D’ailleurs physiologie, psychologie, cela ne signifie rien, l’une a pénétré Faune toutes deux ne sont qu’une aujourd’hui.
On faisait dans l’une des articles sur Jacques, dans l’autre des articles sur Lélia ; dans toutes deux, des articles sur les œuvres complètes.
L’une après l’autre elles s’en vont, aussi fugitives que les étoiles de nos théâtres, après n’avoir brillé souvent qu’un jour.
Hugo deux personnes, dont l’une s’agenouille devant l’autre : un prêtre qui brûle l’encens, un dieu qui le respire. […] Bien que l’une de ces lois régisse la volonté tandis que la seconde régit l’imagination, c’est toujours un avantage pour les créations de la fantaisie de satisfaire aux prescriptions de la loi morale, ou du moins de les rappeler.
L’une est en face de la porte et donne du côté de la rue Montpensier ; celle-là avait vue sur le jardin du Palais-Royal, dont la verdure n’était pas encore masquée par les galeries. […] Ils forment l’une des parties intéressantes de cette Bibliothèque Moliéresque, collection unique peut-être et que conserve M.
Ce mouvement de démocratie interne modérée et d’adhésion à la démocratie externe, en lui-même, ne gêne pas beaucoup l’Église, dont l’organisation est si souple, qui n’est liée à aucun système particulier de gouvernement, et qui a, pour s’accommoder en France au régime démocratique, toutes sortes de raisons, dont l’une tient dans la définition célèbre : la démocratie est le nom qu’on donne au peuple quand on a besoin de lui. […] Il n’en illustre pas moins la situation délicate de la doctrine socialiste, lorsqu’elle veut distinguer entre la petite et la moyenne propriété, entre la propriété paysanne et la propriété commerciale et industrielle, conserver l’une et condamner l’autre.
Imprimez cette lettre et votre réponse ; arrangez une préface pour faire sentir au lecteur le tour jésuitique et rempli d’une adresse sournoise que l’Académie cherche à jouer à l’imprudent qui voudra réfuter son Manifeste. » De deux choses l’une, se sont dit les membres du premier corps littéraire de l’Europe, ou l’homme obscur qui nous réfutera, ne nous citera pas, et nous crierons à la mauvaise foi ; ou il transcrira le feuilleton de ce pauvre Auger, et sa brochure sera d’un ennui mortel.
En ce moment traversaient la chaussée, trois ouvrières, dont l’une, ma foi, qui était très gentille, dit à ses camarades, en me touchant presque de la main : « Voilà l’entreteneur que je rêverais !
Mais ce n’est pas tout : … Henriette, les apercevant toutes deux sans mouvement, se mit à pleurer et pousser des cris qui firent accourir la Fanchon : l’une court à sa mère, l’autre à sa maîtresse. […] Henry Bidou l’une des récompenses que peut mériter ce labeur ingrat.
Logiciens à outrance, plus jacobins que jamais, ennemis des juxtapositions artificielles, condamnés à vivre dans le provisoire parce que nous sommes toujours à la recherche de l’absolu, amateurs, avec cela, de tournois et de joutes, nous faisons battre, présentement, la Science et la Foi et nous ne pouvons défendre l’une sans injurier l’autre.
» objectait-on, quelques mois avant août 1830, à l’une des plumes les plus vives et les plus fermes de l’opposition antidynastique d’alors. — « Eh bien !
Des deux grandes tendances qui se sont manifestées par lui, la brutalité native et la réflexion intense, l’une a fini par vaincre l’autre : la littérature, devenue sévère, chasse de la fiction les grossièretés de Smollett et les indécences de Sterne, et le roman tout moral, avant d’arriver dans les mains presque prudes de miss Burney, passe dans les honnêtes mains de Goldsmith.
Je crois pourtant que, s’il le voulait bien, s’il ne mettait pas une certaine coquetterie à agiter son plumet, il produirait des pages parfaites et qui lui vaudraient le suffrage du public, et non pas seulement des abstracteurs de quintessence… Il se trouve présentement au carrefour de deux routes : l’une qui mène à la gloire orgueilleuse des incompris, qui feignent de mépriser le suffrage de la foule ; l’autre qui conduit à la grande renommée, à la renommée des maîtres universels et classiques… À lui de choisir ! […] Et sa voix est si charmeuse, qu’on l’écoute avec délices… II. — La Débâcle, par Émile Zola La Débâcle se divise en deux parties bien distinctes : l’une est le récit minutieux de la bataille de Sedan ; l’autre est le résumé succinct des catastrophes qui ont suivi, c’est-à-dire du siège de Paris et de la Commune.
Les jeunes filles reposent dans le large appartement silencieux, comme de précieuses fleurs apportées de tous les climats dans une serre. « L’une a posé sa joue empourprée sur son bras blanc, — et ses bouclés noires font sur ses tempes une grappe sombre. — Elle rêve ainsi dans sa langueur molle et tiède. — L’autre, avec ses tresses cendrées qui se dénouent, laisse pencher doucement sa belle tête, — comme un fruit qui vacille sur sa tige, — et sommeille, avec un souffle faible, — ses lèvres entr’ouvertes, montrant un rang de perles. — Une autre, comme du marbre, aussi calme qu’une statue, — muette, sans haleine, gît dans un sommeil de pierre, — blanche, froide et pure, et semble une figure sculptée sur un monument1309. » Cependant les lampes alanguies n’ont plus qu’une clarté bleuâtre ; Dudu s’est couchée, l’innocente, et si elle a jeté un regard dans son miroir, « c’est comme la biche qui a vu dans le lac — passer fugitivement son ombre craintive. — Elle sursaute d’abord et s’écarte, puis coule un second regard — admirant cette nouvelle fille de l’abîme1310. » Que va devenir ici la pruderie puritaine ?
Elles ne sont contentes ni l’une ni l’autre. […] Epargne, Daméta d’antan, la Daméta D’aujourd’hui… Non, ce n’est pas très clair ; mais admettons qu’il se puisse qu’elles ne soient contentes ni l’une ni l’autre. […] Quatre ou cinq petites filles de l’atelier étant venues le voir, je ne sais plus pourquoi, l’une d’elles lui dit sans penser à mal : « J’ai vu votre fils, hier.