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995. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » pp. 507-511

HOUTEVILLE, [Claude-François] de l’Académie Françoise, mort à Paris, sa patrie, en 1742. […] HUET, [Pierre-Daniel] Evêque d’Avranches, de l’Académie Françoise, né à Caen en 1632, mort à Paris en 1721.

996. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 364-367

MORAND, [Pierre de] Avocat au Parlement d’Aix, né à Arles en 1701, mort à Paris en 1757, exerça ses talens poétiques sur les trois Théatres de la Capitale, & eut quelques succès dans le genre tragique & comique. […] Au reste, cet Auteur fut pendant dix-huit ans Correspondant littéraire du Roi de Prusse, ce qui n’a pas empêché qu’il ne soit mort de misere.

997. (1730) Des Tropes ou des Diférens sens dans lesquels on peut prendre un même mot dans une même langue. Traité des tropes pp. 1-286

La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles, etc. […] il a été, il a vêcu, veut dire souvent il est mort ; c’est l’antécédent pour le conséquent. […] Un mort est regreté par ses amis, ils voudroient qu’il fut encore en vie, ils souhaitent celui qu’ils ont perdu, ils le desirent : ce sentiment supose la mort, ou du moins l’absence de la persone qu’on regrète. Ainsi la mort, la perte ou l’absence sont l’antécédent ; et le desir, le regret sont le conséquent. […] l’home est sujet à la mort ; cela est vrai dans le sens collectif, et dans le sens distributif.

998. (1875) Premiers lundis. Tome III « Du point de départ et des origines de la langue et de la littérature française »

Cette lettre (en grec) fut écrite probablement par quelques-uns des témoins qui échappèrent à la mort, après avoir assisté à tout le supplice, et peut-être avoir eu leur part des tortures. […] Les Burgundes, à la mort d’Honorius (423), franchissant les limites de la première Germanie, s’étaient avancés jusqu’à Toul et à Metz. […] Il en parut le Restaurateur et le Père ; c’est le titre que lui donnait en 1594 l’avocat Loisel, en lui dédiant un vieux poème de la Mort attribué à Hélinand, qu’il publiait sans le bien comprendre. […] Ce jeune savant, mort en 1836 à l’âge de vingt-neuf ans, n’eut point la satisfaction de publier lui-même ses recherches : ce furent ses amis qui prirent ce soin et qui donnèrent son livre, resté imparfait, en 1839. […] Ces mots-là sont des mots morts qu’on a calqués à plat sur le papier30.

999. (1857) Cours familier de littérature. III « XVIe entretien. Boileau » pp. 241-326

Nous aurons à y revenir bien souvent encore en touchant à Corneille, à Molière, à La Fontaine, à Bossuet, à Fénelon, à Pascal, à Mme de Sévigné, ces éternels survivants d’un siècle mort. […] Si on l’écrit contre ce qui tient le glaive, roi ou peuple, elle est un danger de mort, et on dévoue sa tête au licteur ou le sang de ses veines au suicide. […] … est une image interrompue qui emporte l’avare et le lecteur jusqu’aux extrémités de l’Océan, à la fortune ou à la mort. […] Peu de temps après cette plainte et cette mort, Boileau lui-même n’était plus. […] Par la première il comprima, autant qu’il était en lui, les originalités, les témérités, les audaces, les enthousiasmes poétiques de la France littéraire, et il la condamna à se calquer servilement sur l’antique, c’est-à-dire à calquer le vif sur le mort.

1000. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « XVIII. J.-M. Audin. Œuvres complètes : Vies de Luther, de Calvin, de Léon X, d’Henri VIII, etc. » pp. 369-425

Ce grand travailleur creusait sous lui assez profondément le sol pour que le tour d’un siècle suffît au labeur entier de sa vie, quand même cette vie n’eût pas été si promptement interrompue par la mort. […] Lorsqu’il est mort, il méditait une Elisabeth digne de l’Henri VIII. […] Au moment où il revenait gerber sa moisson d’observations et d’études, il fut atteint d’une mort tout à la fois inopinée et prévue. […] Mort douce comme sa vie, et comme son esprit ! […] Audin est mort à cinquante-sept ans, jeune de tout, excepté d’années.

1001. (1906) Propos de théâtre. Troisième série

C’est pour cela que Racine arrête sa pièce aussitôt que Polynice et Etéocle sont morts. […] Il ne retranche pas l’histoire de sa mort ; mais il le retranche comme personnage. […] Or, la mort d’Antigone ne lui ôte pas la royauté, et presque au contraire. […] Ménécée est mort. […] Personne, et il en sera ainsi tant que Sarcey sera mort.

1002. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Le prince de Ligne. — II. (Fin.) » pp. 254-272

Le prince de Ligne était de cette race ; au moment de la prise de Belgrade, il écrivait à M. de Ségur, combinant avec art toutes ses sensations : « Je voyais avec un grand plaisir militaire et une grande peine philosophique s’élever dans l’air douze mille bombes que j’ai fait lancer sur ces pauvres infidèles… » Et après l’entrée dans la place : « On sentait à la fois le mort, le brûlé et l’essence de rose ; car il est extraordinaire d’unir à ce point les goûts voluptueux à la barbarie. » Il se plaît lui-même à se jouer à ces antithèses. […] Cette inaction à laquelle sa cour le condamnait lui fut cruelle : « Apparemment, disait-il, que je suis mort avec Joseph II, ressuscité un moment pour mourir avec le maréchal Laudon, et être malade avec le maréchal Lacy. » Il y eut des moments où il aurait voulu être désigné pour commander en chef en Italie, et pour se mesurer avec le vainqueur de Rivoli ou de Marengo. […] Un jour qu’il avait reçu un de ces affronts comme la vieillesse la plus aimable n’en saurait éviter lorsqu’elle s’obstine à vouloir être toujours jeune, il lui échappa, à lui si bienveillant, quelques paroles contre la jeunesse : « Mon temps est passé ; mon monde est mort… Mais enfin quel est donc aujourd’hui le mérite de la jeunesse pour que le monde lui prodigue ainsi toutes ses faveurs ?  […] On n’est pas si gai à quinze ans qu’à dix, à trente qu’à vingt ; ainsi du reste jusqu’à la mort. […] [NdA] Il a écrit à Catherine, sur la mort de Joseph II, une lettre qui a mérité de devenir historique.

1003. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Gabrielle d’Estrées. Portraits des personnages français les plus illustres du XVIe siècle, recueil publié avec notices par M. Niel. » pp. 394-412

Niel la suppose née vers 1571 ou 1572, ce qui lui donnerait vingt-huit ans à l’époque de sa mort. […] On annonçait sa mort même avant qu’elle eût cessé de vivre. […] Il accourait de Fontainebleau à toute bride pour voir la malade, lorsque la nouvelle de la mort, qu’il apprit en chemin à Villejuif, le fit retourner à Fontainebleau. […] Sully survenant lui cita les Psaumes et lui parla du doigt de Dieu, dont la sagesse convertit souvent notre mal en bien ; il parlait en cela comme sentaient tous les bons Français, que la mort de cette pauvre femme tirait d’une inquiétude grave. […] [NdA] J’ai sous les yeux un pamphlet de quatre pages eu vers, intitulé Dialogue, composé le lendemain de la mort de Gabrielle, et qui exprime d’atroces sentiments de haine.

1004. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Massillon. — II. (Fin.) » pp. 20-37

… — Que d’éternelles vérités sur le sujet de la mort, vérités encore neuves aujourd’hui et qui le seront toujours ! car cette idée de mort, que les hommes oublient sans cesse et qu’ils essayent de tourner, les domine, quoi qu’ils fassent. Créatures fragiles, êtres d’un jour, malgré les hautains progrès dont ils se vantent, malgré les ressources croissantes dont ils disposent, la mort est là qui les déjoue aujourd’hui comme au lendemain d’Adam, et qui les saisit dans leurs plans d’ambition, d’accomplissement ou d’attente, dans leurs rivalités, dans leurs espoirs de revanche et de représailles sur la fortune : « Nous nous hâtons de profiter du débris les uns des autres : nous ressemblons à ces soldats insensés qui, au fort de la mêlée, et dans le temps que leurs compagnons tombent de toutes parts à leurs côtés sous le fer et le feu des ennemis, se chargent avidement de leurs habits… » Mais ceci ne vient qu’après un grand et inépuisable mouvement d’éloquence sur la fuite et le renouvellement perpétuel des choses, un des plus beaux exemples de la parole humaine. […] Il faisait donner les sacrements à la digne nièce de Pascal, Mlle Marguerite Périer, qui mourait à Clermont en 1733 à l’âge de quatre-vingt-sept ans, et qu’un curé moins sage voulait questionner sur certains articles au lit de mort. […] Leur union a été jusqu’au point qu’il lui a fait part de son génie pour les mathématiques. » C’est cette personne savante que Massillon dirigeait dès 1703, et il alla passer les vacances chez elle à Saint-Mesmes en 1704, peu de temps après la mort du marquis : ce qui donna lieu à tous les propos, quolibets et chansons.

1005. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Madame Dacier. — II. (Fin.) » pp. 495-513

Les grands écrivains du siècle de Louis XIV étaient tous morts, il ne restait plus que Fénelon : pourtant leur autorité régnait toujours ; c’était le même régime qui se continuait en apparence. […] Elle remplit le court intervalle qui s’étendit jusqu’à la mort de Louis XIV, et elle se prolongea au-delà sous la Régence. […] Saint-Simon, le maître et le juge des mœurs sévères et bienséantes, a dit : La mort de Mme Dacier fut regrettée des savants et des honnêtes gens. […] Sa fille se fit catholique après sa mort, et se maria à Dacier, garde des livres du Cabinet du roi, qui était de toutes les Académies, savant en grec et en latin, auteur et traducteur. […] L’aimable et spirituel abbé Fraguier, le même qui, à l’apparition du premier manifeste de La Motte, avait fait en latin ce vœu public aux Muses de lire chaque jour de l’année 1714, avec son ami Rémond, mille vers d’Homère pour détourner loin de soi la contagion du sacrilège ; l’abbé Fraguier, dans une élégie également latine sur la mort de Mme Dacier, nous la représente arrivant aux champs Élysées et reçue par sa fille d’abord, cette jeune enfant qui court à elle les cheveux épars et en pleurant ; puis l’Ombre d’Homère, pareille à Jupiter apaisé, sort d’un bosquet voisin et la salue comme celle à qui il doit d’avoir vaincu et de régner encore (« Quod vici regnoque tuum est… »).

1006. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Bossuet. Lettres sur Bossuet à un homme d’État, par M. Poujoulat, 1854. — Portrait de Bossuet, par M. de Lamartine, dans Le Civilisateur, 1854. — II. (Fin.) » pp. 198-216

Sa mort suffisait pour notre salut ; mais sa mort ne suffisait pas à ce merveilleux appétit qu’il avait de souffrir pour nous. […] Et sur cet homme petit en soi et honteux de sa petitesse, qui travaille à s’accroître, à se multiplier, qui s’imagine qu’il incorpore tout ce qu’il amasse et ce qu’il acquiert : Tant de fois comte, tant de fois seigneur, possesseur de tant de richesses, maître de tant de personnes, ministre de tant de conseils, et ainsi du reste : toutefois, qu’il se multiplie tant qu’il lui plaira, il ne faut toujours pour l’abattre qu’une seule mort… Dans cet accroissement infini que notre vanité s’imagine, il ne s’avise jamais de se mesurer à son cercueil, qui seul néanmoins le mesure au juste. […] Enfin la mort de la reine d’Angleterre vint lui offrir (1669) le plus majestueux et le plus grandiose des sujets. […] Louis XIV dans ses Mémoires, parlant de M. de Lionne à la date de sa mort, se contente de dire : « En 1671, un ministre mourut qui avait la charge de secrétaire d’État, ayant le département des Affaires étrangères.

1007. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Agrippa d’Aubigné. — I. » pp. 312-329

L’Histoire universelle de d’Aubigné, dont Henri IV est le centre et le pivot, avait été entreprise ou projetée par le conseil de ce roi, qui, ce semble, n’aurait pas été fâché d’avoir pour historiens, d’une part le calviniste d’Aubigné, et d’autre part l’ancien ligueur Jeannin : l’un, racontant plutôt les faits de guerre et de parti, l’autre, exposant les choses d’État et de conseil ; mais bientôt Henri IV, soit qu’un jésuite, le père Cotton, lui eut fait sentir les inconvénients ainsi que d’Aubigné le donne à entendre, soit qu’il se méfiât assez par lui-même de cette satirique langue de d’Aubigné, comme il l’appelait, Henri IV insista peu sur sa recommandation première et sur les encouragements qu’il avait promis ; d’Aubigné attendit à la mort de ce roi pour se remettre à l’œuvre, et il s’y remit, on le doit reconnaître, dans un esprit digne d’une aussi généreuse entreprise. […] Qui n’a vu, au temps de notre jeunesse, quelque vieux Vendéen ou soldat de l’armée de Condé, mécontent, chagrin, satirique, irrité contre Louis XVIII de ce qu’il avait trop donné du côté de la philosophie ou de la Révolution, et qui, dès que le roi fut mort, le pleura ? […] Tâtez encore si vous pouvez supporter votre mort par un bourreau, après avoir vu votre mari traîné et exposé à l’ignominie du vulgaire ; et, pour fin, vos enfants, infâmes valets de vos ennemis accrus par la guerre et triomphants de vos labeurs. Je vous donne trois semaines pour vous éprouver, et quand vous serez à bon escient fortifiée contre de tels accidents, je m’en irai périr avec vous et avec nos amis. » L’Amirale répliqua : « Ces trois semaines sont achevées ; vous ne serez jamais vaincu par la vertu de vos ennemis, usez de la vôtre et ne mettez point sur votre tête les morts de trois semaines. […] On en voit le thème : il s’indigne pour les siens, pour les hommes de sa cause, à cette seule idée de se faufiler dans l’armée royale ; ce serait abjurer le passé : Ce serait, dit-il en commençant, fouler aux pieds les cendres de nos martyrs et le sang de nos vaillants hommes, ce serait planter des potences sur les tombeaux de nos princes et grands capitaines morts, et condamner à pareille ignominie ceux qui, encore debout, ont voué leurs vies à Dieu, que de mettre ici en doute et sur le bureau avec quelle justice ils ont exercé leurs magnanimités ; ce serait craindre que Dieu même ne fût coupable ayant béni leurs armes, par lesquelles ils ont traité avec les rois selon le droit des gens, arrêté les injustes brûlements qui s’exerçaient de tous côtés, et acquis la paix à l’Église et à la France… Je dis donc que nous ne devons point être seuls désarmés quand toute la France est en armes, ni permettre à nos soldats de prêter serment aux capitaines qui l’ont prêté de nous exterminer, leur faire avoir en révérence les visages sur lesquels ils doivent faire trancher leurs coutelas, et de plus les faire marcher sous les drapeaux de la Croix blanche qui leur ont servi et doivent servir encore de quintaine (point de mire) et de blanc.

1008. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Montluc — II » pp. 71-89

Il méprise fort les écritures en bien des cas ; en matière de reddition de place et de capitulation, par exemple, il répète mainte et mainte fois qu’il aimerait mieux être mort que « si on le trouvait mêlé en ces écritures ». […] Il leur donna toutes les instructions essentielles pour pourvoir sur l’heure à la garde des portes, à la rentrée des blés, farines et vivres du dehors, et aux autres soins de la défense : pour lui, dévoré de la fièvre, il dut se retirer en son logis après cette harangue, et, son mal empirant, il fut quelques jours en danger de mort. […] Transporté dans une place voisine, à Montalsin, et sachant Montluc presque à l’extrémité, il dépêcha à Rome pour faire venir un autre gouverneur, M. de Lansac ; mais celui-ci ne sut point s’y prendre et se laissa tomber aux mains des ennemis en essayant d’arriver à Sienne : « S’il fût venu, dit naïvement Montluc, je crois que je fusse mort, car je n’eusse eu rien à faire ; j’avais l’esprit tant occupé à ce qui me faisait besoin, que je n’avais loisir de songer à mon mal. » Après avoir été trois jours regardé comme mort, et avoir reçu la visite de Strozzi guéri plus tôt que lui, Montluc revint peu à peu à une santé suffisante pour vaquer à ses devoirs. […] Il parle de la mort du frère de M. de Strozzi, le prieur de Capoue, tué en Toscane, dans une reconnaissance, de la main d’un paysan qui lui tira une arquebusade de derrière un buisson : « Voyez quel malheur qu’un grand capitaine meure de la main d’un vilain avec son bâton à feu ! 

1009. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Préface pour les Maximes de La Rochefoucauld, (Édition elzévirienne de P. Jannet) 1853. » pp. 404-421

Duplessis, que la mort a enlevé si inopinément et d’une manière si sensible pour sa famille et pour ses amis le 21 mai dernier74, avait préparé cette édition de La Rochefoucauld : c’est à lui qu’on en doit la distribution, l’ordre, les notes, toute l’économie en un mot ; il n’y manquait plus que quelques pages qu’il devait mettre en tête : on vient me demander, à son défaut, de les écrire et de le suppléer. […] Mais, sous cette forme où il la présente, à l’usage d’une société élégante et d’une civilisation consommée, que de vérités sur les passions, sur l’amour, sur les femmes, sur les différents âges, sur la mort ! […] Fénelon lui-même, Fénelon vieillissant, en sait autant que La Rochefoucauld et ne s’exprime pas autrement : Vous avez raison de dire et de croire, écrivait-il à un ami un an avant sa mort, que je demande peu de presque tous les hommes ; je tâche de leur rendre beaucoup et de n’en attendre rien. […] Le savant qui y avait servi de modèle est mort depuis. J’ai vu bien des transformations de nos jours, mais je n’en ai jamais vu de plus curieuse ni de plus à contre-pied du vrai que celle qui s’est très vite opérée, au sujet de ce docte personnage, le lendemain de sa mort.

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