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1978. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre III. Les grands artistes classiques — Chapitre I. Les mondains : La Rochefoucauld, Retz, Madame de Sévigné »

On l’a fait d’Église malgré lui, pour conserver dans la famille l’archevêché de Paris : dès qu’il a reconnu la nécessité d’être prêtre sans vocation, peut-être sans foi, il cesse de regimber ; sa volonté se fixe un but, le ministère ; pour y atteindre, il prêche le bon peuple de Paris, il répand les aumônes ; il est populaire.

1979. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre III. Les tempéraments et les idées — Chapitre II. La jeunesse de Voltaire, (1694-1755) »

Cela parut outrecuidant ; et la famille de Rohan obtint qu’on mît le poète à la Bastille.

1980. (1895) La musique et les lettres pp. 1-84

Aux quels le présent confère un droit, supprimé pour la famille, de fils exclusifs du génie.

1981. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre troisième »

Il y organisa et régla toutes choses ; le gouvernement, en concourant à la constitution politique de Genève ; la religion, par sa confession de foi et son enseignement ; la famille, les mœurs, par ses lois somptuaires qui déterminaient jusqu’à la forme des habits et fixaient les dépenses de table.

1982. (1920) La mêlée symboliste. II. 1890-1900 « L’expression de l’amour chez les poètes symbolistes » pp. 57-90

Tous les poètes qui voulaient trancher par une intransigeance individualiste, et ne rien tirer que de leur propre fonds, vivent sur une substance commune et présentent un air de famille.

1983. (1890) L’avenir de la science « XXII » pp. 441-461

Que sont la Guerre de la succession d’Autriche, la Guerre de sept ans, le Pacte de famille, comparés comme événements au Contrat social ou à l’Esprit des Lois ?

1984. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre XIII. La littérature et la morale » pp. 314-335

On a pu lui reprocher, sans trop de malveillance, d’avoir eu à un faible, degré l’amour de la famille et de la patrie.

1985. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Bussy-Rabutin. » pp. 360-383

Veuf d’une première femme et voulant se remarier, « cherchant du bien, dit-il, parce qu’il savait qu’il sert beaucoup à faire obtenir les grands honneurs », il s’était laissé persuader par quelques entremetteurs intrigants qu’une jeune veuve fort riche, Mme de Miramion, ne demandait pas mieux que de l’épouser, mais qu’elle avait besoin d’y paraître contrainte pour donner un consentement que sa famille n’aurait pas approuvé.

1986. (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre V. La parole intérieure et la pensée. — Premier problème : leurs positions respectives dans la durée. »

Qu’on ne s’étonne pas du rapprochement que nous faisons ici : nous avons déjà montré qu’externer et reconnaître sont deux faits de la même famille ; une relation analogue existe entre reconnaître et comprendre ; comprendre, n’est-ce pas reconnaître le sens des mots ?

1987. (1868) Curiosités esthétiques « IV. Exposition universelle 1855 — Beaux-arts » pp. 211-244

Les tableaux nouveaux et inconnus du public sont les Deux Foscari, la Famille arabe, la Chasse aux Lions, une Tête de vieille femme (un portrait par M. 

1988. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre premier. »

Il aime Lacédémone, d’où sa famille était issue ; il aime cette ville où règnent, dit-il, « la sagesse des vieillards et les lances des jeunes hommes, et les chœurs harmonieux, et la muse et la douce allégresse20 ».

1989. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre XI. »

Et on ne saurait, je crois, imaginer un plus grand effet de poésie lyrique et tragique à la fois, que la rencontre de cette prophétesse solitaire, portant le deuil de sa famille et de son peuple, avec la foule triomphante des femmes de la maison grecque et royale, où sa présence amène la jalousie et la mort.

1990. (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIIe entretien. Littérature cosmopolite. Les voyageurs »

V Chardin, fils d’une famille protestante riche de Paris, et parent des plus opulents joailliers de la capitale, avait été envoyé très-jeune à Ispahan pour nouer de grandes relations de commerce avec l’Orient. […] De chaque famille où il y avait quatre enfants, il en prenait un ; c’était le plus pitoyable spectacle du monde, de voir arracher les pauvres enfants des bras de leurs mères, les lier deux à deux et les mener au Turc.

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