Le livre de Séverine contient entre autres curieux chapitres ceux qui sont consacrés à madame de Bonnemain et au général Boulanger qu’elle suit jusqu’au dernier jour de leurs misères, c’est-à-dire jusqu’à leur mort. […] Je citerai pour exemple le chapitre intitulé : « Tu devrais t’y mettre » qui n’est fait que de pure vérité, si invraisemblable qu’elle paraisse. […] Je recommanderai, entre autres chapitres intéressants, celui qui traite du socialisme au Parlement, et dont la conclusion est qu’il faut se méfier aussi bien des réformateurs du Palais-Bourbon que des agitateurs de la rue. […] Le dernier chapitre ? […] Ô temps des ramasse-bouses, que tu me parais beau encore. » Il faut lire ce petit poème en prose et tous ces chapitres empreints du charme de l’antiquité.
Nous pourrions détacher quelques chapitres de l’ouvrage qui sont d’un récit animé et qui offrent de rapides tableaux.
Chapitre IV.
Chapitre VI.
Rien de plus judicieux que le Chapitre qui concerne Hérodote ; celui qui est intitulé, de la nécessité de l’Histoire, de son usage, de la maniere dont il faut y mêler les sciences, en la faisant lire à un Prince, est rempli de préceptes sages, de réflexions saines, de critiques justes & bien présentées.
Ceux qui voudroient n'en prendre qu'une légere idée, peuvent consulter le Conservateur, où l'on en a inséré quelques chapitres qui ne sont pas ce qu'il y a de moins précieux dans cette Collection.
Chapitre V.
Chapitre VII. […] Il y aurait un curieux chapitre à écrire sur les rapports des financiers et des gens de lettres. […] La Confession d’un enfant du siècle, chap. […] Voir chapitre VIII, 3e partie.
Cela, accentué par la phrase finale « Voici le moment de revenir parmi les hommesj » est fort sensible dans le chapitre « l’Océan ». […] Lautréamont transposa encore dans son œuvre, des estampes : le chapitre qui commence par « j’ai vu le créateur… sur une mer de sang… » est la transposition d’une gravure anglaise qui fut très populaire vers 1860 (Lautréamont n’avait que 13 ans, mais une sensation, sans doute lui resta) intitulée « Red Devilm . […] Malraux cite de façon inexacte : « je sens que le moment est venu de revenir parmi les hommes », Lautréamont, Chapitre premier, strophe 9, Les Chants de Maldoror, Œuvres complètes, op. cit. […] Henriette Charasson dans le chapitre consacré à la « littérature féminine » de Vingt-cinq ans de littérature française (publié sous la direction d’Eugène Montfort, t.
Cousin, au chapitre iii de sa Madame de Sablé : « Il y faut voir une réponse à quelqu’un de la société de Mme de Sablé qui devant elle avait exprimé de basses pensées sur l’amitié. […] Plusieurs chapitres importants du manuscrit s’étant perdus pendant un voyage de l’auteur, il ne voulut jamais prendre la peine de les refaire. […] Dans le chapitre intitulé : Jugement sur les sciences ou peut s’appliquer un honnête homme.
Chapitre I I. […] (Voir pour les détails la Correspondance des contrôleurs généraux de 1683 à 1698, publiée par M. de Boislisle.) — Or, d’après les mémoires des intendants (Vauban, Dîme royale , chap. […] Rousseau, Confessions, 1 e partie, chap.
Chapitre V Personnalité. — Talent, génie ; invention, art. […] Plusieurs passages des chapitres précédents ont déjà laissé voir la particulière clarté douce et grave de l’âme ainsi révélée. […] Le sonnet que j’ai reproduit (chap.
Chapitre huitième Les gains de la prose française au dix-huitième siècle. — § I. […] Chapitre 5. […] Voir plus haut, chap.
Chapitre IV. […] Tel est le problème que nous nous sommes posé au chapitre précédent, § 4. […] Nous avons analysé à la fin du chapitre précédent l’espace visuel ; nous avons vu que pour engendrer cet espace, il faut faire intervenir les sensations rétiniennes, la sensation de convergence, et la sensation d’accommodation ; que si ces deux dernières n’étaient pas toujours d’accord, l’espace visuel aurait quatre dimensions au lieu de trois ; et d’autre part que si l’on ne faisait intervenir que les sensations rétiniennes, on obtiendrait « l’espace visuel simple » qui n’aurait que deux dimensions.
Plus tard il reproduira admirablement cette même pensée dans le dernier chapitre de sa Monarchie selon la Charte : il se demande ce que devenaient en France autrefois les hommes qui avaient passé la jeunesse et qui avaient atteint la saison des fruits, et, les montrant privés des nobles emplois de la vie publique, oisifs par état, vieillissant dans les garnisons, dans les antichambres, dans les salons, dans le coin d’un vieux château, n’ayant pour toute occupation que l’historiette de la ville, la séance académique, le succès de la pièce nouvelle, et, pour les grands jours, la chute d’un ministre : Tout cela, s’écriait-il, était bien peu digne d’un homme ! […] Dans ses Mémoires, le chapitre par lequel il entame sa vie politique et qu’il intitule « De Bonaparte », débute également par une page qui va rejoindre la dernière invocation de ce poème des Martyrs : « La jeunesse est une chose charmante ; elle part au commencement de la vie, couronnée de fleurs, comme la flotte athénienne pour aller conquérir la Sicile… » Et le poète conclut que, quand la jeunesse est passée avec ses désirs et ses songes, il faut bien, en désespoir de cause, se rabattre à la terre et en venir à la triste réalité. […] Les quarante premiers chapitres du livre sont consacrés à développer les principes du gouvernement représentatif, et ces principes sont en général les véritables, les principes orthodoxes constitutionnels.