Peut-être s'en ressouviendra-t-il dans une nouvelle édition, qu'il paroît être en état de rendre supérieure aux précédentes, s'il veut y donner ses soins.
Le récit de son M. du Baudrier paraîtra une traduction authentique. […] Vous leur porterez pieusement votre argent et vos services ; la coutume, vous paraîtra justice, et vous accepterez cette doctrine d’oie, qu’une oie a pour devoir d’être un rôti. […] C’est pourquoi leurs pamphlets, et notamment ceux de Swift, ne nous paraissent qu’à demi littéraires. […] Qu’est-ce que la beauté, puisque le plus beau corps regardé avec des yeux perçants paraît horrible ? […] Au fond, Swift me paraît honnête homme.
La première édition de ce volume, qui parut d’abord en décembre 1851, avait en tête cet avertissement : « Ce volume, que j’intitule Derniers Portraits, non parce que j’ai décidé de n’en plus faire, mais parce qu’il se compose des dernières études de ce genre auxquelles j’ai pris plaisir avant Février 1848, sert de complément aux six volumes de Portraits déjà publiés chez M.
Jean Prouvaire Nous avions eu le plaisir d’entendre lire cette pièce (Le Grand Frère), et elle nous avait paru tout à fait agréable.
Un recueil de vers de l’auteur est d’ailleurs annoncé pour paraître sous ce titre : la Porte d’Or.
Il a cru entendre distinctement la voix indifférente de la nature… Mais voici que le cœur irrité du poète s’apaise, et qu’une vision soudaine de la vie universelle où s’entrecroise éternellement l’échange des souffles, des formes et des âmes, vient calmer son esprit, prêt désormais à accepter, à bénir presque l’inévitable loi qui enchaîne les effets et les causes… — Ce premier essai paraît annoncer un poète visionnaire et philosophe.
De vingt-deux Pieces de Théatre qu’il a composées, on ne se souvient plus que de Judith & de Jephté, deux Tragédies qui eurent du succès, mais qu’on ne joua plus dès que celles de Corneille & de Racine eurent paru.
Il paroît plus s’occuper de la maniere de dire les choses, que du soin de les faire comprendre, de leur donner de la netteté, de la suite, du poids.
Elle abandonna la Philosophie à son oncle, & se réserva pour les Ouvrages d’agrément, où elle a fait paroître autant de délicatesse que d’esprit.
Peut-être l’influence du Mercure, dans lequel elles ont paru successivement, a-t-elle contribué à ce peu de succès.
Son Essai sur l'Histoire économique des mers occidentales de France, peut être mis au nombre des Ouvrages les plus utiles qui aient paru de nos jours.
Cet Ouvrage n'a point paru.