Un tub en occupait le centre et les regards étaient pris, en entrant, par l’éblouissement d’une triple rangée de bottes vernies, impeccablement alignées, comme une armée de parade, un jour de revue.
Jetez un regard sur ce triste monde qui obéit à Tibère ; dites-moi s’il est bien mort.
Seule, la colline de Mizpa, avec ses souvenirs de la plus vieille histoire d’Israël, soutient le regard.
Ne mettons en regard, si l’on veut, que les deux premières, puisque la troisième n’existe encore que pour un nombre infime de nos contemporains.
Ainsi resserré et contenu par ces regards vigilants, le talent atteignait à toute sa hauteur.
Le Rhin est le fleuve dont tout le monde parle et que personne n’étudie, que tout le monde visite et que personne ne connaît, qu’on voit en passant et qu’on oublie en courant, que tout regard effleure et qu’aucun esprit n’approfondit.
VI Machiavel jetait sur le peuple un regard étrange.
Ce n’est point s’inféoder que d’orienter ensemble ses regards vers des sommets nouveaux.
Aussi voyez ce sujet que je vous ai fait dessiner exprès d’après un marbre antique ; Persée a l’air de donner la main à Andromède pour descendre ; Andromède, plus obligée aux dieux de sa délivrance qu’à Persée, qu’elle ne regarde pas, droite, presque sans action, sans passion, sans mouvement, les regards et les mains levés vers le ciel, touchée, en actions de grâces, est debout sur une petite éminence qui ne ressemble guère à un rocher, et ce méchant petit dragon mort n’est là que pour désigner le fait.
Mais l’œil de la Vierge brille, mais son regard parle, mais on voit courir un sang rouge dans ses veines5. » Et c’est la plus belle — parce que rien n’est beau comme la vie.
Qu’il y a des nuances et que très souvent La Rochefoucauld dit : « toujours », mais qu’assez souvent aussi il dit « quelquefois » ; qu’il est beaucoup moins tranchant au fond qu’il ne paraît l’être au premier regard ; qu’il ne faut pas le voir comme un bloc.
Nous n’arrêterons nos regards que sur les Oraisons funèbres et sur l’Histoire universelle.
Mais il vient d’être réédité en 1878, à peu près au moment où le sculpteur Falguière finissait sa statue, et l’éditeur, qui fait son métier, envoie le livre à la Critique, pour qu’elle le mette en lumière au moment même où cette statue se dresse sur la place publique de Mâcon, et attire les regards de tous ceux qui lisent les journaux et ne voient, de près ou de loin, que par cette lorgnette.
S’il n’a pas été aussi heureux de vérité et de clarté de regard avec Isabelle, c’est que les vertus de la Catholique agissent sur son catholicisme, et qu’elle, du moins, comprit et protégea Colomb.