Pour nous, nous n’essayerons pas de le mêler plus qu’il ne convient à ces querelles, qu’il surmonte de toute la hauteur de sa venue précoce et de son génie. […] On cite son mot presque affreux à Mme de Staël, qui le voyant à Saint-Pétersbourg, le voulut mettre sur l’Église anglicane et sur ses beautés : « Eh bien, oui, madame, je conviendrai qu’elle est parmi les Églises protestantes ce qu’est l’orang-outang parmi les singes. » Ce qui doit choquer dans ce mot n’est pas ce qui tombe sur l’Église anglicane, laquelle cumule en effet toutes les cupidités et les hypocrisies. […] C’est trop nous hasarder à ces extrémités d’horizon où l’absurde et le possible se touchent ; rentrons vite dans la limite qui nous convient. […] On trouve, assure-t-on, chez les casuistes de tous les ordres et de toutes les robes, bien de ces subtilités et de ces saletés que Pascal a dénoncées particulièrement chez les Révérends Pères ; on trouverait, je le crois, dans les greffes des anciens Parlements, beaucoup de ces horreurs qu’on est convenu d’imputer surtout à l’Inquisition ; mais qu’importe ? […] Il faut convenir pourtant que la phrase est telle qu’on a pu s’y méprendre ; la voici un peu construite et condensée, comme l’on fait toujours lorsqu’on tire à soi : « Il faut nous tenir prêts pour un événement immense dans l’ordre divin, vers lequel nous marchons avec une vitesse accélérée qui doit frapper tous les observateurs.
Lebrun a parlé de La Ciguë, de Gabrielle, de la comédie en vers et du rang qu’il convient de lui maintenir dans l’ordre de l’art.
Les effets graduels et nuancés ne conviennent guère aux mœurs démocratiques ; et comme c’était toujours du peuple qu’il fallait se faire entendre et se faire applaudir, on se livrait, pour l’amuser, aux contrastes saillants qui frappent aisément tous les hommes.
Il est bon d’avoir conçu le plan idéal qui convient au sujet, et d’essayer de le remplir : si l’on n’y peut parvenir, on s’efforcera d’en rapprocher le plus qu’on pourra le plan qu’on arrêtera conformément à ses forces et aux nécessités accidentelles.
On conviendra, sans peine, qu’on y rencontre des endroits foibles & mal traduits.
Convenez qu’il fait beaucoup d’honneur à la mémoire de ce Philosophe ; il ne le taxe pas seulement d’avoir été athée & libertin, il le défere encore en public comme un Apôtre d’athéisme & de libertinage ; il veut qu’il ait fait commerce de ses bienfaits, & qu’il y ait attaché un prix doublement déshonorant.
Mais le grand art est de les présenter dans le jour qui leur convient, d’en former un tableau assez énergique, pour que chacun s’y reconnoisse : la surcharge est même alors nécessaire, afin que l’optique ne dérobe aucun trait à la peinture : & le comble du génie est d’ôter à la laideur ce qu’elle a de hideux ; de savoir l’apprivoiser à se considérer elle-même, pour la convaincre & lui faire haïr plus sûrement sa propre difformité.
Or, quiconque a médité l’Évangile, doit convenir que ses préceptes divins ont précisément ce caractère triste et tendre.
Au lieu de cette taille élégante et légère qui convenait à son âge, cette Grâce est toute d’une venue.
Convenez, mon ami, qu’on a prononcé un peu légèrement sur le mérite de ce morceau.
Glacer, c’est passer sur le tout une couche légère de la couleur et de la teinte qui convient à chaque partie.
Il convient cependant de mettre à point quelques-unes de ses opinions.
« On l’éleva avec le soin qui convenait. […] « Un jour Gunther et ses hommes étaient assis, réfléchissant et cherchant de toute façon quelle femme leur seigneur pourrait prendre, qui lui convînt pour épouse et qui convînt au pays. […] On convint que le roi Gunther passerait pour le seigneur du beau Sîfrit. […] Il convient de les bien recevoir : tel est mon avis, haute dame. […] « Le seigneur Sîfrit prit en hâte congé de la dame Brunhilt et de toute sa suite, ainsi qu’il convenait.