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1598. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 140-141

Elle mérite encore plus nos éloges par un style piquant & familier, qui semble donner un nouveau coloris aux Héros qu’il peint, & qui, sans affoiblir leur caractere ni changer la physionomie, les naturalise en quelque façon parmi nous.

1599. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 168-169

Cet Auteur est aujourd’hui chargé de la rédaction du Courrier d’Avignon, qui, comme on sait, n’offre que des nouvelles surannées, écrites d’un style qui n’est pas capable de dédommager du défaut de nouveauté.

1600. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 378-379

Ses Sermons, peu éloquens à la vérité, sont du moins solides ; & ses sentimens trouvent un nouveau sujet d’éloge, dans le zele qu’il a eu de contribuer au succès des Prédicateurs d’un talent supérieur au sien.

1601. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 307

Il ajoute encore un nouveau mérite à ses remarques, celui d’en rapprocher plusieurs citations tirées des meilleurs Poëtes François, vrai moyen de répandre une agréable variété sur les sujets qu’il traite.

1602. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » pp. 421-422

Nofiradamus, étonné de se voir érigé en Prophete, met à profit l’ignorance publique, & lui fait présent d’un nouveau fatras qu’il donne pour des prédictions.

1603. (1859) Moralistes des seizième et dix-septième siècles

Il intitula ces nouveaux entretiens : De la morale dans la littérature. […] C’est par un fait, un fait unique, mais nouveau, que Dieu a jugé à propos d’agir sur l’humanité. […] Sa lumière ne lui vient pas d’un nouveau raisonnement, mais d’un nouveau sens. […] Dieu alors proclame de nouveau son unité ; mais il la proclame par des faits. […] Pour vivre d’une vie nouvelle, il faut qu’un principe nouveau ait été déposé dans le cœur.

1604. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Arnault, Antoine Vincent (1766-1834) »

. — Fables nouvelles (1834).

1605. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Leclercq, Paul (1872-1956) »

Paul Leclercq un court poème, Ibis, à quoi j’eusse reproché pour ma part quelque affectation d’ironique psychologie ; les pages nouvelles qu’il rassembla récemment ne sont pas écrites en lignes inégales, et cependant elles me valent le plaisir de les louer, pour l’harmonie rythmique de la langue et la grâce ingénieuse des images qui les assimilent à de véritables petits poèmes.

1606. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Penquer, Mme = Salaün-Penquer, Léocadie (1817-1889) »

[Nouveaux lundis (1865).]

1607. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Veyrat, Jean-Pierre (1810-1844) »

[Lundi, 19 juin 1865, des Nouveaux lundis (1886).]

1608. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 269-270

On l’a vu successivement Capucin, Apostat, Secrétaire du Roi de Pologne Auguste III, puis rentrer dans son Ordre, en sortir ensuite pour parcourir un nouveau cercle d’aventures, & finir par mourir Protestant.

1609. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 299-300

Si ses Maximes ne sont pas toujours nouvelles, on ne peut leur refuser le mérite d'être énoncées avec netteté, précision, & souvent avec élégance.

1610. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « À mon illustre ami, le comte Roselly de Lorgues » p. 

En ce livre des Œuvres et des Hommes, j’ai eu le bonheur de parler le premier de votre belle Histoire de Christophe Colomb, ce monument élevé à la gloire du plus grand des hommes, payé du Nouveau Monde, qu’il donna à l’Ancien, par l’ingratitude universelle.

1611. (1868) Curiosités esthétiques « V. Salon de 1859 » pp. 245-358

Une folie, un fanatisme extraordinaire s’empara de tous ces nouveaux adorateurs du soleil. […] Elle décompose toute la création, et, avec les matériaux amassés et disposés suivant des règles dont on ne peut trouver l’origine que dans le plus profond de l’âme, elle crée un monde nouveau, elle produit la sensation du neuf. […] non seulement son talent triomphe des obstacles, mais il en fait naître de nouveaux pour en triompher encore ! […] Holbein connaît Erasme ; il l’a si bien connu et si bien étudié qu’il le crée de nouveau et qu’il l’évoque, visible, immortel, superlatif. […] Je crois, mon cher, que nous pouvons nous arrêter ici ; je citerais de nouveaux échantillons que je n’y pourrais trouver que de nouvelles preuves superflues à l’appui de l’idée principale qui a gouverné mon travail depuis le commencement, à savoir que les talents les plus ingénieux et les plus patients ne sauraient suppléer le goût du grand et la sainte fureur de l’imagination.

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