Personne, sans doute, n’a jamais démontré logiquement la non existence d’Apollon, de Minerve, etc., ni celle des fées orientales ou des diverses créations poétiques ; ce qui n’a nullement empêché l’esprit humain d’abandonner irrévocablement les dogmes antiques, quand ils ont enfin cessé de convenir à l’ensemble de sa situation. […] Or, la déplorable prolongation d’une telle situation tient essentiellement, en l’un et l’autre cas, à l’insuffisant accomplissement des grandes conditions logiques déterminées par notre loi encyclopédique : car, personne n’y conteste plus, depuis longtemps, la nécessité d’une marche positive ; mais tous en méconnaissent la nature et les, obligations, que peut seule caractériser la vraie hiérarchie scientifique.
Rien n’est plus propre d’ailleurs à faire juger de ce que je puis faire en ce genre… Et encore : J’ai fait hier une importante découverte sur la théorie du jeu en parvenant à résoudre un nouveau problème plus difficile encore que le précédent, et que je travaille à insérer dans le même ouvrage, ce qui ne le grossira pas beaucoup, parce que j’ai fait un nouveau commencement plus court que l’ancien… Je suis sûr qu’il me vaudra, pourvu qu’il soit imprimé à temps, une place de lycée ; car, dans l’état où il est à présent, il n’y a guère de mathématiciens en France capables d’en faire un pareil : je te dis cela comme je le pense, pour que tu ne le dises à personne.
… « Ayant donc la conscience de n’avoir jamais été injuste envers personne, je ne dois pas l’être envers moi-même en avouant que je mérite un châtiment !
Une personne ouvrant pour la première fois les yeux à la lumière perçoit immédiatement « l’étendue plane avec les rapports de grandeur et de position des figures qui peuvent s’y trouver dessinées ».
Mais la terre suffit à soutenir la base D’un triangle où l’algèbre a dépassé l’extase… Voici maintenant la vraie inspiration poétique et philosophique tout ensemble : Car de sa vie à tous léguer l’œuvre et l’exemple, C’est la revivre en eux plus profonde et plus ample, C’est durer dans l’espèce en tout temps, en tout lieu C’est finir d’exister dans l’air où l’heure sonne, Sous le fantôme étroit qui borne la personne, Mais pour commencer d’être à la façon d’un dieu !
Le temps ne s’est arrêté pour personne.
Personne.
Il faut bien que les mathématiques pures, que la physique pure soient possibles, puisqu’elles existent, mais on ne peut faire la même réponse pour la métaphysique ; jusqu’ici elle a si peu atteint le but qu’elle s’était proposé, qu’on ne peut contester à personne le droit d’élever cette question : comment la métaphysique est-elle possible ?
Enfin, disons-le, car personne ne le dit, ce tableau est parfaitement bien dessiné, parfaitement bien modelé. — Le public se fait-il bien une idée de la difficulté qu’il y a à modeler avec de la couleur ?
Il y a Bruxelles, et il y a Gand, et Liège et Anvers, dont chacune ne ressemble à personne. […] très doux et très bons, mais qui flambent, toute sa personne respire la vigueur et la crânerie. […] Ou bien : … Sois ton bourreau toi-même ; N’abandonne l’amour de te martyriser, À personne, jamais.
Le plaisir, en France, court plus vite que le temps ; il n’attend personne, pas même le génie.
Non ; le mal vient en premier lieu de ces quelques personnes, qui a beaucoup de talent et à beaucoup de zèle joignent une très malheureuse ignorance de ce qu’est le drame wagnérien.
L’ivresse, par exemple, quoique nuisible, est pour beaucoup de personnes agréable. — Les partisans de la sélection naturelle ne seront pas embarrassés pour répondre.