Mais il faudra des siècles pour mener à bien cette conquête qui ne sera vraiment achevée qu’au siècle de Louis XIV.
Viagère, elle reste douteuse, puisqu’elle n’est vraiment la gloire que lorsque le temps l’a consacrée ; et d’ailleurs nous voyons que la « notoriété » de très grands artistes est surpassée, de leur vivant, par celle de simples histrions.
Elle est la grâce des intelligences vraiment libres.
Paul et Victor Margueritte Cet homme qui vient de mourir, et que les jeunes gens avaient appelé durant sa vie le prince des poètes, était vraiment un prince.
Cet hymne est vraiment trop plébéien et se plie mal à saluer les rois.
La science, la chose du monde la plus vraiment libérale, n’est largement patronnée qu’en Russie !
Mais les ouvriers commettent souvent une faute vraiment impardonnable : c’est d’abandonner le genre où ils pourraient exceller pour traiter des sujets où ils ne sont pas compétents et qui exigent une tout autre culture que celle des petits livres d’école.
Aucun des textes parsis qui impliquent vraiment l’idée de prophètes ressuscités et précurseurs n’est ancien ; mais les idées contenues dans ces textes paraissent bien antérieures à l’époque de la rédaction desdits textes.
Cela est sans contredit juste et parfaitement écrit ; mais à la suite, quand Agnès déclare à son tuteur qu’un jeune homme, malgré tous les obstacles, a trouvé le moyen de s’introduire près d’elle et de lui plaire, le tuteur se plaint d’avoir perdu tous les soins qu’il a pris pour lui plaire lui-même ; Agnès lui répond : Vraiment, il en sait donc là-dessus plus que vous, Car à se faire aimer il n’a pas eu de peine.
. — Vraiment, pas possible d’entendre la lecture de votre pièce.
Est-il vraiment si naturel que le même jeu se joue en anglais sur les plages et en français dans les cours de collège ?
Ce bras droit qu’il tient étendu en l’air est vraiment hors de la toile ; l’autre bras ainsi que la main sont bleuâtres, ce qui suppose, contre la vérité, de la durée dans une position contrainte.
De même, ils sont trop vaniteux pour goûter la leçon de la fable « Le renard et le corbeau » et, si vraiment les griots sont pour quelque chose dans la conception des contes et des fables, on comprendra qu’ils ne soient guère disposés à prêcher une morale si contraire à leurs intérêts.