On connoît un autre Aubery, sieur du Maurier, mort en 1667, par des Mémoires pour servir à l’Histoire de Hollande ; Ouvrage où la vérité est dite avec courage & fermeté, & dont plusieurs Historiens ont tiré le plus grand parti.
La Vie de Grotius, celle d’Erasime, celle de Bossuet, sont le fruit de ses travaux, c’est-à-dire qu’il a pris la peine de recueillir, sur ces célebres Ecrivains, différentes Pieces qui peuvent servir de matériaux à ceux qui voudront traiter les mêmes sujets d’une maniere plus intéressante.
Je crois donc qu’il faut avoir le tact de leur épargner et les choses incontestables, et celles où la contestation ne sert de rien. […] Mais déjà sa plus jeune fille, Angélique d’Angennes, méritait de servir d’original à Molière. […] Ses pièces touchent au tragique… Sincérité est bien le terme dont il faut se servir en partant de lui. […] Dates données par Roederer, Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie. […] Roederer, Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie.
Du terme abstrait et sommaire elle nous fait remonter aux attributs qu’il représente et de ces attributs aux expériences intérieures ou sensibles qui leur servent de fondement. Du terme chien elle nous fait remonter aux attributs mammifère, carnassier et autres qu’il représente, et de ces attributs aux expériences de vue, de toucher, de scalpel, qui leur servent de fondement. […] S’il s’agit de mots, comme dans les définitions de noms, tout son effort est de ramener les mots aux expériences primitives, c’est-à-dire aux faits qui leur servent d’éléments. […] Point du tout, répond Mill, car si cela est, le raisonnement ne sert à rien. […] Ils ont échoué à demi, et leur gigantesque bâtisse, toute factice et fragile, pend en ruine, semblable à ces échafaudages provisoires qui ne servent qu’à marquer le plan d’un édifice futur.
Du terme abstrait et sommaire elle nous fait remonter aux attributs qu’il représente, et de ces attributs aux expériences intérieures ou sensibles qui leur servent de fondement. Du terme chien elle nous fait remonter aux attributs mammifère, carnassier et autres qu’il représente, et de ces attributs aux expériences de vue, de toucher, de scalpel, qui leur servent de fondement. […] S’il s’agit de mots, comme dans les définitions de noms, tout son effort est de ramener les mots aux expériences primitives, c’est-à-dire aux faits qui leur servent d’éléments. […] Point du tout, répond Mill, car si cela est, le raisonnement ne sert à rien. […] Ils ont échoué à demi, et leur gigantesque bâtisse, toute factice et fragile, pend en ruine, semblable à ces échafaudages provisoires qui ne servent qu’à marquer le plan d’un édifice futur.
La première édition de ce volume, qui parut d’abord en décembre 1851, avait en tête cet avertissement : « Ce volume, que j’intitule Derniers Portraits, non parce que j’ai décidé de n’en plus faire, mais parce qu’il se compose des dernières études de ce genre auxquelles j’ai pris plaisir avant Février 1848, sert de complément aux six volumes de Portraits déjà publiés chez M.
Puisse-t-il sous cette forme nouvelle leur être encore utile, servir aussi à leurs camarades de France et d’ailleurs, et, manié, perfectionné par leurs mains juvéniles, les aider tous à dégager de la gaine de pierre où elle est ci demi emprisonnée les lignes pures et harmonieuses de la Vérité !
Celle du Président est d’un homme nourri de la lecture des Anciens, & plus engraissé de leur substance (si on peut se servir de ce terme) que paré des graces qui leur sont si naturelles.
On jugera toujours par ses Vies des Solitaires d’Orient, ses Lettres spirituelles, la Comédienne convertie, la parfaite Religieuse, la Vierge chrétienne, &c. en un mot par tous ses Ouvrages, qu’il eût été capable de donner plus d’exactitude & plus de perfection à son style, s’il se fût autant occupé de sa réputation littéraire, que du désir de faire servir sa pieuse industrie à inspirer l’horreur du vice, l’amour de la Religion & de la vertu.
On est en droit d'espérer que le goût plus exercé de l'Auteur resserrera davantage son élocution quelquefois diffuse, & en écartera certaines métaphores outrées & captieuses, si l'on peut se servir de ce terme, qui, sans rendre la pensée plus vive, n'y jettent qu'un éclat plus éblouissant que lumineux.
En lisant le premier chapitre, qui sert d'introduction, on croit entendre Pline l'ancien.
Eh bien, dans ce dernier volume, je vais tâcher, autant qu’il m’est possible, de servir seulement aux gens, saisis par mes instantanés, la vérité agréable, l’autre vérité qui fera la vérité absolue, viendra vingt ans après ma mort.
Elle sert à cela dans l’ordre humain. Elle sert encore à autre chose. […] Ils servent à prouver que tu es femme et que tu te tiens pour telle. […] Et si j’ai tardé à me servir du mot, c’est qu’elle est individualiste avant d’être libérale. […] Elle n’a pas servi à Constant seulement à se connaître, ce qui est déjà un affranchissement, elle lui a servi aussi, en une grande mesure, à se délivrer de lui-même.
Non seulement il y figure, comme tout le monde (« Il faudrait qu’après l’avoir lu on n’osât plus parler de peur de dire quelque chose qui s’y trouve »), mais il se sert du Dictionnaire avec autant d’expérience que Lheureux se sert du Code. […] « La mort de l’archevêque de Paris me sert, je crois. […] Comme c’était servi et bon ! […] Trop parfaite et trop préconçue peut-être : nous voyons encore sous ce beau dessin le quadrillé qui a servi à en établir les proportions. […] et depuis lors je m’acharne à ces occupations niaises qui me servent à vivre, le Seigneur le veut !
Tout écrit signé d’un homme de talent pourrait servir jusqu’à un certain point d’extrait de naissance. […] Où sont cependant tous ces concerts, et à quoi ont servi tant de chansons ? […] À quoi sert l’exhibition de ce vieux scélérat, puisque M. […] De même qu’il n’est pas d’être ou d’objet qui ne puisse servir à exprimer la beauté, il n’est pas d’occasion qui ne soit bonne pour exprimer la vérité. […] La description du portrait de la belle au bouquet bleu, qui sert de point de départ aux investigations du romancier, m’en a rappelé une autre du même genre, qui sert également d’introduction à une histoire de cette même fin de l’ancien régime, Mlle de Malepeyre, le chef-d’œuvre de Mme Charles Reybaud.