Aussi j’estime plus ces beignets que tout le reste ; et pour les faire aussi bons, je soutiens qu’il faut mille fois plus de talent que pour lisser et filer cinquante aunes de toile.
On appelle cela: aller au tribunal de Dieu, et les Géorgiens soutiennent que cette voie de remettre directement à Dieu la punition d’un crime est très-bonne et très-équitable, quand la justice humaine ne peut connaître si l’accusé est coupable, ou si l’accusateur le charge faussement, Sizi et sa partie arrivés au rendez-vous, une troupe de soldats les séparèrent comme ils mettaient les armes à la main ; et la demoiselle étant morte peu après de honte et de douleur, l’autorité du prince obligea son frère à s’ajuster avec Archyle et avec Sizi.
Tout le monde connaît le sublime et pathétique épilogue, le Nunc dimittis de l’historien qui a achevé son monument et qui remercie la Providence d’avoir soutenu son génie jusqu’à sa dernière page.
Certaines émotions demandent à s’énoncer de préférence dans le vers régulier qui convient admirablement à la pensée philosophique ou au grand lyrisme soutenu.
Le côté d’art, chez Dickens, est souvent inférieur ; il n’a pas la maîtrise soutenue de M. […] Gustave Vinot, Une jeune fille (roman à thèse et à thèse bien soutenue), par M.
Alors les parents peuvent soutenir de leur expérience un enfant qui n’est qu’eux-mêmes prolongés, un aîné devenir l’éducateur de cadets qui ne sont que lui-même commençant. […] Croyez bien qu’un roi qui parle en maître, soutenu par l’intelligence, la force et le respect d’un pays, est un plus beau spectacle qu’une Chambre tumultueuse… Pendant toute la première partie du règne, l’Empereur a gouverné avec les Ministres et le Conseil d’État, et personne ne peut nier qu’il ait eu à ce moment en France comme un renouveau de joie, d’activité, de puissance.
Il verra qu’Henri IV. n’entreprenoit sa grande guerre, qui devoit changer le système de l’Europe, qu’après s’être assez assuré du nerf de la guerre, pour la pouvoir soutenir plusieurs années sans aucun secours de finances. […] Mais en se modélant en général sur ces grands maîtres, on a aujourd’hui un fardeau plus pesant que le leur à soutenir.
Au bout d’un temps, elle gagne la surface de l’eau et cherche à s’y maintenir pour respirer; mais, tout point d’appui lui manquant, elle s’épuise en efforts pour se soutenir.
Le concept de toutes ces sensations possibles agglutinées en un tout est notre représentation du corps ; et, quand il est soutenu par des sensations actuelles, il est ce que nous appelons la perception du corps… Il embrasse tous les groupes distincts possibles de sensations que ce corps regardé, touché, expérimenté de divers côtés, peut éveiller en nous ; c’est là son contenu réel et effectif ; il n’en a pas d’autre, et ce contenu peut indubitablement être acquis par l’expérience.
Voici une année, dans un article au Figaro qui eut du retentissement, Saint-Georges de Bouhélier soutint une théorie contraire à celle que nous venons d’exposer.
Pour nous qui n’avons plus besoin de soutenir Hernani contre les classiques, qui voyons Ruy Blas alterner avec Andromaque au Théâtre-Français, nous osons dire que le théâtre de cette période est tout, sauf dramatique.