Samedi 24 juillet Les embêtements de la vie prennent, l’été, une intensité particulière.
« Des applications particulières, ajoute-t-on, contribuèrent encore au succès de la tragédie d’Esther : ces jeunes et tendres fleurs transplantées étaient représentées par les demoiselles de Saint-Cyr. » La Vasthi, comme dit Mme de Caylus, avait quelque ressemblance avec Mme de Montespan.
« Madame de Maintenon, qui avait pour lui une estime particulière, ne pouvait le voir trop souvent, et se plaisait à l’entendre parler de différentes matières, parce qu’il était propre à parler de tout.
Ces éditions offrent ceci de particulier que l’érudition en est bannie. […] André Bellessort se répétait tout bas le mot du poète Tegnér : « Les dieux y cheminent encore. » Toute la Suède lui est apparue à lui-même comme un être vivant, pénétré d’un étrange attrait : « La séduction de ce pays est dans sa rudesse mystique, dans ses lignes grandes et tristes, mais parfois aussi fines que les traits d’un visage. » C’est d’une foule d’impressions particulières, et, en quelque sorte, localisées, qu’est faite cette vue d’ensemble. […] Une fois de plus, nous voyons un disciple qui s’affranchit, et, sur ce point particulier, c’est bien à lui que le dernier mot reste.
Notre opinion particulière sur les Jardins, si on nous la demande, est que, toutes réserves faites sur l’art et le style en poésie, nous aimons encore cet agréable poème, un des plus frais ornements de la fin du xviiie siècle.
Des circonstances particulières étaient venues accroître encore sa tristesse naturelle.
(Ce sentiment de la lumière si limpide et si répandue dans les tableaux de Léopold Robert doit tenir aussi de ce rayonnement et de cette transparence particulière à l’atmosphère du plateau où il ouvrit les yeux.)
C’est là la particulière puissance du génie de Goethe, puissance qui le fit accuser d’insensibilité.
Edmond Estève, professeur de littérature française à l’université de Nancy Il me paraît singulièrement mal choisi de qualifier de « stupide » le siècle qui s’est appliqué à discerner les moindres nuances de la pensée, à saisir en toute chose ce qu’elle contient de particulier et de relatif, le siècle qui a été par excellence le siècle de la science, de la critique et de l’histoire.
La poésie, avec le soin qu’elle prend d’éviter certaines dissonances, avec son rythme qui mesure le nombre, sinon la durée des syllabes, avec l’écho régulier que fait la rime et parfois le refrain, s’efforce de charmer l’ouïe à sa manière et obtient une harmonie particulière qui n’est point à dédaigner.
Ce sentiment de la vanité infinie des choses, de l’abîme éternel qui nous engloutit tous, — « que nous ayons été berger ou que nous ayons été troupeau », — comme dit Firdousi, est particulier à la Perse ; ses poètes en ont toujours été pénétrés.
Puis elle dit en éclatant de rire : — Tiens, c’est comme à Milan, au théâtre de la Scala, un particulier qui me faisait des saluts, des saluts… Je disais : « Je connais cette bouche-là », mais je ne reconnaissais que la bouche, absolument que la bouche… — Te rappelles-tu, reprend tout à coup la Deslions, quand par ce sale temps nous avons été voir où s’était pendu Gérard de Nerval… Oui, je crois même que c’est toi qui as payé la voiture… J’ai touché le barreau.
Quelque chose de particulier se passe en vous : on se sent de la gêne comme devant l’inconnu dans lequel on va entrer, et si peu que l’on croie à la bonne aventure, il y a une sorte d’appréhension de se trouver sur la sellette de son avenir.
Quelques êtres pourtant résistent à la germination universelle, et alors ils sont dans cet état particulier où l’inspiration monstrueuse peut s’abattre sur eux.
Louis XVIII octroyait au poète, en septembre 1822, une pension de 1 000 francs sur sa cassette particulière et, en février 1823, une seconde pension de 2 000 francs sur les fonds littéraires du ministère de l’Intérieur.
Enfin presque tous les animaux qui vivent de sang ont un cri particulier, qui ressemble à celui de leurs victimes.