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1453. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 230-231

Ses Lettres critiques sur Roméo & Juliette prouvent que les applaudissemens momentanés donnés à cette Tragédie n’en ont pas imposé à son discernement ; & les Etrennes à ses Amis, qu’il n’est rien moins qu’atteint de la maladie philosophique, & qu’il a le bon esprit de sentir les maux qui en sont le résultat.

1454. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « À Monsieur P. Bottin-Desylles »

Bottin-Desylles Mon très cher parent et très cher ami Je vous dédie ce livre comme le témoignage d’une admiration qui a commencé dès que j’ai pu comprendre, et d’une affection qui a commencé dès que j’ai pu sentir.

1455. (1859) Moralistes des seizième et dix-septième siècles

La Rochefoucauld était presque le seul de ses amis qui n’eût pas été écarté encore. […] Cela ne l’empêcha pas de les avoir pour amies. […] Un bon financier ne pleure ni ses amis, ni sa femme, ni ses enfants. […] La faveur, l’autorité, les amis, la haute réputation, les grands biens servent pour le premier monde ; le mépris de toutes ces choses sert pour le second. […] « Celui-là peut prendre, qui goûte un plaisir aussi délicat à recevoir que son ami en sent à lui donner.

1456. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96

Par nos lois, prose et vers, tout nous sera soumis : Nul n’aura de l’esprit hors nous et nos amis, Nous chercherons partout à trouver à redire, Et ne verrons que nous qui sachent bien écrire85. […] Ainsi, dans L’École des femmes, la meilleure et la plus gaie des grandes comédies de noire auteur94, Arnolphe reçoit les conseils d’un ami philosophe, un peu moins édifiant toutefois, rendons-lui cette justice, que la plupart de ses collègues du nom d’Ariste ou de Cléante. […] Or Alceste, loin d’ignorer ou de cacher sa misanthropie, en fait une profession si déclarée, que lui et son ami Philinte ne sont pas autre chose que deux thèses morales habillées en hommes, argumentant sur la scène l’une contre l’autre, comme autrefois le Juste et l’injuste dans Les Nuées d’Aristophane. […] Dans la profusion le goût se ralentit ; Il n’est, mes chers amis, viande que d’appétit. […] Il est certainement très blâmable d’avoir fait bafouer Trissotin , etc. — Douzième leçon, « Schlegel sent probablement, selon la remarque qu’en a faite un de ses amis, que Molière l’aurait tourné lui-même en ridicule, s’ils eussent vécu du même temps. » Goethe (Entretiens avec Eckermann).

1457. (1925) La fin de l’art

Les livres anciens ont trouvé de vrais amis. […] Correspondances On va publier les lettres de Verlaine à un de ses amis. […] Félicitons-nous plutôt qu’un de ses amis eût songé à garder dès 1868 la plupart (car il en manque certainement) des lettres qu’il en recevait. […] Avait-il prévu la fortune singulière de son ami ? […] Un sieur Jannart, ami de Fouquet et parent de La Fontaine, ayant été prié de se retirer à Limoges, le poète l’y suivit.

1458. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « III — I » pp. 12-13

La salle était pleine d’avance et d’amis.

1459. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Beauvoir, Roger de (1809-1866) »

Ses vers, diront les amis d’une littérature difficile, ne sauraient que gagner à des veilles plus sérieuses.

1460. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Morice, Charles (1861-1919) »

Émile Zola Il y a bientôt dix ans que des amis disaient : « Le plus grand poète de ces temps-ci, c’est Charles Morice !

1461. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 504

C. qui n’est pourtant pas la meilleure de celles que nous avons, & ses quatre Dialogues sur l’Immortalité de l’ame, qu’il composa, dit-on, en société avec M. de Dangeau, son ami intime.

1462. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 270-271

Felibien étoit ami du fameux Poussin, qui ne contribua pas peu à perfectionner son goût pour les Arts.

1463. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 135-136

Malgré la réclamation d’un de ses amis*, au zele duquel nous applaudissons, nous ne changerons rien à ce que nous avons dit.

1464. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 464

Amis, de mauvais Vers ne chargez pas ma tombe.

1465. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » p. 435

Vignoles fut l'ami de Leibnitz, étoit Philosophe comme lui, & respecta également la Religion.

1466. (1759) Salon de 1759 « Salon de 1759 — Vien » pp. 95-96

Vous rappelez-vous, mon ami, la Résurrection du Rembrant ; ces disciples écartés ; ce Christ en prière ; cette tête enveloppée du linceul, dont on ne voit que le sommet, et ces deux bras effrayants qui sortent du tombeau.

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