A lui, ce qu’on demande, au contraire, c’est sa pensée sur un auteur ou sur un ouvrage, sa pensée, soit qu’elle soit faite de principes ou qu’elle le soit d’émotions ; ce qu’on lui demande, ce n’est pas une carte du pays, ce sont des impressions de voyage ; ce qu’on lui dit, c’est : « Vous vous êtes rencontré avec M. […] » Quand vous saurez ce qu’en pense un tel, vous serez préparé pour un nouveau voyage ; non, pour le même, mais avec une autre façon de voir.
Il a écrit des voyages. […] Pour l’avoir tirée mieux que de la mort, mais de l’incertitude de l’Histoire : pour avoir débrouillé cette mystérieuse quenouille de fée, à laquelle il y a du sang, et que cette reine d’Écosse semble porter à sa ceinture, ce qu’il a fallu de soins, d’études, de recherches, de voyages, d’efforts et de fatigues à M.
Il y a, en Suisse, le voyage obligé, le voyage classique, le Rubicon de l’adultère qu’on passe sur tous les lacs de ce pays.
Quoiqu’il n’eût pas été disciple de Pythagore, il reçut la tradition récente encore de ses leçons : il y joignit les voyages en Orient, dont profita de bonne heure le génie grec, à part la supériorité que ses lois et ses arts lui donnaient sur les peuples que la Grèce appelait barbares. […] Au retour de ses voyages, et sous le renom célèbre de sa secte, Empédocle fut accueilli dans les villes libres de Sicile comme un sage, un enchanteur, un poëte, un musicien tout-puissant.
Dans toutes ses pièces, dans tous ses romans, dans toutes ses impressions de voyages, Dumas me fait toujours un seul et même effet, et déroule à mes yeux un seul et même esprit : c’est un déjeuner de garçons perpétuel.
Parurent ensuite : Le Chef des odeurs suaves, « poème dont les fleurs et les parfums groupés en symboles forment le sujet varié », Le Parcours du rêve au souvenir, « multiples feuillets recueillis au long des voyages du poète », Les Hortensias bleus, « modulations alternativement fortes et délicates », Les Perles rouges, 93 sonnets sur Versailles, qui font revivre, en lui gardant la grâce de sa vieillesse surannée, le grand siècle aboli.
Nous ne parlerons pas de celui qui a pour titre, Voyage du Parnasse, où l’esprit de satire animant sa fécondité naturelle, l’a entraîné au delà des bornes de la précision & du bon goût ; nous ne nous attacherons qu’à son Poëme de Clovis.
A la fin, la pauvreté contraignit Homère de cesser sa vengeance & ses voyages, de se fixer à Chio, & d’y lever une école.
Ses Tableaux de voyage sont le modèle du genre. […] Elle serait noyée dans mille détails ; appartement, toilettes, bibelots, voyages et paysages. […] Je ne crois pas qu’il soit possible de donner à la langue française plus de relief harmonieux et simple qu’il n’en ressort de ces nouvelles ou brèves notations de voyage. […] Il s’appelle le Voyage dans les Yeux. […] Lu Voyage dans les Yeux !
Il a beaucoup voyage dans sa jeunesse.
. — Voyage en Orient (1856). — Les Chimères et les Cydalises, poèmes, avec notice de R. de Gourmont (1897).
Ce sont beaux voyages.
Son Voyage du Languedoc, pour n’avoir pas la même aménité, l’heureuse aisance, le ton moëlleux de celui de Bachaumont & de Chapelle, n’en a pas moins le mérite de surpasser celui-ci par la correction, la variété, la noblesse, & la Poésie.
. — L’âge héroïque qui vient ensuite, comprend deux cents années pendant lesquelles nous voyons d’abord les courses de Minos, l’expédition des Argonautes, la guerre de Troie et les longs voyages des héros qui ont détruit cette ville.
Je veux parler du récit des voyages dont, pour la première fois, il a fait un genre littéraire. […] En 1811, un voyage en Italie développa l’imagination du jeune poète. […] Prenons au hasard une lettre écrite pendant un voyage à Londres (t. […] Dieu merci, j’ai été compris, et ce petit voyage qui me laissera de si longues traces ne sera pas nul pour toi. […] Elles furent réunies en 1836 dans un seul volume à ses impressions de voyage en Italie.