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498. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 42-44

On a osé nous donner pour la perfection philosophique cette misérable situation, qui n’est que le résultat de confusion des idées & de l’affaissement de la raison.

499. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 219-221

Ces qualités le distingueront toujours des Ouvrages prétendus philosophiques, qui fatiguent l’esprit par l’emphase du style, & tendent à dissoudre la Société par le danger des systêmes.

500. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Introduction »

Or, pour traiter ces questions philosophiques, des procédés spéciaux et complexes ne sont pas nécessaires.

501. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — C — Lahor, Jean = Cazalis, Henri (1840-1909) »

. — Les Grands Poèmes religieux et philosophiques (1888). — Les Quatrains d’Al-Ghazali (1896). — La Gloire du Néant (1896). — Poésies (1897). — William Morris, étude (1897).

502. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 328-331

Cet Ouvrage est le plus sûr préservatif contre la seduction des Ecrits philosophiques.

503. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 380-382

Tout ce qu’on peut lui reprocher, se réduit à des assertions philosophiques réprouvées par la raison, & à un style incorrect & diffus, condamné par le bon goût.

504. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 301-304

C’eût été un Insensé de plus à compter parmi les Victimes du Fanatisme philosophique.

505. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 207-209

Si quelque heureux génie eût jeté sur la manie philosophique le même ridicule que cet Auteur répandit sur l'érudition pédantesque, les Philosophes auroient déjà disparu, comme les Commentateurs.

506. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 210-213

Sans doute quelque subalterne a cru lui témoigner son zele, en surprenant l'autorité pour faire emprisonner son Critique, ou quelque ennemi a voulu le déshonorer en faisant retomber sur lui le blâme d'un procédé aussi peu philosophique.

507. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre VI. Des Esprits de ténèbres. »

On sent qu’il n’est pas question ici de la partie historique et philosophique de la magie considérée comme l’art des mages.

508. (1890) La vie littéraire. Deuxième série pp. -366

Sully-Prudhomme répond en publiant un poème philosophique en douze chants sur le Bonheur. […] Le poème du Bonheur est un poème philosophique. […] Mais tout est permis au doute philosophique. […] Ces Grecs ingénieux ont inventé d’innombrables systèmes philosophiques. […] Et c’est, je crois, la seule réflexion philosophique qu’il ait jamais faite.

509. (1949) La vie littéraire. Cinquième série

Ils ne peuvent nous dire que la vie est courte et que l’art est long sans nous pénétrer d’une tristesse philosophique. […] Lessing l’a mise en œuvre à la fin du siècle dernier dans son drame philosophique de Nathan le Sage. […] Taine l’imagination philosophique. […] Sardou l’exécuta, ce jour-là, il créa la géographie philosophique. […] Le nouveau culte il est vrai, tel que Robespierre le définissait, présentait un caractère purement philosophique.

510. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LVI » pp. 215-217

Les catholiques réclament pour eux seuls, et les éclectiques se défendent comme ayant seuls la bonne et vraie philosophie : pour les éclectiques, les autres sectes philosophiques ne comptent pas ; pour les catholiques les autres communions dissidentes sont moins que rien.

511. (1902) L’observation médicale chez les écrivains naturalistes « Avant-propos »

M. le Professeur Morache, par l’allure hautement et largement philosophique de ses leçons magistrales — pleines d’Idées, non de formules — reste en particulier notre initiateur immédiat.

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