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1785. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 443

Ses bonnes mœurs, sa modestie, sa candeur, ne le rendirent pas moins recommandable.

1786. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Sutter-Laumann (1852-1892) »

Nul n’a rendu avec plus d’émotion et de talent l’éternel gémissement qui soulève le sein de l’Atlantique.

1787. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article »

C'est rendre de vrais services aux hommes, que de les instruire également, & sur ce qui leur est nécessaire, & sur ce qui est capable de les intéresser & de les amuser.

1788. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIVe entretien. Alfred de Vigny (1re partie) » pp. 225-319

Comme il n’y avait aucun orgueil offensif dans ce pressentiment de lui-même, il n’y avait aussi aucun dédain ; toute la littérature en France lui rendait en amitié son indulgence. […] Roland, tu vas mourir, rends-toi ! criait le More ; « Tous tes Pairs sont couchés dans les eaux des torrents. —  Il rugit comme un tigre, et dit : « Si je me rends, Africain, ce sera lorsque les Pyrénées Sur l’onde avec leurs corps rouleront entraînées. » « — Rends-toi donc ! […] « Le Poète était tout pour moi ; Chatterton n’était qu’un nom d’homme, et je viens d’écarter à dessein des faits exacts de sa vie pour ne prendre de sa destinée que ce qui la rend un exemple à jamais déplorable d’une noble misère. […] ne parlez de cela à personne ; vous irez rendre ce livre à M. 

1789. (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxvie entretien. L’ami Fritz »

Je ne puis que leur rendre témoignage et m’écrier à chaque page de ce miraculeux roman : Cela est vrai comme 1813 ! […] Je serais fier d’avoir inventé ces beignets, mais rendons à César ce qui est à César : l’honneur en revient à la petite Sûzel… tu sais, la fille de l’anabaptiste ? […] monsieur Kobus, au contraire, ça me rendait toute triste ; la belle musique me rend toujours triste. […] Si Sûzel m’aime, et si vous me l’accordez, je serai le plus heureux des hommes et je ferai tout aussi pour la rendre heureuse. » Christel et Orchel se regardèrent comme confondus, et Sûzel se mit à sangloter. […] » Ces paroles rendirent Sûzel et Fritz attentifs.

1790. (1903) Articles de la Revue bleue (1903) pp. 175-627

Henry Bérenger seul ou à peu près seul1 a rendu publiquement justice à l’œuvre créatrice de M.  […] Un véritable artiste, par exemple, peut rendre aujourd’hui, avec le vers de douze syllabes, à peu près ce qu’il lui plaît. […] Ils rendirent cependant service en réhabilitant le vers libre et en achevant de rompre une tradition trop rigidement asservie à la rhétorique. […] Ce n’est pas en les persuadant qu’ils sont de misérables créatures qu’on les rendra généreux et nobles. […] La poésie française s’est anémiée et décolorée ; pour lui rendre de la couleur et de la vigueur, remontons à ses origines.

1791. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article »

Quand les Lettres ne lui devroient que l’excellent Recueil de Pieces fugitives pour servir à l’Histoire de France, elles n’en seroient pas plus dispensées de reconnoissance pour les services multipliés qu’il a rendus à ceux qui les cultivent.

1792. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 59

On ne peut pas dire que ce Traité soit complet & exempt de défauts ; mais un Ecrivain habile, qui sauroit en conserver les matériaux, les employer avec plus de discernement & de critique, auroit peu de chose à faire, pour en tiret un grand parti & rendre des services précieux à cette partie essentielle de tout Gouvernement éclairé.

1793. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article »

On ne doit pas oublier qu’il a rendu quelques services à nos Versificateurs, par un Traité de la Poésie Françoise, longtemps le plus complet & le meilleur que nous eussions.

1794. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

Voilà une belle scène et bien amenée, et bien imprévue, et bien entière, et vivement rendue. […] Sans Elmire, toute cette famille va se rendre à ce bandit. […] Orgon, son mari, mais encore nous autres, les spectateurs, nous permettions à Elmire d’implorer un rendez-vous de M.  […] Mademoiselle Mars avait merveilleusement compris et rendait à merveille les moindres nuances de ce beau rôle. […] Toute la cour se rend chez elle, il est vrai, mais je doute fort qu’elle ait un tabouret chez madame la duchesse de Bourgogne.

1795. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Anger, Henri Érasme (1866-1931) »

laissez-moi vous dire combien votre petit livre m’a charmé… Ce que vous avez senti, vous le rendez ingénieusement, tel que vous l’avez senti.

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