
Palissot, avant qu’il ne publiât la Collection de ses Œuvres en six vol.