Là-dessus, il eut le rêve suivant : « Une nuit que j’étais endormi, la cloche du Palais, qui sonna minuit, me réveilla ; j’entendis ouvrir la grille pour relever la sentinelle, mais je me rendormis à l’instant.
Si les mots suivants ont la même vertu, le style est comme un flambeau qui, promené successivement devant toutes les parties d’une grande toile, fait passer devant nos yeux une suite de figures lumineuses, chacune accompagnée par le groupe vague des formes qui l’entourent, et sur lesquelles la clarté principale a égaré quelques rayons.
À cet avant-dernier fascicule devait succéder, l’année suivante, un travail général sur la sculpture du temps, où se serait détachée, comme l’expression la plus originale de la sculpture rococo, la petite figure du sculpteur Clodion.
Il est très probable qu’il serait devenu presque entièrement monosyllabique, suivant sa tendance initiale toujours combattue par la présence du latin, et d’un latin particulier dont la tendance contraire allongeait les mots par l’accumulation des suffixes.
Voir le chapitre suivant.
Au sujet de cette réflexion de Duverdier, un autre écrivain fait la suivante : Si la courtisane Laïc eut ressemblé à la belle Lyonnoise, Démosthène n’eut pas fait inutilement le voyage de Corinthe, ni éprouvé, Qu’à tels festins, un auteur, comme un sot, A prix d’argent doit payer son écot.
On voit à droite une suivante effrayée, puis Alcmène et son époux.
Ces personnages, qui ne doivent point être exposez à de grands dangers, ni tomber dans des malheurs veritablement tragiques et capables par leur nature de nous émouvoir beaucoup, veulent, suivant mon sentiment, être copiez d’après ce que nous voïons dans notre païs.
Comme les langues dans lesquelles ces poëtes sans étude composoient, n’étoient point assez cultivées pour être maniées suivant les regles du métre, comme elles ne donnoient pas lieu à tenter de le faire, ils s’étoient avisez qu’il y auroit de la grace à terminer par le même son, deux parties du discours qui fussent consecutives et d’une étenduë égale.
On voit bien qu’en suivant ce principe je dois reconnoître les personnes du métier pour être les juges ausquels il faut s’en rapporter, quand on veut sçavoir autant qu’il est possible, quel peintre a fait le tableau, mais elles ne sont point pour cela les juges uniques du mérite de ce tableau.
Comme il n’était pas un grand humaniste, il avait, pour en arriver sans grand effort à lire les auteurs des temps les plus reculés de la langue de France, adopté le procédé suivant.