qui a pu lui inspirer de s’aller promener eu Orient pendant tout un volume ?
C’est à ce sel dominant dans la terre de Pologne que les philosophes attribuent la fertilité prodigieuse de la plûpart de ses contrées, aussi-bien que la grosseur extraordinaire des fruits, et s’il est permis de s’expliquer ainsi, le grand volume du corps des hommes nez et nourris dans ce païs-là.
Nous avons observé déja dans le premier volume de cet ouvrage que les symphonies étoient susceptibles, ainsi que le sont les chants musicaux composez sur des paroles d’un caractere particulier qui rende ces symphonies capables de nous affecter diversement en nous inspirant tantôt de la gayeté, tantôt de la tristesse, tantôt une ardeur martiale et tantôt des sentimens de dévotion : le son des instrumens, écrit Quintilien, l’auteur le plus capable de rendre compte du gout de l’antiquité, nous affecte, et bien qu’il ne nous fasse pas entendre aucun mot, il ne laisse point de nous inspirer divers sentimens.
Il rêvait de faire une encyclopédie de la sottise et il en a donné deux gros volumes.
les idées pures gouvernant le monde par elles-mêmes, sans ministres à leur département, et l’humeur de n’avoir pas toutes ces belles choses, voilà le secret des tristesses et des lamentations du comte Zélislas pendant deux gros volumes, voilà ce qui le pousse, après avoir traîné ici et là la chaîne de ses déceptions, à aller se faire tuer à la polonaise sur le champ de bataille de Novare, où il est blessé, pour nommer le livre, et assez pour en mourir.
Il n’y a qu’un mot enthousiaste qui puisse caractériser le genre d’impression qu’elles produisent, et ce mot-là, c’est le conseil de lire un volume qu’on est presque heureux de n’avoir pas lu encore, parce que le souvenir d’un bonheur vaut bien moins que son espérance !
Fidèle au plan que s’est tracé l’Auteur des Œuvres et des Hommes (voir la Préface générale de l’ouvrage), il ne peut publier dans un seul volume que la première série des Romanciers contemporains, mais on y verra déjà très-clairement ce que Dieu donne pour remplacer un grand homme tombé !
Cladel, qui est un paysan et qui s’en vante, et qui a raison de s’en vanter ; Cladel, qui s’est voué à les peindre à fond, et qui les a peints une seconde fois dans sa Fête votive de saint Bartholomée Porte-glaive 51, avec une énergie plus grande encore que la première fois (dans le Bouscassié), s’est bien gardé, tout républicain qu’il puisse être, d’écrire sur ses deux volumes : « Mes ruraux » , qui serait ridicule, mais il a mis : « Mes paysans » , qui dit nettement que dans ses livres il ne s’agit exclusivement que des paysans de son pays.
Pour l’objet du Cours dont le présent volume n’est que l’Introduction, je crois l’avoir assez clairement défini dans la première de ces dix Leçons, et il me suffit d’y renvoyer le lecteur. J’y explique ce que ce titre même : L’Évolution des Genres dans l’Histoire de la Littérature, a sans doute d’un peu obscur ; et j’y indique à grands traits le contenu des trois volumes qui suivront celui-ci. Au contraire, il n’est pas inutile de préciser le dessein plus particulier de ce premier volume, sur l’intention duquel, à le lire ainsi séparé et en avant des autres, je souhaiterais qu’on ne se méprît point. […] Ils ont laborieusement écrit des volumes, sur quelques lignes que l’imagination des poètes a créées en se jouant. […] Je dirais volontiers qu’elle appartient plutôt à l’histoire du romantisme qu’à celle de la critique, et vous pourrez d’ailleurs vous en convaincre, en lisant les Premiers Lundis, le premier volume des Portraits contemporains, ou le premier volume des Portraits littéraires.
Ce fut un ministre protestant qui, le premier, rassembla les Œuvres, en quarante volumes, de Mme Guyon. […] La première, c’est que, sans parler de nombreuses pièces dispersées entre diverses collections, il serait un peu long de détailler le contenu des deux cent quarante-huit volumes des Archives de la chambre syndicale de la librairie et des cent trente-trois volumes de la Collection Anisson-Duperron, — en tout trois cent quatre-vingt-un volumes, qui forment, en s’ajoutant, et se complétant les uns les autres, le fond d’une histoire générale de la librairie sous l’ancien régime, — un peu long, et assez inutile. […] Ravaisson, le savant éditeur des Archives de la Bastille, a reproduit intégralement dans le douzième volume de son précieux recueil. […] Et lorsque la publication des deux premiers volumes eut provoqué tout un grand parti contre les imprudents éditeurs, Diderot et d’Alembert, ce fut certainement Malesherbes qui les couvrit de sa réputation de droiture et de son autorité de magistrat. […] Vous feuilletez donc ces vingt volumes.
Un volume de vers — le volume de la vingtième année — formait tout mon bagage. […] Ses deux volumes, bourrés de faits, fourmillants d’idées, fort compacts, touffus et surabondants, veulent prouver beaucoup. […] Mais lisez ce récit au second volume d’Outre-Mer. […] Allons à ma bibliothèque. » » En quelques voyages, nous rapportâmes des brassées de volumes, les documents de l’histoire romaine. […] Elle emplit des centaines de volumes, aussi difficile à déchiffrer aujourd’hui, qu’elle était prompte, autrefois, à couvrir l’in-folio du papier ministre.