Faguet, bourgeois, pédant et robin d’Université, sent rougir sa joue fraternelle, chaque fois que les doigts fins du railleur effleurent le mufle judiciaire.
Jadis la religion, c’était là un magnifique dada… mais c’est empaillé maintenant… ou encore le dada du père Corot qui cherche des tons fins et qui les trouve et à qui ça suffit… Tenez, ces gros bourgeois qui viennent le dimanche ici, et qui rient si fort… je les envie. » « Et pour l’amour, mon Dieu, ce que nous exigeons de la créature humaine !
Condorcet, à la fin du siècle, 1794, dans son Essai sur les progrès de l’esprit humain, résumait, précisait, arrêtait ou fixait la doctrine : on peut même dire qu’il la codifiait.
Peut-être serait-il possible aussi qu’à l’époque de l’examen du budget, où le gouvernement et les chambres vont se trouver forcés de s’occuper des théâtres, quelques-unes des idées que je vais vous soumettre à la fin de ma lettre pussent être remarquées de nos législateurs, et les engager par de nouveaux sacrifices à rétablir le théâtre national sur une base durable.
Mais voici que sa fin approche… Quelque chose m’inquiète, tandis que je transcris ces fragments d’une correspondance intime.
Sa raison lui révèle une fin à poursuivre dans le développement de la vie psychique et physique.
Comme l’eau qui bouillonne et brûle, et, à la fin, refoule tout à coup le poids de l’atmosphère, et s’élance en souffle insensé : ainsi l’esprit humain, après avoir bien bouillonné, a brisé les limites qu’il s’était données à lui-même : le ciel qui comprimait la société, et la maintenait, et l’éclairait, et réchauffait, et la fécondait de rosées, ce ciel est vaincu ; mais la société est détruite, et le doute, le doute insensé, parcourt et sillonne la terre en tous sens. […] Il semble que la nature avait donné à chaque homme sa destination ; chacun avait un but à atteindre ; ils devaient y marcher tous ensemble, se secourant, s’animant, se guidant les uns les autres : mais, faute d’un soleil qui les éclaire, ils prennent chacun une route différente de celle que la nature leur avait donnée ; ils se heurtent, se combattent, s’égorgent ; et les plus heureux, marchant sur le corps de leurs frères, arrivent à la fin de leur vie sans avoir vu autre chose qu’une horrible et ridicule mêlée dans d’épaisses ténèbres.
David (2e partie) À la fin du dernier Entretien sur la poésie sacrée nous comparions David à Pindare.
Adressez-vous à Marat. » Je n’ai pas excusé un moment les Girondins d’avoir faibli, non par peur, mais par politique, devant les Jacobins, en consentant à leur livrer à la fin cette victime royale et pure qu’ils leur avaient disputée si éloquemment au commencement.
répliquai-je, « il ne s’agit pas de ce que je veux, mais de ce que je pense. » J’ignore si cette réponse lui a été rapportée, mais je suis bien sûre du moins que, s’il l’a sue, il n’y a attaché aucun sens ; car il ne croit à la sincérité des opinions de personne, il considère la morale en tout genre comme une formule qui ne tire pas plus à conséquence que la fin d’une lettre ; et, de même qu’après avoir assuré quelqu’un qu’on est son très-humble serviteur, il ne s’ensuit pas qu’il puisse rien exiger de vous, ainsi Bonaparte croit que lorsque quelqu’un dit qu’il aime la liberté, qu’il croit en Dieu, qu’il préfère sa conscience à son intérêt, c’est un homme qui se conforme à l’usage, qui suit la manière reçue pour expliquer ses prétentions ambitieuses ou ses calculs égoïstes.
Ce sont gens pressés, qui commencent par la fin, j’y consens.
André Maurel Chaque époque se crée les divertissements qui lui conviennent, et bien fin le contemporain qui pourrait dire si son choix est un progrès ou une décadence, puisque cela ne se peut distinguer qu’aux conséquences posthumes.
« Vous ma fierté tout enorgueillie, Vous seul but, seule voie et seule fin, Vous de qui seul je me rêvais cueillie, Vous mon poème et ma soif et ma faim, — Quel soir est tombé, quelle heure est vieillie ?
Dans le grand Dictionnaire des Précieuses, on plaça comme illustres modèles, la marquise de Rambouillet, qui avait près de 80 ans et touchait à sa fin, madame de Montausier, sa fille, mesdames de Sablé, de La Fayette, de La Suze et de Sévigné.