L’une de ces dissertations, entre autres, la plus curieuse et la plus instructive, est consacrée à relever les nombreuses erreurs du chanoine Llorente sur l’inquisition d’Espagne, et la suivante à raconter le rôle que Ximénès a joué dans cette formidable institution.
Ces livres, qui doivent être l’admiration des coiffeurs et des modistes, portent des titres comme les suivants : L’Hygiène et le perfectionnement de la beauté humaine. — Les Parfums et les Fleurs, comme auxiliaires de la beauté. — L’Hygiène des mains, de la poitrine et de la taille.
Il n’a pas seulement, suivant le précepte divin, béni et glorifié la main qui châtie ; il a, au nom de la vérité toute simple et de l’étroite justice, amnistié l’Autriche de ses châtiments.
Il n’a pas seulement, suivant le précepte divin, béni et glorifié la main qui châtie ; il a, au nom de la vérité toute simple et de l’étroite justice, amnistié l’Autriche de ses châtiments.
Il nous a parlé longtemps du poète comique dans Corneille : de la comédie de la Suivante, jolie comme son sujet ; du Menteur, dont il n’était pas besoin de nous parler (car il tient toujours la scène comme Molière, avec des touches que n’a pas Molière, et cependant Molière a écrit le rôle de don Louis — dans Don Juan — qui est un rôle cornélien !)
Mais comme ces mots et ces idées passèrent des Grecs aux Latins dans un temps où les nations, encore très sauvages, étaient fermées aux étrangers*, nous avons demandé plus haut qu’on nous passât la conjecture suivante : Il peut avoir existé sur le rivage du Latium une cité grecque, ensevelie depuis dans les ténèbres de l’antiquité, laquelle aurait donné aux Latins les lettres de l’alphabet.
Jusqu’en 1825, la plus ancienne édition qu’on eût conservée du Hamlet de Shakespeare était un in 4º, daté Je 1604, dont le titre donnait la pièce comme « imprimée de nouveau et augmentée presque du double, suivant le texte véritable et parfait ». […] Ne serait-il pas possible de supposer que, composée en 1611 pour le mariage du comte d’Essex, cette pièce ne fut représentée à Londres que l’année suivante ? […] La belle Félismena reçoit un billet de don Félix, qu’elle lit après avoir bien grondé sa suivante, qui a eu l’audace de le lui remettre. […] Suivant Malone, le Songe d’une nuit d’été aurait été composé en 1592 : c’est une des pièces de la jeunesse de Shakspeare ; aussi a-t-elle toute la fraîcheur et le coloris d’un tableau de cet âge des rêves poétiques. […] Gianetto arrive, et, averti par une suivante de ne pas boire le vin qu’on lui présentera avant de se mettre au lit, il surprend à son tour la dame qui, fort troublée d’abord de le trouver éveillé, se résigne cependant à son sort, et s’estime heureuse de le nommer le lendemain son époux.
Le Grec, dans son désir d’identifier la Nature et l’Humanité, peuplait le bosquet et les flancs des montagnes de belles formes fantaisistes, voyait le dieu tapi dans la futaie, la naïade suivant le fil de l’eau. […] Considérées en bloc, elles ont une conduite excellente, surtout celles qui posent pour la figure, fait curieux ou naturel, suivant l’idée qu’on se fait de la nature humaine. […] Dès la page suivante, nous l’entendons se plaindre de ce que le vers de M. […] Le chapitre suivant a pour titre « Cinq ans après. » Violette Parkinson, fille unique de l’Alderman, aime Jack Alston, qui est « pauvre, mais intelligent ». […] Des vers comme les suivants : Et soudain !
Le comte d’Ars avait une grande fortune territoriale, et, suivant la coutume de Saintonge, les filles étaient admises à partager même les terres nobles, presque également avec leurs frères. […] Vraiment, sans cette réflexion, je me serais peut-être déjà prise de grippe contre lui. » — Raillerie pour raillerie : quelques années après et dans la période de refroidissement, Margency rendait la monnaie de sa pièce de Mme d’Épinay, et j’ai sous les yeux une lettre de lui à Rousseau, du 9 janvier 1760, dans laquelle je lis le passage suivant ; « J’oubliais de vous dire que, par le conseil de notre aimable amie (Mme de Verdelin), j’allai voir, il y a deux mois, votre ancienne infante (Mme d’Épinay). […] Peyrat, pasteur de l’Église réformée à Saint-Germain-en-Laye, veut bien me donner l’indication suivante : « Mme de Verdelin a vécu dans sa vieillesse à Cognac.
L’histoire littéraire des siècles suivants, IIIe et IVe siècles, devient double dans les Gaules : la littérature païenne continue d’y fleurir, de s’y développer et d’y prédominer jusqu’à Ausone ; la littérature chrétienne semble se taire depuis la mort d’Irénée (au commencement du IIIe siècle), jusqu’à l’Africain cicéronien Lactance, venu à Trêves au ive siècle, et qui donna une Apologie du Christianisme assez éloquente et brillante. […] Mais c’est surtout dans ce qu’il dit de la langue pour les siècles suivants, pour la fin du xive et pour le xve siècle, dans cet âge de la farce de Pathelin, qu’il a eu de bonnes observations de détail, et qu’il a ressaisi par endroits le fil de la tradition. […] La lettre suivante, que nous retrouvons dans le dossier de M.
Et au début du chapitre suivant, Bourget flétrit encore « les papotages d’office et d’alcôve ». […] Pierre Bourget objecte que les lettres et les mémoires sont souvent faussés par l’influence du correspondant ou de l’interlocuteur, à qui l’on s’adapte pour lui plaire ou s’en faire entendre ; que les épistoliers et les mémorialistes forcent la note ou l’altèrent, suivant l’humeur du moment ou parce que leurs souvenirs ne sont pas sûrs, etc… M. […] Raymond Poincaré, l’autre prince lorrain, suivant le mot d’Albert Thibaudet.