/ 1213
759. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Journal d’Olivier Lefèvre d’Ormesson, publié par M. Chéruel » pp. 35-52

La musique du roi y fut excellente.

760. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Correspondance de Béranger, recueillie par M. Paul Boiteau. »

Imaginez qu’il avait fait un opéra d'Othello, et il espérait que Meyerbeer le mettrait en musique après l’Otello de Rossini !

761. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Le Poëme des champs par M. Calemard de Lafayette. »

Or, il n’y a pas encore eu de décret de M. le ministre d’État pour abaisser le diapason dans la poésie comme pour la musique.

762. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Madame de Staël. Coppet et Weimar, par l’auteur des Souvenirs de Mme Récamier »

Je ne crois pas que je me relève jamais de ce que j’éprouve ; rien ne m’intéresse plus ; je ne trouve de plaisir à rien ; la vie est pour moi comme un bal dont la musique a cessé, et tout, excepté ce qui m’est ravi, me paraît sans couleur.

763. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Le Mystère du Siège d’Orléans ou Jeanne d’Arc, et à ce propos de l’ancien théâtre français (suite.) »

En citant dans le précédent article les travaux des savants qui se sont occupés du rame liturgique ou sacré au moyen âge, j’ai négligé, à tort, d’indiquer le récent ouvrage tout spécial de M. de Coussemarker, Drames liturgiques du moyen âge, texte et musique (un beau vol. in-4°, librairie archéologiques de Didron, 1861), et les nombreux articles publiés sur ce sujet par M. 

764. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Ducis épistolaire (suite) »

Là, l’auteur de ces romances sentimentales, dont l’une a dû à Rousseau une si délicieuse mélodie, put faire connaissance avec l’abbé Métastase et causer musique avec lui ; mais cette agréable rencontre, et celle aussi du bibliothécaire de l’empereur, le philosophe Jameray-Duval, qui lui marquait confiance et amitié, ne lui rendirent pas l’habitude d’une Cour plus facile ; il y resta peu et changea bientôt d’emploi.

765. (1902) L’observation médicale chez les écrivains naturalistes « Chapitre IV »

On aurait dit une musique sous la peau.

766. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre IV. Les tempéraments et les idées (suite) — Chapitre VI, « Le Mariage de Figaro » »

Il faut noter le goût de cette âme passionnée pour la musique. — Éditions : Lettres de Mlle de Lespinasse, éd.

767. (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « Pierre Loti »

Bien que les rapports de convenance entre toutes ces différentes choses et vous-même soient trop compliqués pour être exprimés comme dans le cas de la musique, vous sentez cependant qu’ils existent… Tout cela posé, passons à votre définition à vous, Loti.

768. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Lettres inédites de l’abbé de Chaulieu, précédées d’une notice par M. le marquis de Bérenger. (1850.) » pp. 453-472

Ainsi, cette maladie n’empêcha pas que, pour divertir Monseigneur à Anet, M. de Vendôme, l’abbé de Chaulieu et moi, nous n’imaginassions de lui donner une fête, avec un opéra dont Campistron, poète toulousain aux gages de M. de Vendôme, fit les paroles, et Lully, notre ami à tous, fit la musique.

769. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Beaumarchais. — I. » pp. 201-219

Il aimait la musique, il chantait et faisait des couplets ; il savait jouer de la guitare, de la harpe surtout, alors dans sa nouveauté, et il portait dans ces amusements cet esprit d’invention qu’il eut en toutes choses.

/ 1213