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803. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 320-321

Boisrobert, [François le Metel sieur de] Abbé de Châtillon-sur-Seine, de l’Académie Françoise, né à Caen, mort en 1662. […] Boissard, [Jean-Jacques] né à Besançon en 1528, mort à Metz en 1602 Compilateur infatigable, dont les Ouvrages sont recherchés par les Antiquaires.

804. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 479-480

Charleval, [Jean-Louis Faucon de Ris, sieur de] né à Paris en 1613, mort dans la même ville en 1693 ; Bel-Esprit de son temps, qui cultiva les Lettres, & fit des vers pour son plaisir, dont il ne nous est parvenu que quelques Pieces, qui font connoître qu’il avoit du talent pour la Poésie légere. […] Evremont, en lui apprenant la mort de cet ami commun.

805. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 165-166

MABILLON, [Jean] Bénédictin, né dans le Diocese de Reims, en 1632, mort à Paris en 1707 ; Savant, dont les Ouvrages sont immenses & très-utiles pour la plupart. […] Après la mort du P.

806. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 338-339

MONCRIF, [François-Augustin Paradis de] Lecteur de la Reine, de l’Académie Françoise, né à Paris en 1687, mort dans la même ville en 1770. Quelques Poésies fugitives, pleines d’esprit, de délicatesse & de sentiment, à la tête desquelles il faut placer le Rajeunissement inutile, ont établi sa réputation pendant qu’il vivoit, & pourront même la soutenir encore après sa mort.

807. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 262-263

Scaliger, [Joseph] né à Agen en 1549, mort à Leyde en 1609 ; un de ces Erudits, dont tout le mérite consiste à réformer des dates, à commenter des Auteurs, à obscurcir des passages à force de vouloir les éclaircir, à disserter sur des mots, à savoir médiocrement plusieurs Langues, & sur-tout à dire savamment des injures. […] Son amere grossiéreté s'étendoit sur les Auteurs morts comme sur les vivans.

808. (1915) Les idées et les hommes. Deuxième série pp. -341

À Paris, la mort est un accident. […] Elles sont dominées, toutes, par la menace de la mort. […] Du fond de la mort, il apportera l’amour éternel ! […] Il est mort à quarante-sept ans. […] Des branches mortes se brisent sous leurs pas.

809. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

tout n’est pas mort dans ces catacombes. […] Ô mort ! […] Baillot est mort, Paganini est mort, Chopin est mort, la Malibran expirée en plein triomphe… il en reste… quoi ? […] Que je meure d’un mai de poitrine ou de la peur du mal, toujours est-il que ceux qui sont morts, sont morts. […] Que voulez-vous que fasse la critique avec de pauvres êtres, morts à l’avance ?

810. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — L’Empereur Néron, et les trois plus grands poëtes de son siècle, Lucain, Perse & Juvénal. » pp. 69-78

Toute la grace que lui fit le tyran, fut de lui sauver l’infamie du supplice, en lui donnant le choix du genre de mort. […] Ils cherchèrent à venger la mort de leur illustre confrère. […] Il revint à Rome, aussitôt après la mort de Domitien.

811. (1887) Études littéraires : dix-neuvième siècle

qu’un chrétien, voyant la mort brusquement face à face, songe au tribunal de Dieu ? […] Il traduit Platon en homme qui est du paye (Mort de Socrate). […] Est-ce la mort ? […] Ils meurent sans plainte (La Mort du loup). […] , même dans A la mère de l’enfant mort !

812. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 316-317

Boindin, [Nicolas] de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, né à Paris en 1676, mort dans la même ville en 1751. A la tête de ses Œuvres, qui n’ont paru qu’après sa mort, est un Mémoire sur sa vie & ses Ouvrages, composé par lui-même, où il ne s’épargne pas les louanges ; ce qui suffiroit pour dispenser le Public de lui en accorder.

813. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 461-462

GUENEBAULD, [Jean] Médecin, né à Dijon, mort dans la même ville en 1630. […] Après la mort du Cardinal, ce tombeau passa entre les mains de Gaston, Duc d’Orléans.

814. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 357-358

Touche, [Claude Guymond de la] né en 1726, mort à Paris en 1760. […] Ce jeune Poëte travailloit à une seconde Tragédie, lorsqu'une mort imprévue l'enleva au Théatre, où sa carriere auroit pu devenir plus glorieuse que celle de ses rivaux, pour peu qu'il eût eu le temps de perfectionner son génie.

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