Tu ne porteras jamais un pareil message ; à la loterie de la gloire, ce sont les enfants qui tirent les bons lots. […] Sa mère et son enfant sont tout près, chers tombeaux, Deux portraits devant lui, de son cœur deux flambeaux ! […] Lui, fixe on ne sait quoi là-bas à l’horizon, Comme pour voir au ciel l’enfant de sa maison. […] Le vieux manoir réunissait une nombreuse tribu de famille et d’amis de la famille, plusieurs jeunes nièces avec leurs petits enfants. […] Quand on voit jusqu’ici monter les robes blanches, Notre semaine, enfants, a toujours deux dimanches !
Elle, le caporal, Nâna et trois autres vieilles ayant passé l’âge d’avoir des enfants sont partis vers 6 heures du soir au moment où la nuit tombe. Les quatre vieilles portaient l’enfant. […] Les trois assiettes avec leur contenu ont été rangées devant l’enfant. […] L’enfant avait disparu et avec lui toutes les offrandes : les 7 boulettes, les 7 œufs et la bouteille de tafia. […] Jamais depuis on n’a revu l’enfant.
Mes premiers respects pour le livre, milieu surhumain où s’opère ce phénomène, me vinrent d’où vient toute révélation aux enfants, de leur mère. […] J’ai retrouvé, il y a peu de temps, cette composition d’enfant, écrite d’une écriture ronde et peu coulante, dans un des tiroirs du secrétaire en noyer de ma mère : mes maîtres la lui avaient adressée pour la faire jouir des progrès de son enfant. […] Elles gardent les petits enfants en causant entre elles des printemps d’autrefois. […] Mais je n’en copie pas davantage ; ces balbutiements d’enfant n’ont de charme que pour les mères. […] me dit-il, mon enfant, vous voyez le premier le grand mystère de cet enclos, sur lequel on chuchote tant de fables dans le village ?
Il est entouré de ses enfants et de ses petits-enfants, la plupart empressés à le servir. […] De derrière le fauteuil du vieillard sort une petite tête d’enfant. Il s’avance ; il voudrait bien aussi entendre son grand-papa, le voir et le servir ; les enfants sont officieux. […] Les enfants les plus jeunes sont gais, parce qu’ils ne sont pas encore dans l’âge où l’on sent. […] Il est gris, et cette enfant est souffrante.
Ces deux filiations firent plus tard de Rousseau un enfant impressionnable, un écrivain sublime, un rêveur chimérique et un philosophe vicieux. […] mon enfant, me dit-elle d’un ton qui me fit tressaillir, vous voilà courant le pays bien jeune ; c’est dommage, en vérité. […] Il craignait, disait-il, que la société n’armât un jour contre lui le bras parricide de ses enfants ! […] combien la pauvre Thérèse, dans l’amour bestial d’un tel homme et après de tels rapts de ses enfants, ne devait-elle pas frémir de devenir mère ! […] C’était un singulier contraste dans Rousseau qu’un homme écrivant un traité d’éducation pour le genre humain de la même main qui venait de jeter et qui jetait encore à cette époque ses enfants à l’hôpital des enfants trouvés pour y recevoir l’éducation de la misère, du hasard, et peut-être du vice et du crime.
La pauvre petite enfant plie et succombe. […] Il s’y attache de plus en plus à cette pauvre enfant. […] Victor Hugo lui prête sa tendresse pour les enfants. […] Les femmes jouent avec leur beauté comme les enfants avec leur couteau. […] Ce petit protecteur indifférent et gai des pauvres enfants est le type de la légèreté stoïque de l’enfant de Paris, dont M.
Les anciens, nos maîtres en toutes choses, étaient des enfants, comparés à ce M. […] Elle la jouait d’abord comme une enfant, avec les meubles de sa mère. […] Voyez donc, mon ami, ce qui se passe dès le premier jour du début de cette enfant ! […] Quel changement s’est opéré dans le destin de cette enfant ? […] Aujourd’hui, cette enfant accueillie à ses débuts de ces mauvais présages, s’appelle mademoiselle Mars !
Après sa mort, son vaste héritage s’était partagé entre ses six enfants, trois fils et trois filles. […] Les hommes se levaient, les fronts se découvraient, les enfants et les jeunes filles se rapprochaient. […] De toutes les servantes de sa mère, c’est elle qu’il aimait le plus, parce qu’elle l’avait élevé pendant qu’il était encore enfant. […] et qui peut le remplir plus délicieusement que l’amour d’un fils pour son père, d’un père pour ses enfants, de l’épouse pour son mari ? […] Souvenez-vous, mes enfants, de votre grand-père !
cette enfant est la beauté accomplie ! […] Tu sais, un enfant est enfant, un jeu est un jeu. […] La pauvre enfant m’a causé bien des peines ; pourtant je ne regretterais pas de les reprendre pour elle : la pauvre enfant m’était si chère ! […] Laissons cela, mon enfant ! […] Chère enfant !
L’enfant qu’une d’elles retient en l’embrassant est de cire. […] Et quoi encore des femmes et des enfants. […] Il faut du mouvement aux enfants, et il y a beaucoup d’enfants. […] C’est un enfant. […] Que signifie cet épisode du petit enfant à la rose ?
Tout le village s’y rassemble ; les enfants y font invasion ; les valets les écartent ; ils reviennent toujours. […] Aussi les enfants et les femmes l’adoraient. […] La religion naissante fut ainsi à beaucoup d’égards un mouvement de femmes et d’enfants. […] L’idée de ses disciples se confond presque pour lui avec celle d’enfants 545. […] Allusion à quelque jeu d’enfant.
Et ce parvenu du sort, cet enfant gâté de la chance a l’insolence de se plaindre ! […] L’auteur l’a rendu plus inacceptable encore en mêlant des enfants au conflit pénible qu’il a mis en scène. […] Les enfants adorent d’ailleurs celui qui a remplacé l’absent. […] Merson a-t-il rempli envers ses enfants, et quel devoir, lui, Caverlet, a-t-il oublié ? […] Lorsqu’il s’agit de questions pareilles, la sagesse est sur les lèvres des vierges et dans le cœur des enfants.
Si vous avez un enfant, ne la lisez que quand il dormira. […] Le visage de votre enfant ! […] L’enfant vous ôte les années qu’il prend. […] Lorsque l'enfant rit, le ciel rit : tout est sérénité, lumière, joie. […] Enfant !
Voici une pièce qui, en justifiant nos éloges, ne fera sentir qu’à peine ce que nous critiquons : À l’enfant. Enfant, tes jeux sont doux à mon cœur paternel, Mon chant intérieur monte vers l’Éternel Quand j’entends tes pas dans les salles, A cette heure où le jour s’éteint mystérieux ; Lorsque le vieux château, décrépit glorieux, Nous cache ses tours colossales. […] Marche donc, mon enfant, image du passé ; Ranime mon esprit qui, voyageur lassé, Se traîne vers l’hôtellerie. […] Le chemin ombragé, c’est toi, mon bel enfant, Toi plus doux à mon cœur que le soupir du vent, Ou le bruit des mers refluées. […] J’eus une mère, enfant, un père, comme toi, J’eus une aïeule aussi qui cultivait ma foi, Bien-aimés que je pleure encore.