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628. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Préface. de. la premiere édition. » pp. 1-22

Les Lecteurs éclairés nous les pardonneront d’autant plus aisément, qu’ils doivent sentir par eux-mêmes, que lorsqu’il s’agit de venger la Religion, les Mœurs & le Goût, contre les erreurs de plusieurs Ecrivains accrédités, on ne sauroit s’exprimer avec trop de force. […] L’amour de la Religion, de la Patrie, des Lettres & du Goût, a été notre unique motif : nous voudrions en être la victime, si vous deviez par-là achever de vous faire connoître ».

629. (1909) Les œuvres et les hommes. Philosophes et écrivains religieux et politiques. XXV « Armand Hayem »

La science, si vaine qu’elle soit et dont un jour peut-être il sentira le creux, est pour lui présentement ce que la religion est pour nous, et l’avenir ce qu’est pour nous le passé. […] Il a la religion de l’homme. » C’est du Hegel pur… ou impur !

630. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre VII. Dernières preuves à l’appui de nos principes sur la marche des sociétés » pp. 342-354

La liberté fit la législation, et de la législation sortit la philosophie.Tout ceci est une nouvelle réfutation du mot de Polybe que nous avons déjà cité ( Si les hommes étaient philosophes, il n’y aurait plus besoin de religion ). Sans religion point de société, sans société point de philosophes.

631. (1882) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Deuxième série pp. 1-334

Il y va de toute la religion. […] Mais si la religion, par hasard, avant d’être une politique, était une discipline de mœurs ? […] Voyez-le, par exemple, aborder la difficile matière de la Vérité de la religion. […] Diderot ne pourra pas même écrire une poétique sans y parler en deux ou trois endroits de religion et de gouvernement ?  […] Les encyclopédistes avaient leur « petit religion », et les économistes avaient la leur.

632. (1936) Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours pp. -564

Il n’a pas sa petite religion à lui ! […] Toute la Religion de Chateaubriand tient en effet dans ce mot : Fidélité. […] Mais c’est une religion sûre et une religion continue. […] La poésie, dont elles sont l’élément nourricier, en a eu le, bénéfice, la religion aussi, la religion surtout. […] Cette idée il ne l’a pensée religieusement que pendant son voyage dans la terre mère des religions.

633. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 337

On reconnoît dans ses Ecrits cet emportement de démence & d’atrocité, que la Religion réprouve dans ses aveugles défenseurs, & qui ne doit être le partage que des Adversaires plus aveugles encore qui la combattent.

634. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 393

Cet Ouvrage, aussi heureusement conçu, qu’habilement exécuté, place M. l’Abbé Gérard parmi des Ecrivains qui ont le plus contribué à diminuer l’espece d’autorité que les prétendus Sages de nos jours se sont acquise sur l’opinion publique, & lui donne des droits sur l’estime & la reconnoissance de tous ceux qui intéressent au maintien des mœurs & à la gloire de la Religion.

635. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » p. 488

Hayer ont pareillement pour objet la défense de la Religion.

636. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 349

Après avoir professé la Religion Protestante, il l’abjura à l’âge de 25 ans, entra aussi-tôt dans l’état ecclésiastique, & s’appliqua à des Ouvrages d’Astronomie.

637. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 450

Son Histoire de l’Empire du Mogol, & celle du Fanatisme des Religions Protestantes, trouvent encore des Lecteurs, quoiqu’elles soient diffuses & chargées de trop de détails inutiles.

638. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 62

On y remarque, en général, un esprit nourri de la lecture des Livres saints, quelquefois, de l’onction, & presque toujours des règles de conduite utiles & propres à éclairer ceux qui auroient un vrai désir de pratiquer les devoirs de la Religion.

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