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788. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » p. 397

Il regardoit ses Ouvrages avec tant d’indifférence, qu’il ne prit jamais aucun soin de les recueillir ; ils n’ont paru qu’après sa mort, réunis en quatre volumes, avec un Avertissement très-mal écrit, & qui ne ressemble en rien au génie de l’Auteur.

789. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 436-437

L'Abbé Vély avoit laissé cette Histoire au neuvieme volume.

790. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « BRIZEUX et AUGUSTE BARBIER, Marie. — Iambes. » pp. 222-234

Il faut en conclure seulement, peut-être, que par moments, dans le détail de l’expression, il s’est laissé aller en pur artiste à un caprice d’énergie exorbitante qui distrait et donne le change sur l’ensemble de sa pensée ; mais l’intention générale, la philosophique moralité de son inspiration n’est pas douteuse ; elle ressert manifestement de ses compositions les plus importantes, de la Curée, de la Popularité, de l’Idole, de Melpomène ; elle est écrite en termes magnifiques, au début et à la fin du volume, dans les pièces intitulées Tentation et Desperatio ; car ce livre, né de la révolution de Juillet, pour plus grande analogie avec elle, entr’ouvre le ciel d’abord et nous leurre des plus radieuses merveilles ; puis de mécompte en mécompte, il tourne au désespoir amer et crève sur le flanc comme un chien. […] J’introduis dans cette édition quelques articles de date ancienne que je n’avais point recueillis tout d’abord dans les volumes de Portraits contemporains : c’étaient, à proprement parler, des articles d’annonce, et en partie de citations, le coup de trompette y domine, mais aussi on y sent quelque chose du premier entrain et du souffle qui animait toute notre jeune génération au moment du départ pour la poétique croisade.

791. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XVIII. Gentils conteurs » pp. 218-231

Henri Lavedan, que je goûte d’ordinaire, n’a pas pris aujourd’hui grand mal à édifier ce volume, articles du quotidien Le Journal, ni hier à écrire lesdits articles. […] Au volume les répétitions fatiguent, des insuffisances se soulignent, et le vice fondamental de la conception du dandysme qu’a M. 

792. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « VII »

Je les connais et je les aime depuis le collège, où l’on nous donnait pour prix les trois gros volumes de Léon Gautier, pour nous familiariser avec ces pures beautés nationales. […] Utiliser toutes les œuvres qui pouvaient m’être profitables, c’eût été m’obliger à écrire un in-folio, et mes adversaires eussent été contraints de doubler leurs volumes de réfutation.

793. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre VIII. Mme Edgar Quinet »

» Déjà à la page 125 de son volume, cette hallucinée d’amour conjugal avait tracé ces mots incroyables pour consoler Paris de ses misères et relever son cœur humilié : « Je ne sais pas si l’Europe admire Paris, mais j’ai vu pleurer mon mari !!!  […] Tournons ce furieux robinet qui éjacule de ces choses-là jusqu’à la fin d’un volume qui a 348 de ces pages, haletantes comme une locomotive !

794. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « César Daly »

César Daly Des concours pour les monuments publics ; Revue générale de l’Architecture (vingt volumes in-4º) ; Idées d’esthétique. […] Nous avons l’œuvre spéculative de Daly, cette œuvre d’une haleine immense, qui respire dans les vingt volumes in-4º de la Revue de l’Architecture, et qui continuera d’y respirer pendant peut-être vingt autres encore, nous l’espérons, pour le bonheur de la science du xixe  siècle, qui peut s’y voir, et le profit du xxe qui devra l’y retrouver les jours qu’il aura besoin d’elle !

795. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Le comte de Fersen et la cour de France »

L’éditeur, qui se nomme à la tête de ces deux volumes, est le petit-neveu du comte de Fersen. […] IV Voilà, en substance, les Mémoires de Fersen, qui ont deux gros volumes et qui ne contiennent guères plus qu’une année, — allant de la fuite de Varennes à la mort de la Reine.

796. (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « A. Grenier » pp. 263-276

IV Cet épilogue, auquel il est impossible de s’attendre, est, en effet, la chose la plus surprenante du volume de Grenier ; car le volume fait, il le supprime… Sensation horriblement désagréable, venant après les plus agréables sensations !

797. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Abailard et Héloïse »

M. de Rémusat publiait aussi de son côté deux gros volumes qu’il intitulait pompeusement : Abailard, sa vie, sa philosophie, sa théologie, — et comme si ce n’était pas assez que ces deux hommages du Rationalisme moderne offerts à l’un de ses précurseurs, l’éditeur de M. de Rémusat a publié un volume encore dont Abailard est le sujet et même le héros.

798. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XI. Gorini »

Gorini13 [Le Pays, 26 juillet 1859] I Ce n’est point un livre réellement composé, que ces trois volumes, mais c’est un travail immense et très étonnant de détail. […] On le rencontrait par les chemins, courbé sous le poids des volumes qu’il rapportait à dos, comme les pauvres rapportent leur bois et leur pain.

799. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XIX. Abailard »

M. de Rémusat publiait aussi de son côté deux gros volumes qu’il intitulait pompeusement : Abailard, sa vie, sa philosophie, sa théologie, — et comme si ce n’était pas assez que ces deux hommages du Rationalisme moderne, offerts à l’un de ses précurseurs, l’éditeur de M. Rémusat publie aujourd’hui un nouveau volume dont Abailard est le sujet et même le héros.

800. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « L’Abbé *** »

Les gens à qui on en avait parlé se sont mis à lire le fatras de ces trois volumes, mais personne n’y a trouvé ce qu’il y cherchait. […] Il ne m’est guères permis, à moi, d’écrire le mot d’idiot45, mais je crois bien que c’est ce mot-là qu’il faudrait ici, en parlant de ces trois énormes volumes sans couleur, sans passion, sans esprit, sans gaîté, et que les éditeurs belges ont pu seuls nous donner comme un grand coup porté à l’Église dans le pays de Voltaire, où il faut de la verve et de la gaîté même aux camouflets du voyou.

801. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 147

Il a composé une infinité de Pieces pour le Théatre de son département, qui forment trois gros volumes.

802. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 258

M. de Thou & le Chancelier de l’Hôpital louent beaucoup ses vers qui forment trois volumes : on aime mieux s’en rapporter à M. de Thou, que d’examiner les Pieces.

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