L’homme appuyé sur sa bêche ne vaut pas mieux.
Cette édition est épuisée, et l’exemplaire vaut déjà quatre fois son prix ; les exemplaires de l’édition saisie sont introuvables. […] Que La Glu vaut l’Agamemnon ? […] Si j’avais cru que l’échange me fût permis, je vous aurais seulement apporté l’or de sa réponse et cela aurait mieux valu que la menue monnaie d’un long discours. […] Mais un avis de la couronne est proclamé par le commissaire royal : le jeton de cuivre, qui, la veille, avait le cours du rixdhaler, ne vaut plus rien. […] Il s’assied au piano ; il joue du Schumann et conclut : « Voilà de la musique : cela vaut mieux que vos Wagner !
Cela vaut-il mieux que d’être trop parfait ?
Ils valent par une sincérité profonde qui atteint à l’émotion.
Mlle Félicia Mallet interprétait de lui deux véritables petits bijoux littéraires, chacun d’un genre très différent, qui valurent à cette grande artiste un tel succès — d’abord d’exquise gaîté, puis de sincère émotion — qu’elle dut recommencer entièrement et le Noël de Pierrot et la Fête des mots.
Il y a, dans la Cavalière, des épisodes pittoresques habilement amenés et qui sont faits pour plaire ; et, ce qui vaut mieux encore, on y trouve, dans le second et dans le quatrième acte surtout, des scènes d’une heureuse invention, et qui sont traitées avec tact et délicatesse.
Pour gracieux et doucement mélancolique que soient les gazouillis sentimentaux de ce frêle artiste, il vaut plus, peut-être, par ses « Gazettes rimées ».
Ses Tragédies ne valent pas l’Alzire, la Mérope, &c. de M. de Voltaire ; il n’en a aucune de comparable à la Didon de M.
Ses Madrigaux sont si délicats, si naïfs, l'expression en est si aisée, si naturelle, qu'ils ont garanti son nom de l'oubli, & nous l'ont transmis avec éloge : tant il est vrai qu'il vaut beaucoup mieux ne s'attacher qu'à un seul genre, fût-il d'une classe inférieure, & y exceller, que de traiter un objet au dessus de ses forces, ou d'en traiter plusieurs avec des talens & des succès médiocres.
Ses Odes * ne sont, au flambeau de sa critique, que des propos de Cabaret ; ses Epîtres, ses Satires, & son Art poétique, ne valent pas mieux ; le désordre y regne par-tout ; rien n'y est bien ; tout y est diffus, monstrueux.
Quand on n’a que de pareilles raisons à apporter, ne vaut-il pas mieux se rendre justice & se taire, que d’ajouter au tort d’avoir mal pensé, le tort de se défendre plus mal encore ?
L’épisode que l’on publie ici faisait partie de cette série de narrations ; il peut en être détaché sans inconvénient ; et d’ailleurs l’ouvrage dont il devrait faire partie n’est point fini, ne le sera jamais, et ne vaut pas la peine de l’être.