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482. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » p. 307

Taconnet, [Toussaint-Gaspard] né à Paris en 1730, mort dans la même ville en 1774 ; Auteur d'une infinité de Parodies, de Farces, & de Parades, dont la meilleure n'est pas digne d'un Lecteur ou d'un Spectateur sensé.

483. (1896) La vie et les livres. Troisième série pp. 1-336

Le sang bondissait en cascades, le long des escaliers de pierre, et s’épandait à travers la ville. […] Toutes les existences menues qui végètent, trottinent, se résignent et s’étiolent dans l’immense ville sont pour lui des occasions de rêve. […] Sa gloire apparaît, comme un soleil tardif, à travers le brouillard, son rire spirituel se fait fièrement entendre à travers le bruit de bataille de là tumultueuse ville. […] On le rapporta à la ville voisine. […] A fondé une ville de cinquante mille habitants, qu’il a appelée Marionville, du nom de sa femme.

484. (1949) La vie littéraire. Cinquième série

Ce n’est pas une ville délicieuse, c’est une ville abominable que celle où s’élève le monument de cet infâme Titous, qu’on a osé appeler les délices du genre humain. […] Ils résolurent de s’épouser dans la ville d’Anvers. […] Pont-Arcy, c’est une vraie ville de France, avec ses antiques remparts devenus des promenades, son château fort, ses couvents, son vieux pont sur l’Orge, la ville haute aux ruelles tortueuses, la ville basse couverte de fabriques que la rivière alimente, la ville neuve régulièrement formée en vingt ans, aux abords de la gare. C’est une vraie ville où tous les âges ont laissé des souvenirs ; une ville type : qui la connaît en connaît cent autres. […] Son enfance s’écoula dans la petite ville de Tréguier.

485. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article »

Coger, [François-Marie] Professeur émérite d’Eloquence au Collége Mazarin, Licencié en Théologie, & ancien Recteur de l’Université ; né à Paris en 1723, mort dans la même ville en 1780 ; est connu dans la République des Lettres par deux Critiques honnêtes & judicieuses, l’une de l’Eloge de M. le Dauphin par M.

486. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » p. 33

CONRART, [Valentin] né à Paris en 1603, mort dans la même ville en 1675 ; un des premiers qui fut reçu à l’Académie Françoise.

487. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » p. 50

CORROZET, [Gilles] Imprimeur-Libraire, né à Paris en 1510, mort dans la même ville en 1558.

488. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre VII. La littérature et les conditions économiques » pp. 157-190

C’est aussi le moment où la cour et la ville, comme on disait alors, passent sans relâche d’un divertissement à un autre. […] Les paysans, rançonnés, massacrés, se réfugient dans les villes fortes, ou se terrent dans les forêts, « remettant tout, suivant l’énergique expression d’un chroniqueur, aux mains du diable ». […] Grâce aux machines, une multiplication des produits comparable à celle que l’imprimerie opéra pour les livres ; un confort tout nouveau répandu dans les couches moyennes de la société ; puis d’immenses agglomérations de travailleurs formées de toutes parts ; ici des mines de fer ou de houille ensevelissant dans leurs profondeurs toute une population souterraine exilée du soleil ; là des cités, noires de charbon et de fumée, s’improvisant sur un sol boueux d’ort montent, comme les mâts d’une flotte pétrifiée, de colossales cheminées de briques ; partout des faubourgs environnant les vieilles villes d’un cercle de manufactures et de masures sordides ; puis les campagnes se dépeuplant au profit de ces centrés de production, qui fonctionnent comme autant de foyers aussi intenses que dévorants : voilà quelques résultats, visibles au premier coup d’œil, de cette fièvre d’activité qui a transformé et bouleversé les conditions économiques du monde contemporain. […] C’est qu’ils ont alors des lecteurs dans toutes les villes de France et d’Europe. […] Grâce à l’accroissement de la population urbaine, les salles se sont agrandies et, grâce aux tournées en province ou à l’étranger, les villes les plus lointaines ont apporté leur contribution aux gains des auteurs dramatiques.

489. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 502

Chevreau, [Urbain] né à Londres en 1613, mort dans la même ville en 1701.

490. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » p. 255

FABRE, [Jean-Claude] Oratorien, né à Paris en 1668, mort dans la même ville en 1753.

491. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 473

PAVILLON, [Etienne] de l’Académie Françoise & de celle des Inscriptions & Belles-Lettres, né à Paris en 1632, mort dans la même ville en 1705.

492. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » p. 273

Segaud, [Guillaume] Jésuite, né à Paris en 1674, mort dans la même ville en 1748.

493. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 410

Bullet, [Jean-Baptiste] Abbé, Professeur Royal de Théologie, Doyen de l’Université de Besançon, sa patrie, de l’Académie de cette ville, & de celle de Lyon, de Dijon, &c. né en 17..

494. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 459

Caussin de la Cour, & le fit exiler dans une ville de Bretagne.

495. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 139

DESHOULIERES, [Antoinette du Ligier de la Garde, femme de Guillaume de la Fon, Seigneur] de l’Académie des Ricovrati de Padoue, née à Paris vers 1634, morte dans la même ville en 1694.

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