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876. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 309-314

« Ma chrétienne & sincere Palinodie, Monsieur, après la satisfaction de ma conscience, ne m'en pouvoit causer une plus sensible que de m'avoir rappelé dans votre souvenir.

877. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre second. Poésie dans ses rapports avec les hommes. Caractères. — Chapitre VII. Le Fils. — Gusman. »

Il aurait toujours dû se rappeler ce vers, qu’il avait fait sans doute par un mouvement involontaire d’admiration : Quoi donc !

878. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre XII. Suite des machines poétiques. — Voyages des dieux homériques. Satan allant à la découverte de la création. »

Tantôt il raconte que le char du dieu vole comme la pensée d’un voyageur qui se rappelle, en un instant, les lieux qu’il a parcourus ; tantôt il dit : Autant qu’un homme assis au rivage des mers Voit, d’un roc élevé, d’espace dans les airs, Autant des Immortels les coursiers intrépides En franchissent d’un saut81.

879. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre premier. Beaux-arts. — Chapitre III. Partie historique de la Peinture chez les Modernes. »

Ainsi, lorsqu’on entend soutenir que le christianisme est l’ennemi des arts, on demeure muet d’étonnement, car à l’instant même on ne peut s’empêcher de se rappeler Michel-Ange, Raphaël, Carrache, Dominique, Lesueur, Poussin, Coustou, et tant d’autres artistes, dont les seuls noms rempliraient des volumes.

880. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre premier. Beaux-arts. — Chapitre VIII. Des Églises gothiques. »

L’ancienne France semblait revivre : on croyait voir ces costumes singuliers, ce peuple si différent de ce qu’il est aujourd’hui ; on se rappelait et les révolutions de ce peuple, et ses travaux, et ses arts.

881. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre troisième. Histoire. — Chapitre III. Suite du précédent. — Seconde cause : les anciens ont épuisé tous les genres d’histoire, hors le genre chrétien. »

Rappelons-nous que les écrivains des beaux siècles littéraires ont ignoré cette concision affectée d’idées et de langage.

882. (1860) Ceci n’est pas un livre « Une conspiration sous Abdul-Théo. Vaudeville turc en trois journées, mêlé d’orientales — Troisième journée. Tout s’explique » pp. 234-240

Je l’ai beaucoup fréquenté, je me rappelle même une certaine chartreuse verte… (Il se pourlèche les lèvres et joue avec ses chaînes.)

883. (1929) Les livres du Temps. Deuxième série pp. 2-509

Aurore-Pamina rappelle à certains égards Clelia Conti. […] Rappelez-vous Michelet ! […] Gobineau rappelle ces faits dans des scènes d’une spirituelle ironie ou d’une chaude éloquence. […] Tout la lui rappelle, les êtres et les paysages familiers. […] Elle nous rappelle par instants que la concision n’est pas une vertu féminine.

884. (1891) Impressions de théâtre. Cinquième série

Elle rappelle volontiers ses aïeux. […] Vous vous rappelez la fable ? […] Mais vous vous rappelez ce qui arrive. […] Vous vous rappelez la lettre à Métella ? […] Vous vous rappelez le sujet.

885. (1882) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Deuxième série pp. 1-334

Bornons-nous à rappeler que Boileau l’a joint à La Serre pour leur décerner à tous deux un brevet de galimatias et de bassesse. […] Le mal présent rappelle le mal passé. […] Il faut donc qu’on le rappelle, ou c’est un homme mort. Mais on ne le rappela point, et il vécut, et il s’acclimata. […] Résisterons-nous au plaisir d’en rappeler un ?

886. (1864) Physiologie des écrivains et des artistes ou Essai de critique naturelle

Mistress Inchbald a fait quinze pièces de théâtre et deux romans, dont l’un passe pour un chef-d’œuvre ; ne rappelons que celui-là. […] Tout le monde connaît ces peintures d’une éternelle vérité ; je prie seulement le lecteur d’en rappeler les principaux traits dans sa mémoire. […] Il réunit les deux caractères… » On se rappelle aussi le mot de D’Alembert, que nous avons cité à propos du climat et du sol (p. 37). […] Il faut se rappeler que Bossuet distingue dans l’âme deux sortes d’opérations : les opérations sensitives et les opérations intellectuelles. […] » On se rappelle ce que nous avons dit des phthisiques43.

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