La poésie elle-même se fait vice pour être sentie voluptueusement : Ta bouche délicate aux fines ciselures Excelle à moduler l’artifice des vers. […] que la fin survienne… » s’écrie-t-elle : L’HEURE Voici l’inévitable et terrible moment Où mon destin s’écrit inévitablement. […] que la fin survienne… Elle à qui la gloire avait souri, confiait-elle à ses amies, « puisque ma gloire est de vous avoir adorées », voici que, dans son désespoir, elle renie jusqu’à ses amours.
Elle est chargée d’introduire partout des commencements comme l’habitude introduit partout des fins et des morts. […] Elle est chargée d’introduire partout des commencements de commencements, des commencements d’êtres, comme l’habitude introduit partout des commencements, ou plutôt les commencements, ou plutôt l’innombrable et toujours le même commencement de la fin. […] Et que Jésus même n’était pas le même homme à la fin de sa troisième année de service qu’il était au commencement de la première. […] C’est toute la fin d’un monde et tout le commencement de l’autre. Toute la fin du premier monde mystique et tout le commencement de l’autre.
Le roi travaille à faire des troupes pour fortifier le côté de la Sarre, et avant la fin de septembre il y aura au moins douze bataillons d’augmentation, et vers le 1er novembre encore huit autres ; il n’y a de dangereux que le moment critique dans, lequel vous êtes.
Le philosophe en lui restera jusqu’à la fin le disciple et l’élève du digne abbé Lesueur.
Mais, après la crise dont nous approchons, on ne remontera pas immédiatement à l’état chrétien : le despotisme et l’anarchie continueront longtemps encore de se disputer l’empire, et la société restera soumise à l’influence de ces deux forces également aveugles, également funestes, jusqu’à ce que d’une part elles aient achevé la destruction de tout ce que le temps, les passions, l’erreur, ont altéré au point de n’être plus qu’un obstacle au renouvellement nécessaire ; et, de l’autre, que les vérités d’où dépend le salut du monde aient pénétré dans les esprits et disposé toutes choses pour la fin voulue de Dieu. » Vers le même temps où l’esprit de M. de La Mennais acceptait si largement l’union du catholicisme avec l’État par la liberté, il tendait aussi à se déployer dans l’ordre de science et à le remettre en harmonie avec la foi.
On appela à la fin la garde-robe, et nous trouvâmes le roi entouré d’une foule de médecins et de chirurgiens, les questionnant avec une faiblesse et une inquiétude inexprimables sur la marche de sa maladie, sur leur opinion de son état, et sur les remèdes qu’ils lui donneraient dans tel ou tel cas.
Sur la fin de sa seconde magistrature, la peste désola Bordeaux : Montaigne se tint à Libourne, en bon air.
Marius-Ary Leblond Je commence par la fin, qui est ici pour moi le primordial : 3º Un vrai critique doit être à la fois « dogmatique » et impressionniste, académique et indépendant, universitaire et artiste, révolutionnaire et religieux de la tradition, ordonné et fantaisiste.
Il n’est pas de demi Beauté ; et nous ne serons pas assez vils pour rechercher d’autres buts que le seul, parce que nous n’avons pas oublié le passé et parce qu’aux lointains du songe, comme un énorme monolithe d’un bloc inébranlable, l’œuvre future déjà nous apparaît, érigeant haut sa face immobile et polie où les mondes en tournant refléteront sans fin leurs ellipses.
un esprit de cette application et de cette force, si profond observateur et si fin, qui, par l’art de diriger son génie vers les études où il était le plus propre, sa vie vers le genre de bonheur dont il était le plus capable, a paru si bien prouver qu’il se connaissait, Montesquieu aurait ignoré quelque chose de l’homme !
que le monde est malade, et qu’il le prouve par cette obstination à revenir sans fin sur son infirmité sexuelle.
Il joue l’homme de qualité avec tant de perfection qu’il en impose même à cette fine mouche de Lisette, qui hésite entre le témoignage de ses yeux et celui de sa mémoire et n’ose reconnaître une ancienne connaissance dans ce personnage si digne et si sérieux99.