Quoiqu’on ne lise plus ses différens Mémoires, parce que les objets sur lesquels ils roulent ont cessé d’être intéressans, on y trouve néanmoins des anecdotes & des vûes propres à amuser & à instruire les curieux.
Son nom doit rappeler à tous ceux qui l’ont lu ou entendu, l’idée d’un des plus habiles Orateurs qui aient illustré la Chaire.
Les Ouvrages qui ne se soutiennent que par l'esprit & les ressources de l'art, ne seront jamais lus deux fois avec la même approbation.
On rencontre, chez M. de Balzac, des centaines de passages du même genre, pour qui sait lire. […] Pour le lire, il faudrait douze mille hommes » ; il ne faut pas cinq mille hommes pour lire les Contemplations ; mais il faut au moins cinq migraines. […] Voilà ce que Voltaire comprit à merveille, et ce qu’il se promit d’exploiter « afin de corrompre la pédante ville ». — Il faut lire, dans l’ouvrage de M. […] Il faut lire, dans l’ouvrage de M. de Tocqueville, le chapitre sur l’influence des gens de lettres, devenus, dès le milieu du dix-huitième siècle, les véritables hommes politiques du pays. […] Qu’on lise, dans l’ouvrage de M.
Quelqu’un de nous a-t-il pu oublier la mort de Lara après l’avoir lue ? […] Ce Méphistophélès révolutionnaire et philosophe, qui a lu Candide et gouaille cyniquement les puissances, est-il autre chose parfois que « l’esprit qui nie ? […] Car enfin, il n’y a point moyen de s’en défendre, il faut bien lire, malgré qu’on en ait. […] Qui a lu les amours d’Haydée, et a eu d’autre pensée que de l’envier et de la plaindre ? […] Là-dessus lisez le livre.
Allusion à un article de Revue, la Ruche populaire (octobre 1843), dans lequel il était raconté qu’un père de famille, ouvrier, après avoir entendu lire tout haut le soir, à la veillée, par un de ses fils, le chapitre du Lapidaire, dans les Mystères de Paris, s’était écrié, en déguisant mal son émotion (il ne voulait pas laisser voir qu’il pleurait) : « Eh bien !
Dans quelques-uns, la pensée grandit et le ton s’aggrave, et après avoir lu, l’un après l’autre, les apologues qui composent son livre, on le ferme sur le beau poème de Circé qui le termine et qui dresse parmi les bas-reliefs d’argile sa statue de marbre magique.
Ceux qui aiment les « Vers d’un Philosophe » de Guyau et les strophes d’Alfred de Vigny se plairont à lire ce livre, où, malgré quelques prosaïsmes, telles pages, les dernières, par exemple, sont empreintes d’une sobre beauté.
Louis Louvet C’était la mode sous la Restauration de lire des vers dans les salons.
Les jeunes gens peuvent le lire pour féconder leur imagination.
L’épisode qu’on va lire, et dont le fond est emprunté à la révolte des esclaves de Saint-Domingue en 1791, a un air de circonstance qui eût suffi pour empêcher l’auteur de le publier.
Reboul a tiré d’une commode un manuscrit et m’a lu des vers énergiques d’un poème qu’il composa sur le Dernier Jour.
Les meilleurs ayant lu cela célébreront M.
La plupart des poèmes qu’on va lire et que leur auteur maintenant considère comme des plaisirs depuis longtemps décolorés, furent composés de 1889 à 1895 et parurent dans les diverses Revues dont on trouvera plus bas la nomenclature.
Qu’on y lise un prétexte, cela suffira.