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366. (1846) Études de littérature ancienne et étrangère

Il écrivit beaucoup en grec, exercice qu’au rapport de Suétone il continua jusqu’à l’époque de sa préture. […] L’auteur, Achille Tatius, finit, au rapport de Suidas, par embrasser le christianisme, et devint évêque. […] Ce dernier jugement est plus que douteux ; et, sous aucun rapport, il ne peut devenir l’opinion des étrangers. […] Sous ce rapport, le Paradis perdu fournirait des exemples pour un traité tel que celui de Longin. […] Sous ce rapport, on peut dire que, s’il est Anglais par le tour de l’expression et le génie, il est Européen par les idées.

367. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 186

Ses Mémoires d’Espagne sont pleins de faussetés & d’injustice, dans ce qui a rapport à l’histoire & aux mœurs de cette Nation.

368. (1914) L’évolution des genres dans l’histoire de la littérature. Leçons professées à l’École normale supérieure

En second lieu, et quand nous connaîtrons le rapport chronologique ou généalogique de ces formes entre elles, quel en est, quels en sont, si je puis ainsi dire, les rapports esthétiques ? […] Enfin, et après les rapports généalogiques ou esthétiques de ces formes entre elles, quels en sont, s’il y en a, les rapports scientifiques ? […] Quel est d’ailleurs le rapport des idées ou des doctrines de Pilct de la Mesnardière, dans sa Poétique, datée de 1640 ; de d’Aubignac, dans sa Pratique du Théâtre, qui est de 1657 ; et de Corneille enfin, dans ses Discours et dans ses Examens, qui paraissent pour la première fois en 1660, quel en est le rapport avec les doctrines ou les idées de Chapelain, nous le verrons plus tard. […] Ce sont les premiers mots du livre de la Littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales. […] On jugera désormais, et l’on mesurera la valeur des œuvres à la quantité, à la complexité, à la délicatesse des rapports qu’elles expriment, ou si vous l’aimez mieux, à la richesse de leur signification.

369. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 58

Celui qui a rapport à l’Ecriture-Sainte, donne sur-tout l’idée d’un Ecrivain laborieux, attentif, éclairé, qui sait relever à propos les falsifications que les Ministres Protestans se sont si souvent permises, pour ajuster les textes aux principes de leur doctrine.

370. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 12

On a encore de cet Auteur plusieurs petits Ouvrages qui ont un rapport plus particulier avec les Belles-Lettres, & qui ne font pas moins honneur à sa plume.

371. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Histoire du Consulat et de l’Empire, par M. Thiers. Tome xviii » pp. 84-92

Raynouard présenta son rapport, dit M.  […] Le rapport de M. 

372. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « en tête de quelque bulletin littéraire .  » pp. 525-535

Je laisse tout d’abord le côté politique qui, comme on sait, n’a nul rapport avec notre peu d’ambition et d’intrigue : Dieu me garde de trouver la plus lointaine ressemblance ! […] En restreignant la question à la poésie même, le rapport avec certaines époques antérieures est frappant.

373. (1874) Premiers lundis. Tome I « J. Fiévée : Causes et conséquences des événements du mois de Juillet 1830 »

C’est le seul ministre qui m’ait frappé sous ce rapport. […] «  La grande journée de juillet a prouvé le besoin de changer notre langue politique, et de renoncer enfin à d’antiques expressions qui depuis longtemps n’ont plus de rapports avec notre ordre social.

374. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre IV. De la philosophie et de l’éloquence des Grecs » pp. 120-134

L’éloquence, soit par ses rapports avec la poésie, soit par l’intérêt des discussions politiques dans un pays libre, avait atteint chez les Grecs un degré de perfection qui sert encore de modèle : mais la philosophie des Grecs me paraît fort au-dessous de celle de leurs imitateurs, les Romains ; et la philosophie moderne a cependant, sur celle des Romains, la supériorité que doivent assurer à la pensée de l’homme deux mille ans de méditation de plus. […] La politique était chez eux une branche de la morale ; ils méditaient sur l’homme en société ; ils ne le jugeaient presque jamais que dans ses rapports avec ses concitoyens ; et comme les états libres étaient composés en général d’une population fort peu nombreuse, que les femmes n’étaient de rien dans la vie19, toute l’existence de l’homme consistait dans les relations sociales : c’était au perfectionnement de cette existence politique que les études des philosophes s’attachaient exclusivement.

375. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XVI. De l’éloquence et de la philosophie des Anglais » pp. 324-337

On poussait jusqu’au paradoxe un système vrai sous quelques rapports ; la raison ne pouvant avoir un effet utile, on voulait au moins que le paradoxe fût brillant. […] Burke, le plus violent ennemi de la France, a, dans son ouvrage contre elle, quelques rapports avec l’éloquence française ; mais quoiqu’il ait des admirateurs en Angleterre, on y est assez tenté d’accuser son style d’exagération autant que ses opinions, et de trouver sa manière d’écrire incompatible avec des idées justes.

376. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre II. Distinction des principaux courants (1535-1550) — Chapitre II. Jean Calvin »

L’Institution chrétienne : rapport de la Réforme et de la Renaissance. […] Pour régler la vie, comme pour saisir les rapports de l’homme à Dieu, de la nature à la religion, il a fallu que Calvin se fit psychologue et moraliste.

377. (1894) Propos de littérature « Chapitre Ier » pp. 11-22

Il est plus difficile de distinguer la mesure de ses rapports avec l’homme. […] Le monde sensible lui apporte des images d’elle-même, car elle ne saisit des choses que ce qui peut l’affecter ; le raisonnement, rapport de plusieurs souvenirs, n’est que la comparaison de divers états de son développement ; tout songe, toute idée, lui révèlent quelqu’un de ses aspects.

378. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre X. Prédictions du lac. »

Jésus, dont les rapports avec les Esséniens sont très difficiles à préciser (les ressemblances, en histoire, n’impliquant pas toujours des rapports), était ici certainement leur frère.

379. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Francis Lacombe »

On y trouve tout ce qui tient aux jurandes, aux maîtrises, aux rapports des travailleurs avec l’État et la religion. […] Francis Lacombe a très bien montré dans son livre le rapport de cause à effet existant entre la destruction des assemblées corporatives et l’établissement des clubs révolutionnaires.

380. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Ratisbonne, Louis (1827-1900) »

[Rapport sur le progrès des lettres, par MM. 

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