Justin martyr, dans l’écrit que nous venons de citer la traite de grande clameur. […] Je cite ce passage suivant la correction de Gerard Vossius. […] Mais Donat que nous venons de citer, dit : (…). […] Ciceron, après avoir parlé de l’usage que les pythagoriciens faisoient de la musique dans leur régime, pour ainsi dire, et après avoir dit que Numa le second roi des romains, tenoit de l’école de Pythagore plusieurs usages qu’il avoit introduits dans son petit état, cite comme une preuve de ce qu’il venoit d’avancer la coutume de chanter à table les loüanges des grands hommes avec un accompagnement d’instrumens à vent.
Il flatte son auditoire, il fait des compliments à son siècle, il se dit le concitoyen de tout le monde, cite des vers en chaire, loue Chateaubriand en face (qui est là assis dans le banc d’œuvre) ; en un mot Lacordaire fait d’autant plus le mondain qu’il est dominicain. […] On cite parmi les candidats MM. […] On cite un M.
Chaumié cite Claudel, on peut aussi évoquer le nom de Joseph d’Arbaud, qui est un admirable lyrique. […] Mais, cette question de la langue parlée n’a guère d’importance : sans citer les meilleurs poèmes de Du Bellay, qui sont en latin, il y a bien vingt-cinq millions de Français — pour être décent —, qui s’entendent mieux aux divers argots de la Phynance, du Journalisme, de la Chambre et du Bordel qu’à la langue poétique. […] Et je ne veux citer ni Laforgue né à Montevideo, de père tarbais, ni Mikhaël, toulousain ainsi que Tailhade, ni Signoret ; et encore moins, quoique leur origine soit signalée dans Les Poètes d’aujourd’hui de MM. […] Ainsi, il cite comme faisant exception à sa loi, Clément Marot né à Cahors ; mais le père de Clément Marot, lui-même bon poète mais dont la gloire a été éclipsée par celle de son fils, était originaire de Caen, ce qui prouve qu’au xve siècle, on voyageait déjà. […] Citerai-je les exemples célèbres de Gambetta et de Jaurès ?
Vous avez encore bien d’autres passages que je pourrais citer, mais je me presse un peu. […] Je vous ai dit que je pourrais citer encore bien d’autres textes permettant et exigeant la même conclusion. […] Le passage est un peu long, je ne vous en citerai que la fin, qui est très belle : Mais le plus bel objet, c’est la Loire, sans doute. […] Ceci encore serait à citer, mais il faut que je me hâte. […] (Rappelez-vous sa méditation devant la cellule de Fouquet, que je n’avais pas besoin de vous citer aujourd’hui puisque je vous l’ai déjà citée tout entière en faisant sa biographie.)
Une partie en a été citée, ce n’est généralement pas la plus heureusement venue. […] Nous n’avons pas plus tôt ce roseau dans la main Que le vent nous l’enlève… Il y a encore, dans les Filles de Minée, à citer, mais à un autre point de vue, au point de vue du travail de La Fontaine, de la façon dont il travaillait, il y a à citer deux vers de l’épisode de Pyrame et Thisbé. […] De ces récits qui sont très divertissants, je ne vous en citerai qu’un parce qu’il faut se borner ; je vous citerai la chevauchée de Ragotin et l’âne tué. […] Je vous citerai donc l’Ane mort de Ragotin, l’assassinat de l’âne par Ragotin et ce qui s’ensuit, ou plutôt ce qui l’a amené. […] De Galatée je ne vous citerai que quelques vers qu’il est bon que l’on connaisse.
Citons encore M. […] Citons La Caserne de M. […] En dehors de ce groupe, citons M. […] Nous n’avons pas prétendu citer ici toutes les femmes romancières, si nous nous souvenons de Mme J. […] Rachilde affirme que vouloir citer les jolis mots de P.
A toutes les époques, il est vrai, et sans doute chez tous les peuples, le sens commun en a reconnu, sinon l’importance, du moins la réalité : un certain nombre d’expressions courantes — nous aurons l’occasion de les citer dans la suite de ce travail [ch. […] Or les passages descriptifs des Recherches que nous venons de citer contredisent le fait invoqué ; car ils impliquent que, dans bien des cas, l’idée précède le mot dans la conscience [ch. […] Pezzi par Nourrisson, citée par Egger, date de 1875 (Paris, Sandoz et Fischbacher, 243p.)] […] Nous citons d’après l’édition in-8° publiée chez Adrien Le Clere, 1853 et 1857. […] Pages 206 à 218, où il cite Bonald ; il le cite encore, et le réfute, pages 351-352, sur l’invention de l’écriture, mais jamais sur la parole intérieure ; ses seules autorités sont (p. 360) les mots logos, grammaire, etc.
Je voudrais tâcher de le leur expliquer, leur donner idée d’un des hommes les plus savants, les plus distingués et les plus vraiment aimables que puisse citer l’Église de France, de l’un de nos meilleurs écrivains, et, sans m’embarquer dans aucune question difficile ou controversée, mettre doucement en lumière la personne même et le talent. […] en religion alors, en théologie, ce fut un peu de même ; il y eut une génération animée de zèle, qui essaya, non pas de renouveler ce qui, de soi, doit être immuable, mais de rajeunir les formes de l’enseignement et de la démonstration, de les approprier à l’état présent des esprits, de combattre certaines routines, certaines habitudes devenues rigides ou étroites, et de rendre le principe catholique respectable à ceux même qui le combattaient : « Pour agir sur le siècle, se dirent de bonne heure ces jeunes lévites, il faut l’avoir compris. » Des noms, j’en pourrais citer quelques-uns qui, avec des nuances et des différences que l’on sait dans le monde ecclésiastique, avaient alors cela de commun, de représenter la tête du jeune clergé intelligent et studieux : M. […] J’en citerai quelques-unes presque au hasard comme nous rendant le reflet de l’âme de l’abbé Gerbet, et sans y chercher le lien. […] Des divers écrits de l’abbé Gerbet, je ne citerai plus qu’un seul, et c’est peut-être son chef-d’œuvre : il se rattache à une circonstance touchante, que les personnes pratiquement religieuses sentiront mieux que d’autres, mais qu’elles ne seront pas seules à apprécier. […] Vous en citerai-je une, ô Platon ?
Les anciens ignoroient dans les sciences que j’ai citées bien des choses que nous sçavons, et par la démangeaison naturelle aux hommes de porter leurs décisions plus loin que leurs lumieres distinctes, ils sont tombez, comme je l’ai déja dit, en une infinité d’erreurs. […] Parmi les professions que j’ai citées comme ressortissantes principalement du génie, celle du medecin paroît la plus dépendante de l’état où est la médecine quand un certain homme vient à la professer. […] Enfin, dit ailleurs l’auteur anglois que nous venons de citer, nous pouvons être plus exacts que les anciens, mais nous ne sçaurions être aussi sublimes.
Durant la période de 1660 à 1670, plusieurs des personnes que nous avons citées, d’autres encore, ouvrirent elles-mêmes leur maison. […] Madame de Sévigné en était l’âme : elle était aussi fréquemment chez le duc de La Rochefoucauld et dans une étroite liaison avec madame de La Fayette, Le comte de Brancas réunissait aussi du monde aimable chez lui, malgré cette infirmité de distractions continuelles dont madame de Sévigné cite des exemples fort divertissants, et dont La Bruyère a rassemblé une étonnante collection sous le nom de Menalgue dans ses Caractères. […] Cependant, on voit par une multitude de lettres adressées par le duc de La Rochefoucauld à madame de Sablé, dans le temps qu’il complétait, corrigeait, soumettait à la critique les Maximes qu’il a publiées en 1665, que madame de Sablé les jugeait, et les modifiait très judicieusement ; on voit de plus qu’elle les soumettait au jugement d’autres femmes célèbres, de ses amies, notamment à la maréchale de Schomberg, Marie d’Hautefort, alors âgée d’environ 49 ans, anciennement l’objet de cette passion religieuse de Louis XIII, qui a été tant célébrée, et à son amie la comtesse de Maure ; qu’elle rédigeait elle-même des maximes, ou, pour parler plus exactement, des observations sur la société et sur le cœur humain, observations dont il paraît que le recueil de La Rochefoucauld renferme quelques-unes ; et enfin que cette dame avait de la fortune, une bonne maison, une excellente table, citée alors pour son élégante propreté ; qu’elle donnait des dîners dans la maison qu’elle occupait à Auteuil ; et que le duc de La Rochefoucauld allait souvent l’y voir. […] Quant à la galanterie, sa première jeunesse se ressentit les distractions de son mari, et l’on cite sa réponse à son oncle qui lui disait : Quoi !
Letronne et ses adversaires, un journal citait dernièrement le mot de Schlegel. […] Letronne, pour toute réponse au livre qu’il avait reçu de lui, quelques vers français dont on cite les deux premiers : On a donc retrouvé dans la Sainte-Chapelle Le magnanime cœur du perruquier l’Amour… Schlegel sait son Lutrin. […] — Un autre poëte, moins docte, plus facile et souvent aimable, Ulric Guttinguer, connu de nous pour avoir chanté autrefois notre lac, et qui vient aussi de rassembler ses vers en un seul volume sous ce titre : Les Deux Ages, cite, dans sa préface que nous avons sous les yeux, un passage de Jules Lefèvre, en l’accompagnant d’éloges qui prouvent au moins que tout n’est pas épine dans le sentier : il accorde sans hésiter à son confrère non-seulement la conscience poétique noble et puissante (ce qui n’est que juste), mais encore le génie intime et pénétrant. — Nous ne nous chargeons que de noter en courant : les Aristarques de l’avenir décideront.
Philippe Gille Il peut paraître étrange que, pour donner idée des vers d’un poète, ou cite de sa prose ; c’est pourtant le meilleur moyen de faire connaître la genèse du talent de Mme Alphonse Daudet, talent qui se manifeste déjà, comme on pourra le constater, dans le volume qu’elle intitule : Poésies. […] « Ce petit volume a donc été composé inconsciemment, et peut s’attribuer à quelque élévation courte et subtile d’une pensée féminine vers ce qui n’est pas la tâche journalière ou l’obligation mondaine… » Voilà de la prose exquise qui nous dispense, je crois, de citer les vers, non moins exquis, de Mme Daudet.
Saint-Simon cite les exemples les plus curieux de cette indécision d’un si vaste esprit, laquelle se prolongeait jusqu’au dernier moment. […] Dans la belle lettre à M. de Valincour sur l’incendie d’une bibliothèque, et où il cite tant Cicéron, il parle d’Astrée, c’est-à-dire de Mme la chancelière elle-même, célébrée sous ce nom par M. de Valincour dans je ne sais quelle idylle qui sentait son âge d’or. […] Il me faut pourtant y faire une remarque critique sur une phrase souvent citée, et qui a fort étonné de la part d’une plume aussi correcte que celle de d’Aguesseau. […] C’est à quoi d’Aguesseau fait allusion ; il aimait à citer ce mot de saint Augustin, et si, dans le cas présent, il s’est permis un trait de mauvais goût, ç’a été à condition encore que ce fût d’après un ancien et d’après un Père de l’Église. […] On cite de lui de jolis vers, de jolis mots.
Portelance, citée par Molènes, n’a aucun rapport ici, puisque Lucrèce a un succès prodigieux à la représentation, et que l’Antipater n’a jamais réussi. […] Libri est cet ami ; il se donne le plaisir de citer une jolie phrase sur Cousin.