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454. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » pp. 423-424

Nougaret a fait des Comédies, des Pastorales, des Histoires, des Contes, des Romans, des Odes, des Héroïdes, &c. ; tout cela a disparu comme de légers éclairs qui ne laissent aucune trace de leur existence.

455. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 498-499

La lecture de ses Comédies est amusante, parce que la versification est agréable, & le style aisé ; mais le plan & l’intrigue ne répondent pas à l’agrément & à la vivacité des détails.

456. (1778) De la littérature et des littérateurs suivi d’un Nouvel examen sur la tragédie françoise pp. -158

Destouches, dans ses nombreuses Comédies, avec ses étres métaphysiques, a manqué tous ses portraits. […] Il faut dans une Comédie non pas un caractère dominant, mais plusieurs caractères agissans, de sorte qu’on soit incertain & qu’on ne sache vraiment lequel domine. Pourquoi faire une Comédie pour un titre ? […] Bal quatre fois la semaine, Comédie tous les jours ; mais point d’Opéra, & pour cause. […] Dom Japhet d’Arménie du moins scandalise : mais il paroît que ce sale comique sembloit alors inséparable de l’Art de la Comédie.

457. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Deschamps, Antony (1800-1869) »

Deschamps, Antony (1800-1869) [Bibliographie] La Divine Comédie, du Dante, traduite en vers français (1829)

458. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Gramont, Ferdinand de (1815-1897) »

Édouard Fournier Le marquis de Belloy a fait une comédie charmante : Pythias et Damon ; or, le comte Ferdinand de Gramont et lui furent deux amis comme l’étaient les héros de la pièce.

459. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 220-221

D’après cela, les connoisseurs se flattoient de voir bientôt sortir du tombeau la Comédie d’intrigue, & peut-être à sa suite celle de caractere, qui est la véritable.

460. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 366

Les uns y ont puisé le sujet d’une Comédie ou d’un Opéra comique ; les autres, le sujet d’une Fable, d’une Nouvelle ou d’un Roman.

461. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 221-222

Ses Comédies sont encore gâtées, pour la plupart, par l’affectation, ou, pour mieux dire, par la singularité de sa maniere de rendre les choses.

462. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 299

Plusieurs de ses Comédies ont été jouées avec succès.

463. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Duclos. — I. » pp. 204-223

Deux cafés se partageaient alors l’honneur de réunir l’élite du monde littéraire : le café Procope, en face de la Comédie, et le café Gradot, au quai de l’École. […] C’est ainsi que, dans un chapitre de ses Considérations, il a très bien décrit ce travers du persiflage et de la méchanceté qui fut quelque temps une mode, une fureur, une espèce de grippe qui régnait sur tout Paris, et qui, du cercle brillant des Forcalquier, des Stainville et des duchesse de Chaulnes, gagnait les sociétés même subalternes : il n’était cercle bourgeois se piquant de bon ton, qui n’eût son petit héros de scélératesse, son Cléon : c’est, en effet, le moment où Gresset eut l’idée de faire sa comédie du Méchant (1747). […] Ce qu’il y a de mieux et de plus piquant est l’Épître au public qui sert de préface, épître impertinente où le public parisien est traité à peu près comme le vieillard Démos dans la comédie athénienne : Un auteur instruit de ses devoirs doit vous rendre compte de son travail ; je vais donc y satisfaire.

464. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « La comédie de J. de La Bruyère : par M. Édouard Fournier. »

La comédie de J. de La Bruyère : par M.  […] Il intitule le joli volume de commentaires qu’il publie : La Comédie de La Bruyère. […] Mais va pour Comédie, puisque M. 

465. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Boileau. » pp. 494-513

Chapelain ne soupçonna rien du déguisement ; mais, à un moment de la visite, le bailli qu’on avait donné comme un amateur de littérature, ayant amené la conversation sur la comédie, Chapelain, en véritable érudit qu’il était, se déclara pour les comédies italiennes et se mit à les exalter au préjudice de Molière. […] Mme de Sévigné nous a fait le récit d’un dîner où Boileau, aux prises avec un jésuite au sujet de Pascal, donna, aux dépens du père, une scène d’excellente et naïve comédie.

466. (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1880 » pp. 100-128

» Jeudi 2 décembre La Comédie humaine : ça pourrait être aussi bien le titre de la Comédie au crayon de Gavarni, que la Comédie à la plume de Balzac.

467. (1809) Tableau de la littérature française au dix-huitième siècle

La comédie avait gardé plus de vigueur et de gaieté. […] Un certain langage de convention s’était emparé de la comédie. […] Tels sont les défauts de cette nouvelle école de comédie. […] La comédie avait fini avec Gresset. […] À côté de ces comédies éphémères, les drames imités de Diderot montraient un autre genre d’affectation.

468. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Deschamps, Émile (1791-1871) »

. — Selmour et le tour de faveur, comédie en vers, en collaboration avec H. de Latouche (1818)

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