Ce n’est pas un ennemi du Christianisme à la froide façon de M. Havet, ou à la perfide et lâche façon de M.
Elle a, par une intensité qui est, à sa façon, du génie, tous les tons et toutes les nuances de la passion qui fait si magnifiquement vibrer l’âme humaine et qui finit presque toujours par la briser. […] « Je vous aime d’une façon grande, profonde, douloureuse, puérile et joyeuse aussi.
De quelle façon le dix-septième siècle, formaliste et pédant, eut accueilli Hugo ou Balzac, on peut facilement le deviner : par l’insulte et par la moquerie. […] La façon dont Horta a compris l’art décoratif lui crée une place bien à part dans l’ensemble des novateurs qui lui ont de nos jours imprimé un nouvel élan.
Dumas, par la façon dont il s’exprime, fournit plus qu’un prétexte. […] Il attrape aisément leurs façons de parler, énergiques et communes. […] C’est pourquoi ce héros aristocratique est devenu en quelque façon populaire. […] Il y a enfin vingt façons de manquer la peinture des mœurs aristocratiques. […] D’une classe à l’autre, les façons de penser et de sentir se modifient, et à mesure qu’on s’élève elles s’écartent davantage des façons naturelles et instinctives.
Penser de cette façon abstraite à la divinité équivaut, pour lui, à n’y pas penser du tout, et il estime qu’un Être aussi pur est un pur néant. […] Or, cette traduction porte invinciblement le lecteur à préjuger que les εἴδη de Platon sont des concepts hypostasiés. » En aucune façon ! […] Brochard reconnaît que ses subtils arguments sont très forts, et qu’on ne s’en tire que par le phénoménisme relativiste à la façon de David Hume et de Stuart Mill. […] Zola voulait absolument qu’il eût, après Balzac, d’une façon plus nette et plus directe, fondé le naturalisme. […] Oui, sans aucun doute, mais beaucoup moins pour le fond de ses opinions que pour sa façon sommaire, déjetée et prudhommesque de les exprimer.
Il me semble quelquefois qu’il serait bon pour l’esprit de faire tous les ans une chose nouvelle, et de le traiter comme les terres, qu’on ensemence tantôt d’une façon et tantôt d’une autre.
Un ennemi bien inégal nous surmonte en quelque façon, s’il dispute trop long-tems la victoire contre nous.
Qu’y a-t-il en nous, lorsque par nos sensations nous prenons connaissance d’un corps extérieur, lorsque, par exemple, éprouvant à la main des sensations tactiles et musculaires de froid, de résistance considérable, de contact uniforme et doux, je juge qu’il y a du marbre sous ma main ; lorsque, promenant mes yeux d’une certaine façon et ayant par la rétine une sensation de brun rougeâtre, je juge qu’à trois pas de mes yeux est une table ronde d’acajou ? […] Au fond de la conception affirmative, par laquelle, après avoir passé et appuyé ma main sur cette table, je conçois et j’affirme un corps indépendant et permanent, il n’y a rien que la conception affirmative de sensations musculaires et tactiles analogues, ces sensations étant conçues et affirmées comme possibles pour tout être semblable à moi qui serait à portée, comme futures, prochaines, certaines et nécessaires pour tout être semblable à moi qui passerait et appuierait de la même façon la main ou tout autre organe. […] Voyons de quelle façon elles prennent ce rôle29. […] De cette façon, l’antécédent réel d’un effet — le seul antécédent qui, étant invariable et inconditionnel, soit considéré par nous comme la cause — peut être, non pas une sensation quelconque actuellement sentie, mais simplement la présence, en ce moment ou au moment immédiatement précédent, d’un groupe de possibilités de sensation. […] De cette façon, tous les événements de la nature physique sont des mouvements, chacun d’eux étant défini par la masse et la vitesse du corps en mouvement, et chacun d’eux étant une quantité qui passe de corps en corps sans jamais croître ni décroître.
De là résulte, ensuite, la façon très différente dont Dieu se présente chez Voltaire et chez Rousseau. […] Enfin la moralité et la religiosité des nations protestantes font encore sentir leur action dans la façon dont Rousseau a peint la vie de famille, les occupations domestiques. […] Je ne puis m’empêcher aussi d’estimer neuve et féconde la façon dont Rousseau a posé la question sociale : luxe et privation, richesse et misère, jouissance égoïste et travail pour autrui, tout cela dépendant d’un fait général, la propriété, voilà les deux termes du problème où Rousseau nous ramène constamment. […] De quelque façon que la question doive se résoudre, il reste qu’actuellement le problème de l’inégalité n’est plus politique mais social, et tout entier contenu dans le régime de la propriété. […] Leur influence va de pair avec celle des habitudes extérieures, des manières, des façons de vivre ; elle est pire encore, parce qu’elle crée chez les uns une réelle supériorité d’intelligence.
Les cœurs ne sont pas aussi variés que les humeurs, et deux personnes véritablement touchées d’amour ou d’amitié sentent de la même façon. […] Entre gens bien élevés, les choses se passent de façon que les soins donnés et la rémunération aient l’air d’un échange de services. […] Les hommes font leur apologie de bien des façons. […] Une seule chose en peut donner l’idée, c’est la façon dont s’habilla l’auteur à partir de sa fameuse réforme : on croit voir cette perruque ronde et ce costume sans épée qu’il avait pris comme livrée de la vertu. […] Ses descriptions ne sont pas des tableaux où l’auteur a concentré sur lui toute la lumière, et s’est placé de façon que de tous les côtés du paysage on n’aperçût que sa personne.
Mais c’est de toute autre façon que travaille le philosophe. […] Mais elle peut l’être de plusieurs façons. […] Il n’y a donc lieu d’affaiblir en aucune façon la nécessité des principes rationnels. […] Toutes les araignées de la même espèce tissent leur toile de la même façon. […] On a calculé qu’elles pouvaient se combiner de 64 façons différentes.
Cependant madame Lauter est morte de bonne heure, et son mari, reparu incognito et assez fabuleusement, espèce de millionnaire à la façon des héros de M. de Balzac, devient comme le Deus ex machina des péripéties finales.