Ses lettres sur les Aveugles et sur les Sourds et Muets sont en tout ou en partie adressées à des femmes. […] Nouvelle Héloïse , passim, et notamment la lettre extraordinaire de Julie, Deuxième Partie, n° 15. — Émile, discours du précepteur à Émile et à Sophie, le lendemain de leur mariage. — Lettre de la comtesse de Boufflers à Gustave III, publiée par Geffroy (Gustave III et la cour de France). « Je charge, quoique avec répugnance, le baron de Cederhielm de vous porter un livre qui vient de paraître : ce sont les infâmes mémoires de Rousseau, intitulés Confessions. […] Confessions, partie I, livre III. […] Confessions, partie II, livre XI. « Les femmes s’enivrèrent du livre et de l’auteur, au point qu’il y en avait peu, même dans les hauts rangs, dont je n’eusse fait la conquête, si je l’eusse entreprise.
Elle l’a acquis en grande partie par elle-même et toute seule, pour une petite partie grâce à l’aide d’autrui et par imitation. […] Lune partie. » — Deux objets principaux attirent surtout son attention, et sa curiosité ne s’en lasse jamais : 1º Bateau (le bateau à vapeur, qu’il voit de loin passer sur le lac). […] « Ces concepts sont formés par ce qu’on appelle la faculté d’abstraire, mot très bon, qui désigne l’action de décomposer des intuitions sensibles en leurs parties constituantes, de dépouiller chaque partie de son caractère momentané et concret », pour l’isoler et en former un caractère général.
Critique de l’Histoire des Girondins (4e partie) I « Tant que les révolutions ne sont pas achevées, l’instinct du peuple pousse à la république ; car il sent que toute autre main que la sienne est trop faible pour imprimer l’impulsion qu’il faut aux choses. […] Cette partie de l’Histoire des Girondins est la plus ténébreuse ; les conjectures y suppléent aux documents vrais, tant les survivants, parmi les assassins, ont eu intérêt à déchirer les pages de ce mois néfaste. […] Sa mort, au contraire, aliénait de la cause française cette partie immense des populations qui ne juge les événements humains que par le cœur. […] Elle prépara ainsi une réaction contre la cause républicaine, et mit du côté de la royauté la sensibilité, l’intérêt, les larmes d’une partie des peuples.
La Science ou Le Cosmos, par M. de Humboldt (1re partie). […] Il reconnut la vérité du principe qu’il avait déjà suivi précédemment dans ses recherches : de ne considérer les faits isolés que comme une partie de la chaîne des grandes causes et des grands effets généraux qui sont en rapports intimes et découlent les uns des autres, dans les seuls laboratoires de la nature ; il reconnut qu’il faut trouver le fil conducteur dans cette sorte de labyrinthe d’une variété infinie, et que, partant, il ne faut pas regarder avec indifférence le fait isolé et ce qui nous paraît petit, mais plutôt apprendre à voir le grand dans le petit, le tout dans la partie. […] Dans les dernières années de sa calme existence de savant, Humboldt s’occupa de préférence de son ouvrage du Cosmos, qui parut en 1858, jusqu’aux premières parties du quatrième volume.
. — Les trois premières notes de ce motif sont les trois dernières du motif 2, et la seconde partie de la phrase est la répétition de la première où apparaît la note ré, trois fois répétée. […] La fin du motif, surtout la partie ascendante, caractérise l’espoir d’obtenir Eva, soit chez Walther (motifs 12 et 13), soit chez Sachs, soit même chez Beckmesser (p. 107). […] Trois formes dans ces deux motifs : la première, le motif de la marche proprement dit (p. 1, 6, 7, 9, 10, 11, 13, 23, 27, 47, 71, 75, 128, 167, 338, 340, 352, 353, 395, 391, 395, 396, 397, 400, 401), caractéristique de la qualité et de la dignité de maître : c’est la première partie du 62. La seconde partie, qui emprunte la forme du motif d’amour (comparez avec 7, 14, 12) signifiera principalement le rôle des maîtres pendant le concours et la fête : (p. 1, 7, 9, 22, 23, 26, 71, 167, 338, 352, 353, 397.)
Je passe une partie de la nuit à vous écrire. […] C’est aussi un effet de mon régime si exact, que, depuis que mon ouvrage a paru, je n’ai accepté aucun repas en ville, ni aucune partie à la campagne, quoique les invitations de ce genre aient été si nombreuses que je crois, sans exagérer, qu’il y aurait eu de quoi me substanter tout le reste de ma vie. […] Telles sont ces lettres que j’ai voulu laisser dans toute leur naïveté et avec tout leur caractère, pour montrer dans leur juste proportion les différentes parties, tant poétiques et morales que prosaïques et vulgaires, de l’âme et de l’habitude ordinaire de Bernardin. […] [NdA] Toute cette partie de la lettre contient exactement le même récit qu’on lit dans une lettre à M.
Les peuples, eux, les ont moins perdues, car il en est des erreurs comme des maladies, ce qui en guérit le plus vite, ce n’est pas la partie de la société qui croupit en bas dans les fanges, mais celle qui vit en haut, plus exposée à la clarté vivifiante du jour. […] C’étaient la Pologne, la Bohême, la Hongrie, la Moravie, la Silésie, l’Autriche, un énorme fragment des Provinces Rhénanes, la France, qui avait incliné un instant au désordre mais qui s’était relevée vers l’unité comme un arbre qui ne peut pas rompre, l’Italie elle-même, et enfin une partie de l’Angleterre, — une faible partie, hélas ! […] Ils ont, autant qu’ils le pouvaient, été justes ; car les hommes sont beaucoup plus impersonnels qu’ils ne pensent, et ils emportent pour toute la vie, dans la partie d’eux-mêmes qu’ils croient la plus indépendante, les principes au sein desquels ils sont éclos.
Le traité de Balzac devait embrasser la vie élégante tout entière, avec ses faces multiples et ses développements, et il n’en a touché que la première partie, mais d’une main si sûre, si juste, si habile, si raffinée, et, qu’on me permette le mot ! […] Eu supposant qu’ils eussent influé sur l’animal « aux têtes frivoles » des salons et des boudoirs, auraient-ils assez régné sur la partie vraiment intellectuelle de la société à laquelle ils appartenaient pour que toute une littérature les reflétât et les caressât en les reflétant, comme un miroir d’Armide tenu par des mains amoureuses ? […] n’est pas celui d’Hoffmann ou d’Edgar Poe, mais qui s’appuie sur une réalité dont les proportions sont exagérées ou joyeusement grimaçantes ; et c’est à cette partie fantastique et impossible des Contes, où les faits, sous l’exhilarant caprice du conteur, cessent d’avoir les lignes, la mesure et le dessin des choses humaines, que la manière de Doré s’est le mieux ajustée. […] Le costume est une des parties les plus considérables des Illustrations de Doré.
Monsieur, comte d’Artois, qui avait précédé son frère, était à peine installé aux Tuileries, qu’il avait (indépendamment du ministère officiel, dès lors constitué) ses conseillers à part, son comité intime, sa police secrète : Il y avait donc, nous dit M. de Viel-Castel, deux gouvernements, l’un officiel, connu de tous, conduisant les affaires, composé en général d’hommes sages et expérimentés, mais pour qui le prince n’éprouvait ni confiance ni sympathie, bien qu’il les ménageât beaucoup ; l’autre, occulte, formé pour la plus grande partie de courtisans sans lumières et d’intrigants sans conscience, n’agissant qu’indirectement sur l’administration, mais surveillant et contrariant par des voies souterraines ceux qui en étaient chargés, se préoccupant beaucoup plus des personnes que des choses, et régnant d’une manière absolue sur l’esprit du lieutenant général. […] [NdA] Une petite querelle que je veux faire à M. de Viel-Castel, et qui retombe en partie sur son imprimeur, c’est de ne pas soigner les noms propres ; ils sont véritablement trop maltraités et en trop d’endroits de ces deux premiers volumes.
Adolphe Regnier, il a soigné toute la partie des imitations espagnoles et les a pesées dans la plus juste balance ; dire tout cela, c’est ne donner qu’une bien faible idée du mérite, des connaissances, de l’utilité pratique, des services enfouis et de l’inépuisable obligeance de M. […] Je suis même sans cesse disposé à imputer la partie fausse et violente qui s’y mêle aux travers personnels des prétendus porte-flambeau.
Il y avait, même du temps de Rancé, de ces gens du monde curieux et assez zélés qui allaient volontiers passer vingt-quatre heures à la Trappe et qui s’en faisaient une partie de dévotion. […] Le peu de religieux qui y restaient vivaient avec scandale : « D’y en mettre de réformés, lui écrivait Rancé, cela n’est plus possible ; les réformes sont tellement décriées, et en partie par la mauvaise conduite des religieux, qu’on ne veut plus souffrir qu’on les introduise dans les lieux où il n’y en a point.
À mes lecteurs I Une partie de la presse retentit, depuis quelques semaines, d’un concert de malveillance, et d’un redoublement d’invectives contre cette modeste publication, et surtout contre son auteur. […] c’est différent ; plût à Dieu que nous en eussions recueilli juste assez pour pouvoir retirer, sans remords, cette partie de nous-même qu’on appelle notre nom de cette dure, quoique honorable servitude, qui nous expose tous les jours à ces fastidieux retentissements et à ces odieuses interprétations de la publicité !