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362. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Marrot, Paul (1850-1909) »

. — Mystères physiques (1887), première partie d’un livre philosophique : Le Livre des chaînes.

363. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 188

Que ne fait-il des Ouvrages philosophiques !

364. (1889) Les artistes littéraires : études sur le XIXe siècle

Est-il pourtant impossible de concilier la répulsion instinctive et animale de la tombe avec une aspiration raisonnée et philosophique au quiétisme absolu ? […] Leconte de Lisle l’avait comprise, et il l’a fait passer dans ses écrits avec une spontanéité si vraie que le lien philosophique qui la rattache à l’Inde se montre à peine visible. […] Dans une courte étude de la Critique philosophique 263, M.  […] En tant qu’effort philosophique, peut-être même y a-t-il quelque chose de génial dans cette sorte de travail. […] De même, on peut regretter que, chez Alfred de Vigny, la puissance subtile de la pensée philosophique n’ait été accompagnée que d’une prosodie un peu facile, pauvre et fluide.

365. (1910) Études littéraires : dix-huitième siècle

Ce pouvait être une admirable littérature philosophique ; et c’est bien ce que les hommes du temps ont cru avoir. […] Les histoires grasses ou saugrenues deviennent plus rares, les questions philosophiques et morales attirent de plus en plus l’attention de l’auteur, la commère cède toute la place au philosophe, l’ouvrage devient proprement un dictionnaire des problèmes philosophiques. […] On a remarqué que, si en avance et vraiment précurseur au point de vue philosophique, il est arriéré en choses de lettres. […] — Sans doute. — Et notre vérité à nous, vérité philosophique, vérité scientifique, vérité morale, qu’est-elle donc ? […] Voltaire n’a aucune profondeur ni élévation philosophique, et la synthèse lui est interdite.

366. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Ronchaud, Louis de (1816-1887) »

. — Les Comédies philosophiques ; Poèmes dramatiques (1883). — Poèmes de la mort (1887).

367. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 342

Ses Amusemens philosophiques offrent une variété de sujets qui plairoit davantage, par les vûes excellentes qui y étincellent de temps en temps, pour peu que le style en fût plus naturel, & dégagé d’un entortillage que l’Auteur a peut-être pris pour de la force, mais qui n’est, dans le fond, qu’un effort pénible d’imagination, qui conduit à l’obscurité.

368. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » p. 395

Castilhon, les Amusemens philosophiques & littéraires de deux Amis, où la Poésie & la Prose sont judicieusement & agréablement entremêlées, il a composé un Essai sur l’Art de la Guerre, auquel on ne peut reprocher que la modestie du titre.

369. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre deuxième »

Le cartésianisme, comme système philosophique, a eu la destinée de tous les systèmes. […] Les vérités d’évidence, qui ont survécu aux vicissitudes du cartésianisme philosophique, doivent être comptées parmi les plus nobles conquêtes de l’esprit humain, sous la forme de l’esprit français. […] Supposez cet homme rebelle par impuissance à la foi de son pays, ou entraîné vers l’incrédulité absolue ; Descartes veut le retenir sur le bord de l’abîme, l’aider à trouver en lui-même les principes qui le ramèneront à la croyance philosophique, et par elle peut-être à la croyance religieuse. […] Qui ne sait par cœur l’enthousiaste déclaration de foi de La Fontaine sur Descartes : Descartes, ce mortel dont on eût fait un dieu Chez les païens, et qui tient le milieu Entre l’homme et l’esprit…28 D’autres fables, parmi ses plus belles, portent la marque des idées philosophiques de Descartes. […] Partie philosophique des Lettres de Descartes, édition d’Adolphe Garnier.

370. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 464

Quelques-unes de ses petites Pieces respirent un enjouement & une gaieté bien plus analogues au génie & au goût de la Nation, que tant de dolantes Jérémiades ou de vaporeuses Epîtres philosophiques, dépourvues même du mérite de la versification.

371. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 149

Rien n’a paru de lui, depuis ses Variétés philosophiques & littéraires, qui doivent faire blâmer l’inaction de sa plume.

372. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 509

Nous connoissons des jeunes gens que son Livre de la Vérité de la Religion prouvée à un Déiste, a ramenés au Christianisme, dont la lecture peu réfléchie des Ouvrages philosophiques les avoit écartés.

373. (1927) André Gide pp. 8-126

Bien entendu, ces « traités » ne sont pas des exposés de doctrine en termes abstraits et dogmatiques, mais des contes ou des dialogues philosophiques : c’est ce qui les rend légèrement obscurs. […] A l’autre extrémité, avec le même courage philosophique, M.  […] Le premier de ces ouvrages est un conte philosophique curieux, un peu bizarre même, sur des thèmes chers à M.  […] André Gide lui-même sont des contes philosophiques ou symboliques ou des poèmes en prose : voir surtout ceux qu’il a réunis dans le volume du Retour de l’Enfant prodigue. […] André Gide prétend n’avoir rencontré aucune pensée véritable ni même aucune compétence philosophique.

374. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 441

Il ne s’est pas borné à une éloquence oiseuse, au mérite des phrases, à l’appareil des sentences, au jargon philosophique ; ses Ouvrages couronnés & non couronnés sont pour la plupart des Dissertations savantes, qui prouvent autant de sagacité que d’érudition.

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