/ 1770
517. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre VII. Dernières preuves à l’appui de nos principes sur la marche des sociétés » pp. 342-354

. — Comment chez les Grecs la philosophie sortit de la législation Il y a bien d’autres effets importants, surtout dans la jurisprudence romaine, dont on ne peut trouver la cause que dans nos principes, et surtout dans le 9e axiome [lorsque les hommes ne peuvent atteindre le vrai, ils s’en tiennent au certain]. […] De là les χειροθεσίαι et les χειροτονίαι des Grecs : le premier mot désigne l’imposition des mains sur la tête du magistrat qu’on allait élire ; le second les acclamations des électeurs qui élevaient les mains.

518. (1769) Les deux âges du goût et du génie français sous Louis XIV et sous Louis XV pp. -532

Nous sommes encore ce qu’étaient les Grecs à cet égard. […] Une foule de monumens déposent en faveur de l’Architecture Grecque. […] Le voilà en parallele avec le Mercure des Grecs. […] Jamais Auteur Latin eut-il la manie d’écrire en Grec, ni aucun Grec en Egyptien ? […] On n’avait cherché des traits de patriotisme que chez les Grecs & chez les Romains.

519. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 505

Son petit Dictionnaire de la Fable, celui de la Bible, le Vocabulaire universel, l’Introduction à la Langue Latine & à la Langue Grecque, sont autant de productions de M.

520. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre troisième. Découverte du véritable Homère — [Introduction] » p. 251

[Introduction] Avoir démontré, comme nous l’avons fait dans le livre précèdent, que la sagesse poétique fut la sagesse vulgaire des peuples grecs, d’abord poètes théologiens, et ensuite héroïques, c’est avoir prouvé d’une manière implicite la même vérité relativement à la sagesse d’Homère.

521. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Valandré, Marie de (1861-19..) »

Paul Mariéton Une âme charmante, ingénieuse aussi, palpite dans les vers pleins de franchise et de simplicité qui composent ce livre (Au bord de la vie) portant un titre donné à l’auteur par Joséphin Soulary, dont le nom est inscrit au premier feuillet comme une invocation tutélaire au fronton d’un petit temple grec.

522. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 261

Rollin, où il prétend prouver que cet Ecrivain célebre n’entendoit pas assez bien les Auteurs Grecs, d’après lesquels il a composé une partie de son Histoire ancienne.

523. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 357

Il enseigna la Rhétorique successivement dans les Colléges de Grasseins, de Calvi & d’Harcourt, puis devint Professeur d’Eloquence Grecque au Collége Royal.

524. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — E. — article » p. 251

Son pere avoit ouvert les trésors de la Langue Latine, celui-ci se chargea de répandre ceux de la Langue Grecque.

525. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 155

Outre le Grec & le Latin, il savoit les Langues Orientales & toutes celles de l’Europe.

526. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Maucroix, l’ami de La Fontaine. Ses Œuvres diverses publiées par M. Louis Paris. » pp. 217-234

Il fut ensuite principalement renommé et illustre pour la beauté de ses traductions, dont il a fait un bon nombre, tant du grec que du latin. […] Il a traduit beaucoup de grec, et il avoue qu’il n’est pas grand Grec.

527. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Sénecé ou un poète agréable. » pp. 280-297

L’épigramme, chez les Grecs, n’est souvent que cela, un mot, une larme, un regret, un désir, un sourire, un sentiment vif et fugitif qu’on veut fixer. Chez les Latins, Catulle est resté fidèle à l’esprit grec ; il eut l’épigramme simple, naïve, passionnée même ; mais, à partir de Martial, elle prit un autre caractère, le caractère qu’elle a gardé chez les modernes, pour qui l’épigramme antique et à la grecque aurait trop peu de sel et de saveur.

528. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Le Poëme des champs par M. Calemard de Lafayette. »

Plaute n’y cherchait pas tant de malice lorsque, parlant d’une de ses comédies empruntées de Philémon et traduites du grec en latin, il disait : « Plaute l’a traduite en barbare (Plautus vortit barbare) », entendant simplement par là tout ce qui n’était pas grec. […] Temple grec et munster, tour, flèche aérienne : Cloches et carillons y mèneraient leur jeu ; Ou c’est une île encor sortant du flot limpide, — Un bois au sein des lacs, que l’on croirait solide, De nos muets transports objet prestigieux !

/ 1770