N’est-il pas vraisemblable que les cas d’attention extraordinaire et prolongée supposent dans certaines parties du système nerveux une suractivité analogue, qui est également suivie d’une période de fatigue et d’impuissance ?
L’écriture est donc un langage direct, les gestes de la main, un langage également.
Les progrès de l’érudition firent justice de ce lyrisme ; et, pour un temps, confinée dans les recherches de détail, également en défiance contre l’imagination et contre les idées, l’histoire se tint en dehors de la littérature. […] Dans l’Affaire Clémenceau et dans la Femme de Claude le mari tue également en vertu de son droit.
Ce qui augmenta sa considération de son vivant ne saurait servir également sa gloire.
Je vais décrire une nature d’esprit extraordinaire, choquante pour toutes nos habitudes françaises d’analyse et de logique, toute-puissante, excessive, également souveraine dans le sublime et dans l’ignoble, la plus créatrice qui fut jamais dans la copie exacte du réel minutieux, dans les caprices éblouissants du fantastique, dans les complications profondes des passions surhumaines, poétique, immorale, inspirée, supérieure à la raison par les révélations improvisées de sa folie clairvoyante, si extrême dans la douleur et dans la joie, d’une allure si brusque, d’une verve si tourmentée et si impétueuse que ce grand siècle seul a pu produire un tel enfant.
Une invention qui ne réussit guère le jour dont je parle, ce fut, au prologue de cette reprise, de nous montrer Molière également placé entre la comédie sérieuse, mademoiselle Rachel, et la comédie légère, mademoiselle Brohan.
Gémir, pleurer, prier, est également lâche.
. — Une fois que l’enfant commence à marcher, non-seulement on l’endurcit et on l’entraîne, mais encore on l’assouplit et on le fortifie avec méthode ; Xénophon dit que seuls entre les Grecs ils exercent également toutes les parties du corps, le cou, les bras, les épaules, les jambes, et non-seulement dans l’adolescence, mais toute la vie et tous les jours ; au camp, c’est deux fois par jour.
On voudrait qu’ils eussent même génie pour que la question fût également pénétrée de clartés en toutes ses profondeurs des deux côtés. […] Les hommes sont égaux en ce sens qu’ils sont également libres, non en ce sens qu’ils contribuent également au despotisme ; car ce despotisme de tous, c’est sur chacun qu’il retombe, et le dernier terme, c’est que tous soient égaux dans la servitude
Mais tout ce qui était vulgaire, tout ce qui eût pu dégrader notre amour nous répugnait également à tous deux… Des mois se passèrent dans ce charme et dans cette contrainte. […] M. de Loménie fait également apparaître la mère du grand orateur, triste personne assurément, mais qu’il importe de connaître pour expliquer son fils et excuser son mari ; il raconte cette lutte implacable entre les deux époux, qui a défrayé la malignité des contemporains ; les scandales et les pamphlets injurieux contre lesquels le marquis de Mirabeau a eu le tort de se défendre à coups de lettres de cachet ; le rôle singulier de son fils, le futur orateur, sans cesse occupé à exciter ses parents l’un contre l’autre, pour tirer profit de leur division, et justifiant cette parole de son père : « Si la graine aux expédients enragés était perdue, elle se retrouverait dans cette tête-là !
Elle aimait à traîner les grands hommes dans ses fanges ; elle se plaisait également à tirer ses pierres au gibet ; elle procédait par la violence et par la rage, par l’ironie et par la colère ; elle tenait d’une main, la lanterne de Diogène pour chercher les hommes. dignes de sa rage, et de l’autre main le bâton de Diogène pour les frapper.
Vous ajouterez, si vous voulez, qu’elle peut être bienfaisante, propagatrice de générosité, de foi, de vertu, et qu’à ce titre également nous la devons révérer… Et encore, il y a légende et légende.
Alice, Valérie et Florence suffiraient à défrayer trois récits, et leurs diverses manières d’aimer fourniraient à l’imagination l’occasion d’étudier les souffrances et les joies de l’amour sous des aspects également intéressants. […] Le prologue et l’épilogue ne tiennent pas à la pièce, mais ne peuvent cependant être passés sous silence ; car, dans le prologue, l’auteur réclame l’indulgence de l’auditoire en faveur des services législatifs qu’il a rendus aux poètes dramatiques ; dans l’épilogue, le marquis de Montespan parle des voyages aérostatiques du duc de Brunswick, et de l’incertitude des spéculations industrielles ; J’argumentation et la satire sont également ridicules.
Mais le propre de la Barbarie est de faire la nuit autour d’elle : hommes et choses s’assombrissent à son approche ; la civilisation devient barbare en la combattant ; la Plaie des Ténèbres s’abat également sur les vaincus et sur les vainqueurs.
Il a été préparé par le Bouddhisme ou des infiltrations du Bouddhisme, la première religion plébéienne et appelant également dans son sein et à sa foi tous les hommes, que le monde semble avoir connue. […] Barbares et prêtres chrétiens étaient également ennemis de l’ancienne Rome.