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522. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Des Essarts, Emmanuel (1839-1909) »

. — Portraits de maîtres (1888).

523. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Dujardin, Édouard (1861-1949) »

[Portraits du prochain siècle (1894).]

524. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — F — Fabié, François (1846-1928) »

[Portraits intimes (1894).]

525. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Monselet, Charles (1825-1888) »

. — Portraits après décès (1866). — Physionomies parisiennes (1868). — Les Premières Représentations célèbres (1869). — Les Créanciers (1870). — La Lorgnette littéraire (1871). — Les Frères Chantemesse (1872). — Les Femmes qui font des scènes (1872). — Marie et Ferdinand (1873). — Panier fleuri (1873). — Gastronomie (1874). — Les Amours du temps passé (1875). — Scènes de la vie cruelle (1876). — Lettres gourmandes (1877). — Poésies complètes (1881). — Monsieur de Cupidon (1882)

526. (1920) La mêlée symboliste. I. 1870-1890 « Léon Dequillebec » pp. 165-167

Des pastels anciens, des portraits de famille se fanaient aux murs, tristement, et tandis que, près de nous, rôdait un doux sourire de femme attentive, surveillant la bouilloire où chantait l’eau des tisanes, le moribond, comme dans une protestation dernière, en dépit du mauvais sort, me confiait ses projets d’avenir.

527. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 249-251

L’Oraison funebre de Jean-George II, Prince Danhalt-Dessau, offre le portrait d’un Prince Chrétien, bien supérieur à ce vain étalage de vertus équivoques & fragiles, que la Philosophie moderne préconise si fort dans les Princes qu’elle regarde comme ses disciples….

528. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 354-356

Quand le portrait énergique qu’il y trace des prétendus Philosophes de nos jours, & la sublime Prosopopée où il représente le Dauphin s’adressant à la Religion, ne justifieroient pas notre jugement, les persécutions qu’il a essuyées en entrant dans la carriere de la part des ennemis que lui a suscités la jalousie, ces persécutions suffiroient pour prouver sa supériorité ; & véritablement peu d’hommes ont débuté avec plus d’éclat dans l’art de l’Eloquence, & y ont acquis, plus jeunes, des titres à l’admiration.

529. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Henriette d’Angleterre » pp. 7-9

Madame d’Aulnoy, qui a créé Le Prince gracieux, est souvent un Tacite qui s’ignore, et elle a des portraits, dans ses Mémoires, — comme celui, par exemple, de la grande camerera-mayor, la duchesse de Terra Nuova, — d’un terrible aussi sombre que si les plus sinistres peintres de l’Espagne y avaient passé !

530. (1861) La Fontaine et ses fables « Troisième partie — Chapitre I. De l’action »

Ce loup est le premier qui le fasse, et elle nous montre son histoire avec son portrait. […] Mais d’autre part le portrait est vrai quand aux traits communs et généraux il ajoute les traits personnels ; et il est intéressant quand aux traits communs et observés ailleurs il ajoute des traits nouveaux. […] Les détails et les portraits ne sont donc au fond que des arguments. […] Tout d’abord il est frappé du « portrait fidèle » par lequel commence le récit. […] Il reprend d’abord le portrait tracé par Cassandre.

531. (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1886 » pp. 101-162

Dans le cabinet de travail, sous une lumière qui fait jaunes les visages, et poussiéreux les objets, je découvre encadrée, dans le fouillis des dessins et des images couvrant les murs, la réduction de mon portrait par Bracquemond. […] Et le portrait de M.  […] En fait de portraits, un beau portrait de Napoléon au pont d’Arcole, par Gros, délavé dans cette huile couleur d’ambre, qu’affectionnait la peinture de Rubens, et le portrait de Denon par Prud’hon, d’un merveilleux modelage, et dont la pâleur rosée a quelque chose de la fleur d’un pastel.

532. (1895) Les mercredis d’un critique, 1894 pp. 3-382

Je ne sais plus quel peintre répondait à un amateur qui s’étonnait du prix très haut auquel il avait vendu un portrait enlevé en quelques séances : « Mais voilà trente ans que j’y travaille !  […] Voici le portrait que M.  […] Comme Ibsen est assez à la mode en ce moment, on y lira avec intérêt un portrait de lui, je devrais dire deux portraits, l’un moral et l’autre physique, tous deux fidèles et très curieux. […] Le soldat, ne comprenant guère que la gloire militaire, s’étonne de l’importance qu’a prise la littérature, et fait de Dumas un portrait aussi désagréable que peu ressemblant. […] Puis l’auteur nous montre l’élégante madame Tallien, devenue madame de Caraman, ayant perdu toute sa beauté, grosse, grasse, lourde, couperosée, etc. ; un portrait de femme fait par une femme.

533. (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « M. DAUNOU (Cours d’Études historiques.) » pp. 273-362

Il voulut être tyran, bien plus ardemment que la plupart des hommes ne savent vouloir être libres, et cette volonté vive, inflexible, toujours agissante, a tenu lieu de génie à bien d’autres oppresseurs de l’humanité… » Je suis forcé, à mon grand regret, d’abréger cette page pour laquelle j’ai presque à demander pardon aux néo-terroristes d’aujourd’hui : mais voici l’adoucissement : « Quelque affreux que soit Robespierre d’après le portrait que nous en avons tracé, continue Daunou, Courtois a fait de ce personnage un portrait beaucoup plus horrible encore, et s’est attaché surtout à lui contester toute espèce de talent. […] Daunou réprouve : historia quoquo modo scripte delectat, l’histoire sous toutes sortes de formes trouve moyen de plaire ; les professeurs d’histoire ne sauraient être si coulants ; mais ce volume, à l’appui des préceptes, contient, ce qui vaut mieux, d’éloquentes appréciations et des portraits achevés des grands historiens de l’antiquité : les modernes y ont aussi leur part. […] Le biographe officiel fait tout ce qu’il peut pour en masquer et en effacer l’originalité ; ce sont gens qui ôteraient les rides à un portrait de vieillard. « Voyez-vous cela ? […] Sur les relations de Daunou et de Sieyès à cette époque de crise et auparavant, j’indiquerai, sans le répéter ici, ce que j’ai écrit dans l’article sur La Fayette (Portraits littéraires, édition de 1852, tome II, page 180) ; je garantis la fidélité parfaite des détails, que je retrouve ailleurs moins exactement racontés. […] Il termine le hideux portrait en montrant l’ennemi du monde se précipitant lui-même, du faîte de sa puissance artificielle, dans la profonde ignominie de ses propres vices.

534. (1928) Quelques témoignages : hommes et idées. Tome II

Vous ne trouverez, dans ce livre, aucune dissertation doctrinale, aucun tableau dramatique, aucun portrait en haut-relief. […] Le beau portrait placé en tête du livre du Père Lebreton conserve le regard de ses yeux, à la fois rayonnants de vie intérieure et d’attention réfléchie. […] Nous avons là deux portraits psychologiques, qui, mis en regard de celui du Père Léonce, nous représentent deux âmes tourmentées de besoins mystiques. […] Nous avons deux portraits de cette princesse, une grande toile de Nattier qui la montre dans le parc de Chantilly en 1729, et un pastel de Rosalba Carriera. […] Tous ces dessous sont exposés dans un récent article de la Revue de l’Art, illustré des portraits connus de la princesse.

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