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1178. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29

C’était sous l’influence de l’heureux besoin dont les esprits étaient alors pressés, que s’ouvrait l’hôtel de Rambouillet aux gens de la cour ennemis des scandales, aux gens du monde poli de la capitale, aux gens de lettres de profession, aux esprits cultivés de toutes les classes ; c’était par cet intérêt que les femmes les plus distinguées y étaient amenées et reçues avec des hommes d’élite, par une des plus belles, des plus jeunes, des plus riches et des plus respectables femmes de la cour.

1179. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Cours de littérature dramatique, par M. Saint-Marc Girardin. (2 vol.) Essais de littérature et de morale, par le même. (2 vol.) » pp. 7-19

L’influence de M. 

1180. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « De la question des théâtres et du Théâtre-Français en particulier. » pp. 35-48

Leur influence était réelle, leur autorité sensible.

1181. (1901) La poésie et l’empirisme (L’Ermitage) pp. 245-260

À des influences lyriques eux et leurs plus jeunes émules durent un souci d’art nouveau.

1182. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 34, que la réputation d’un systême de philosophie peut être détruite, que celle d’un poëme ne sçauroit l’être » pp. 489-511

C’est ainsi qu’une infinité de fausses opinions sur les influences des astres, sur le flux et reflux de la mer, sur le présage des cométes, sur les causes des maladies, sur l’organisation du corps humain, et sur plusieurs autres questions de physique se sont établies.

1183. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre IV. Des changements survenus dans notre manière d’apprécier et de juger notre littérature nationale » pp. 86-105

Les conceptions littéraires, pour produire le même effet qu’elles auraient produit autrefois, pour jouir de la même estime, pour exercer une influence semblable, doivent être essentiellement différentes ; et si nos chefs-d’œuvre n’étaient pas consacrés par une admiration traditionnelle, par une renommée continue, je pense que nous les apprécierions fort peu.

1184. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « L’empire russe depuis le congrès de vienne »

L’empire russe depuis le congrès de vienne5 I Quoique l’influence des circonstances politiques meure au seuil des ouvrages de critique purement littéraire, il n’est pas moins vrai qu un livre sur la Russie publié à cette heure doit attirer vivement l’attention… En effet, solitairement et pour son propre compte, la Russie, ce colosse de neige, sort enfin de l’énigmatique immobilité qu’elle a gardée pendant quarante ans vis-à-vis de l’Europe, et qui était peut-être tout le secret de la fascination qu’elle exerçait sur les esprits.

1185. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « L’Empire Chinois »

On devine maintenant ce que doit être le ton d’un livre écrit sous l’influence de ces deux nobles simplicités !

1186. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Le capitaine d’Arpentigny »

Il y a, en d’Arpentigny, les impatientants contrastes que nous ayons déjà signalés dans un esprit, parent du sien du reste, qui croyait comme lui à la physiologie, qui a voulu expliquer l’amour par elle comme lui a voulu expliquer l’intelligence, et qui, comme lui, avait vécu de cette vie militaire dont l’influence est un bénéfice pour tous les ordres d’esprits.

1187. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Buloz »

On ne prend jamais les hommes pour ce qu’ils valent, mais pour ce qu’ils se donnent, et c’est là une explication de l’importance de Buloz, qui vit sur son passé et sur ses restes d’influence.

1188. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Léon XIII et le Vatican »

La nonciature de Mgr Pecci eut en Belgique une influence déterminante et si heureuse que, quand il fut rappelé, Léopold demanda pour lui à Grégoire XVI le cardinalat.

1189. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « Le comte de Gasparin » pp. 100-116

En cela, il a été plus préoccupé d’influence et d’action sur ses contemporains que du double mérite des livres bien faits, c’est-à-dire de la beauté ou de la vérité désintéressée de l’œuvre littéraire. — Cet utilitaire se sera dit que le profit du livre serait bon après le profit de la Conférence, et il a publié son fallacieux Innocent III.

1190. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Théodore de Banville »

Les influences de la peinture et de la statuaire, qu’une poésie sans idées prend pour une fontaine de Jouvence et dans lesquelles elle se plonge jusqu’à s’y noyer, la rage du flamboiement, de l’efflorescence, de l’arabesque et même du funambulesque, n’y font rien : le poète des Stalactites et des Cariatides — il faut bien le dire !

1191. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Gustave Flaubert » pp. 61-75

(cela fait trembler) la moyenne des femmes dans les sociétés sans croyances, cette espèce d’être faible sans grandes passions, sans l’étoffe des grandes vertus ou des grands vices, inclinant de hasard au bien comme au mal, selon la circonstance, et qui, positives et chimériques tout, à la fois, se perdent par la lecture des livres qu’elles lisent, par les influences et les suggestions du milieu intellectuel qu’elles se sont créé, et qui leur fait prendre en horreur l’autre milieu dans lequel elles sont obligées de vivre.

1192. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXI. De Thémiste, orateur de Constantinople, et des panégyriques qu’il composa en l’honneur de six empereurs. »

» « L’influence de la vertu du prince, dit-il à Théodose, ne se borne point à la terre.

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